 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - Jurisprudence - 1817 - 822 pages
...conséquence (i). CHAPITRE XL Des pensées. UN Marsias songea qu'il coupait la gorge à Denys (2). Celui-ci Je fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit s'il n'y eut pensé le jour. C'était une grande tyrannie : car, quand même il y aurait pensé , il n'avait... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 620 pages
...manquer ne nuisit tant au peu que j'en « Un Marsyas songea qu'il coupait la gorge à Denys. Celui-ci le fit « mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit s'il n'y eût pensé le « jour. » Esprit des lois , Liv. xn , chap. 9. ai. Ah ! où sont vos soins paternels... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - Jurisprudence - 1831 - 546 pages
...Burnet. CHAPITRE XI. Des pensées. Un Marsias songea qu'il coupoit la gorge à Denys '. Celui-ci le fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit s'il n'y eût pensé le jour. C'étoit une grande tyrannie : car quand même il y auroit pensé , il n'avoit... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 844 pages
...Montesquieu rapporte ainsi ce trait : « Un Manyas songea qu'il ctiupoit la gorge .'i > Deny». Celui-ci 1« fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé » la nuit s'il n'y eût pensé le jour. • Kspril des Lois, Liv. XII, chap. 9. OP La Fanchou est malade ; cela tient... | |
 | Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1838 - 826 pages
...conséquence *. CHAPITRE XI. Des pensées. Un Marsyas songea qu'il coupait la gorge à Denys *. Celui-ci le cité eut pensé le jour. C'était une grande tyrannie : car, quand même il y aurait pensé , il n'avait... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 874 pages
...Montesquieu rapporte ainsi ce trait : « Un » Marsyas songe» qu'il coupait la gorge à Ilenys. Celui-ci le fit mourir, disant » qu'il n'y aurait pas songé la nuit s'il n'y eût pensé le jour. » Esprit dts ois , liv. xii . cliap ix. supplée volontiers à ce soin. Heureux... | |
 | Law - 1865 - 694 pages
...n'est pas mariée, puisse se faire délivrer, à titre de dot, une TARQIE, Vie de fleni/s). Celui-ci le fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit s'il n'y eût pensé le jour. C'était une grande tyrannie : car, quand même il y aurait pensé, il n'avait... | |
 | Emile de Girardin - France - 1871 - 532 pages
...qu'il avait choisis pour quelque emploi. Un Marsyas songea qu'il coupait la gorge à,Denys. Celui-ci le fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit s'il n'y eût pensé le jour. Une loi d'Angleterre passée sous Henri VIII déclarait coupables de haute trahison... | |
 | René Garraud - Anarchism - 1895 - 136 pages
...rappelle le même fait et le juge : « Un Marsyas songea qu'il coupait la gorge à Denys. Celui-ci le fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit, s'il n'y eût pensé le jour. C'était une grande tyrannie : car, quand même il y aurait pensé, il n'avait... | |
 | Léon Ameline - 1904 - 320 pages
...délit d'opinion ne doit pas exister. « Manyas songea qu'il coupait la gorge à Denys. Celui-ci le fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit s'il n'y eût pensé le jour. C'était une grande tyrannie. Car quand même il y aurait pensé, il n'y avait... | |
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Marsyas songea qu'il coupait la gorge à Denys. Celui-ci le fit mourir, disant qu'il n'y aurait pas songé la nuit, s'il n'y eût pensé le jour. C'était une grande tyrannie : car, quand même il y aurait pensé, il n'avait pas attenté. 
