Prosateurs et poètes français, or selections from the best French authors: with an introduction of easy pieces, arranged in chronological order, from the age of Louis XIV. to the present day; with biographical sketchesLongmans, Green, and Company, 1862 - 544 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 93
Page 2
... côté de vous ? cela ne vous gênerait pas prodigieusement , puisque vous êtes seul dans votre calèche , et ménagerait mon uniforme que je mets aujourd'hui pour la première fois . - Ménageons votre uni- forme , mon brave , lui dit Joseph ...
... côté de vous ? cela ne vous gênerait pas prodigieusement , puisque vous êtes seul dans votre calèche , et ménagerait mon uniforme que je mets aujourd'hui pour la première fois . - Ménageons votre uni- forme , mon brave , lui dit Joseph ...
Page 9
... côté droit en écharpe un feston de lierre , et le jeune Bacchus se plaisait à voir ces feuilles consacrées à sa divinité . Le faune était enveloppé , au - dessous de la ceinture , par la dépouille affreuse et hérissée d'une jeune lionne ...
... côté droit en écharpe un feston de lierre , et le jeune Bacchus se plaisait à voir ces feuilles consacrées à sa divinité . Le faune était enveloppé , au - dessous de la ceinture , par la dépouille affreuse et hérissée d'une jeune lionne ...
Page 11
... côté , peu occupé de la destruction des buissons , mais charmé de trouver l'occasion de montrer à son fils les beautés ravissantes du jour naissant , ne fut pas moins empressé à sauter de son lit. Ils s'habillèrent à la hâte , prirent ...
... côté , peu occupé de la destruction des buissons , mais charmé de trouver l'occasion de montrer à son fils les beautés ravissantes du jour naissant , ne fut pas moins empressé à sauter de son lit. Ils s'habillèrent à la hâte , prirent ...
Page 17
... côte , comme s'il attendait quelqu'un . Quand il eut aperçu Pierre : " Que ma présence ne vous empêche pas de pren- dre votre place dans cette barque , mon ami , " dit l'inconnu d'une voix qui unissait à la dignité une expression pleine ...
... côte , comme s'il attendait quelqu'un . Quand il eut aperçu Pierre : " Que ma présence ne vous empêche pas de pren- dre votre place dans cette barque , mon ami , " dit l'inconnu d'une voix qui unissait à la dignité une expression pleine ...
Page 18
... côté du navire en détresse , tandis que moi , les pieds baignés par l'onde furieuse , et prête à m'en- traîner , j'étais tombé aux pieds de ma sœur , mêlant mon cri de désespoir à celui de sa terreur . Hélas ! Monsieur , notre ...
... côté du navire en détresse , tandis que moi , les pieds baignés par l'onde furieuse , et prête à m'en- traîner , j'étais tombé aux pieds de ma sœur , mêlant mon cri de désespoir à celui de sa terreur . Hélas ! Monsieur , notre ...
Other editions - View all
Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau No preview available - 2017 |
Prosateurs Et Poètes Français, Or Selections From The Best French Authors ... Leon Contanseau No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
ADDISCOMBE âme armée armes ATHALIE avaient avez barque Bataille des Pyramides beau bientôt bruit c'était camp canons chants Charles château cheval chose ciel cœur combat Contanseau côté coup devant Dieu dit-il ÉMILE DE GIRARDIN enfants ennemis Épaminondas êtes femme fille fils Flè flots foule French Fros garde gens Gesler glaces gloire Guillaume Harp HARPAGON heures hommes j'ai Jacq jamais janissaires jeune JOAD JOSABETH jour Jourd Jourdain Kremlin l'armée l'homme laisser LOUIS RACINE Louis XIV Louis XVI madame main maison maître maître à danser Marmatie ment mère milieu mille monde monsieur montagnes mort n'avait Napoléon neige Notice nuit officiers palais passer pauvre pensée père peuple phil pieds pont du Gard porte qu'un regards reste rien s'avance Saint sang semble sentiment seul siècle silence soldats soleil sortir speronare Spitzberg Suédois temple terre tête tombe tout-à-coup troupes trouve venait veux voilà voix work yeux
Popular passages
Page 484 - Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie ; Et, pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Page 449 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 28 - Monsieur le maréchal, lisez, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent ; parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : « Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 49 - Le jour n'y finit point , et la nuit , avec ses sombres voiles , y est inconnue ; une lumière pure et douce se répand autour des corps de ces hommes justes, et les environne de ses rayons comme d'un vêtement.
Page 85 - Alors, l'esprit perdu dans cette immensité, je ne pensais pas, je ne raisonnais pas, je ne philosophais pas: je me sentais, avec une sorte de volupté, accablé du poids de cet univers, je me livrais avec ravissement à la confusion de ces grandes idées, j'aimais à me perdre en imagination dans l'espace; mon cœur resserré dans les bornes des êtres s'y trouvait trop à l'étroit, j'étouffais dans l'univers, j'aurais voulu m'élancer dans l'infini.
Page 485 - Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue : Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. 'Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'août, foi d'animal, Intérêt et principal.
Page 471 - Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi; Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chairs meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 474 - Dieu laissa-t-il jamais ses enfants au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur pâture, Et sa bonté s'étend sur toute la nature.
Page 84 - Mon imagination ne laissait pas longtemps déserte la terre ainsi parée. Je la peuplais bientôt d'êtres selon mon cœur, et, chassant bien loin l'opinion, les préjugés, toutes les passions factices, je transportais dans les asiles de la nature des hommes dignes de les habiter. Je m'en formais une société charmante dont je ne nie sentais pas indigne, je me faisais un siècle d'or à ma fantaisie...
Page 449 - Non, monsieur. Tout ce qui n'est point prose est vers, et tout ce qui n'est point vers est prose.