| Robert Pinget - Artists - 1803 - 260 pages
...demandait ; son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles ; il jouait de la guitare. On lui faisait la plus grande chère, et le gouverneur s'as«evait rarement devant lui. Un vieux médecin dt la Bastille, qui avait souvent traité cet homme... | |
| Voltaire - France - 1817 - 512 pages
...demandait ; son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles ; il jouait de la guitare. On lui faisait la plus grande...singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais va son visage , quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement... | |
| Voltaire - France - 1817 - 266 pages
...dentelles ; il jouait de la gnitare. On lui faisait la plus grande chere, et le gouverneur s'a«, seyait rarement devant lui. Un vieux médecin de la Bastille,...dit qu'il n'avait jamais vu son visage, quoiqu'il eut souvent examiné sa langne et le reste de son corps. Il était admirablement bien 'fait, disait... | |
| François-Xavier de Feller - 1822 - 534 pages
...peut l'être. On ne lui refusait rien de ce qu'il demandait ; on lui donnait les plus riches habits , on lui faisait la plus grande chère, et le gouverneur s'asseyait rarement devant lui. Le marquis de Louvois étant allé le voir à Sainte-Marguerite , avant sa translation à Pari», lui... | |
| Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie - Savoy (France and Italy) - 1892 - 622 pages
...Son plus « grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire « et pour les dentelles ; il jouait de la guitare. On lui faisait «' la' 'plus grande chère, et le gouverneur s'asseyait rare« 'nient devant lui. Un vieux médecin de la Bastille qui «' 'avait' souvent traité cet homme... | |
| G. Plisson - 1826 - 238 pages
...demandait. Son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles. Il jouait de la guitare. On lui faisait la plus grande...singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais vue son visage, quoiqu'il eut souvent examiné sa langue et le reste de son corps. Il était admirablement... | |
| Voltaire - 1829 - 614 pages
...demandait. Son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles. Il jouait de la guitare. On lui faisait la plus grande...souvent traité cet homme singulier dans ses maladies, à dit qu'il n'avait jamais vu son visage, quoiqu'il .eût souvent examiné sa langue et le reste de... | |
| François-Xavier Feller - Biography - 1833 - 564 pages
...puisse l'être. On ne lui refusait rien de ce qu'il demandait; on lui donnait les plus riches liabits ; on lui faisait la plus grande chère, et le gouverneur s'asseyait rarement devant lui. Le marquis de Louvois étant allé le voir à Sainte-Marguerite, avant sa translation à Paris, lui... | |
| Voltaire - France - 1834 - 478 pages
...ponr les dentelles ; il jonait de la guitare. On lui faisait la plus grande chere, et le gonverneur s'asseyait rarement devant lui. Un -vieux médecin de la Bastille, qui avait sonvent traité cet bomme singulier dans ses maladies, a dit qu'il n'avait jamais vU son visage, quoiqu'il... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi, Sismondi - France - 1841 - 616 pages
...de ce « qu'il demandait. Son plus grand goût était pour le linge « d'une finesse extraordinaire. On lui faisait la plus grande « chère , et le gouverneur s'asseyait . rarement devant lui. « Un jour des premiers qu'il était dans l'île , le prisonnier « écrivit avec un couteau sur une assiette... | |
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