Prosateurs et poètes français, or selections from the best French authors: with an introduction of easy pieces, arranged in chronological order, from the age of Louis XIV. to the present day; with biographical sketchesLongmans, Green, and Company, 1862 - 544 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 83
Page 5
... maisons dans un ordre et une propreté admirables . Leurs habits sont aisés à faire ; car , dans ce doux climat , on ne porte qu'une pièce d'étoffe fine et légère , qui n'est point taillée , et que chacun met à longs plis autour de son R ...
... maisons dans un ordre et une propreté admirables . Leurs habits sont aisés à faire ; car , dans ce doux climat , on ne porte qu'une pièce d'étoffe fine et légère , qui n'est point taillée , et que chacun met à longs plis autour de son R ...
Page 6
... maisons . C'est , disent - ils , s'attacher trop à la terre , que de s'y faire une demeure qui dure beaucoup plus que nous ; il suffit de se défendre des injures de l'air . Pour tous les autres arts estimés chez les Grecs , chez les ...
... maisons . C'est , disent - ils , s'attacher trop à la terre , que de s'y faire une demeure qui dure beaucoup plus que nous ; il suffit de se défendre des injures de l'air . Pour tous les autres arts estimés chez les Grecs , chez les ...
Page 23
... maison de commerce , peu achalandée , il faut le dire ; mais j'étais jeune encore , j'étais actif , je savais travailler et m'imposer des privations . A l'heure qu'il est , je pos- sède deux maisons à Paris , et j'ai cédé ma fabrique de ...
... maison de commerce , peu achalandée , il faut le dire ; mais j'étais jeune encore , j'étais actif , je savais travailler et m'imposer des privations . A l'heure qu'il est , je pos- sède deux maisons à Paris , et j'ai cédé ma fabrique de ...
Page 26
... maison : " Madame , n'est - ce pas ici que deux messieurs , vêtus l'un et l'autre de redingotes grises , sont venus déjeuner hier , et que , n'ayant pas d'argent . . . " Oui , monsieur , " répond la dame . " " " Eh bien , madame , c ...
... maison : " Madame , n'est - ce pas ici que deux messieurs , vêtus l'un et l'autre de redingotes grises , sont venus déjeuner hier , et que , n'ayant pas d'argent . . . " Oui , monsieur , " répond la dame . " " " Eh bien , madame , c ...
Page 33
... maison que vous habitez , une famille indigente manque de pain et de feu ; là - haut peut - être une pauvre mère ... maisons de l'indigence , chaque locataire est obligé de gagner sa vie jour par jour , heure par heure . Oh ! que de ...
... maison que vous habitez , une famille indigente manque de pain et de feu ; là - haut peut - être une pauvre mère ... maisons de l'indigence , chaque locataire est obligé de gagner sa vie jour par jour , heure par heure . Oh ! que de ...
Other editions - View all
Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau No preview available - 2017 |
Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
ADDISCOMBE âme armée armes ATHALIE avaient avez barque Bataille des Pyramides beau bientôt bruit c'était camp canons chants Charles château cheval chose ciel cœur combat Contanseau côté coup devant Dieu dit-il ÉMILE DE GIRARDIN enfants ennemis Épaminondas êtes femme fille fils Flè flots foule French Fros garde gens Gesler glaces gloire Guillaume Harp HARPAGON heures hommes j'ai Jacq jamais janissaires jeune JOAD JOSABETH jour Jourd Jourdain Kremlin l'armée l'homme laisser LOUIS RACINE Louis XIV Louis XVI madame main maison maître maître à danser Marmatie ment mère milieu mille monde monsieur montagnes mort n'avait Napoléon neige Notice nuit officiers palais passer pauvre pensée père peuple phil pieds pont du Gard porte qu'un regards reste rien s'avance Saint sang semble sentiment seul siècle silence soldats soleil sortir speronare Spitzberg Suédois temple terre tête tombe tout-à-coup troupes trouve venait veux voilà voix work yeux
Popular passages
Page 484 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 449 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 28 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent ; parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : « Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 49 - Le jour n'y finit point , et la nuit , avec ses sombres voiles , y est inconnue ; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 85 - Alors, l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais pas: je me sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini.
Page 485 - Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. 'Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'août, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 471 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 474 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 84 - Mon imagination ne laissait pas longtemps déserte la terre ainsi parée. Je la peuplais bientôt d'êtres selon mon cœur, et, chassant bien loin l'opinion, les préjugés, toutes les passions factices, je transportais dans les asiles de la nature des hommes dignes de les habiter. Je m'en formais une société charmante dont je ne nie sentais pas indigne, je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie...
Page 449 - Non, monsieur. Tout ce qui n'est point prose est vers, et tout ce qui n'est point vers est prose.