Page 108

113

XXVI. Suite du même sujet. Conciliation du libre arbitre

avec sa dépendance de Dieu, à la faveur d'une compa-

raison.

XXVII. De la certitude de l'existence de Dieu dépend néces-

şairement la certitude des autres choses.

XXVIII. Nécessité du concours de Dieu pour la continuation

de l'existence des choses une fois créées.

XXIX. Question proposée à Descartes par Henri Morus, sur

l'existence des esprits et sur l'athéisme, avec la réponse de

Descartes.

115

117

XXX. Caractère du premier principe. Dans quel sens l'exi-

stence de Dieu peut-elle être regardée comme premier prin-

cipe?

119

XXXI. Les essences des choses ne sont point indépendantes

de Dieu.

121

XXXII. Défense de Descartes contre l'accusation d'athéisme

intentée contre lui, par Gisbert Voëtius, et adressée à ce

ministre protestant par Descartes lui-même.

SIMPLICITÉ DE L'AME.

J. Simplicité de l'ame et du corps.

11. Confirmation de la même vérité.

126

153

156

III. Descartes répond à une objection du P. Mersenne contre

cette démonstration.

158

IV. Autre preuve de la simplicité de l'ame.

160

V. Comment Descartes s'est confirmé dans la connoissance de

la vérité précédente.

161

VI. Défense de l'immatérialité de l'ame contre diverses objec-

tions.

167

VII. Réponse de Descartes aux objections de Gassendi contre

la simplicité de l'ame.

173

VIII. Méthode qu'a suivie Descartes pour prouver l'immor-

talité de l'ame.

179

IX. La croyance de l'immortalité de l'ame ne peut pas auto-

riser le suicide.

183

X. La simplicité de l'ame, considérée seule, n'emporte pas la

certitude absolue de son immortalité.

DIVERS SUJETS RELIGIEUX.

Page 183

1. Différence entre les vérités acquises et les vérités révélées.

Abus qu'on peut faire des vérités révélées.

186

II. La foi chrétienne, qui est obscure dans son objet, est

claire dans son motif.
187

III. Office de la raison à l'égard de diverses vérités révélées.
189
IV. Conformité de la philosophie de Descartes avec la foi.

191

V. De l'éternité des peines.

195

VI. Descartes se justifie de l'accusation de pélagianisme, et

d'avoir écrit contre les vœux.

196

VII. Pensée de Descartes sur une pierre prétendue miracu-

leuse.

198

VIII. Souhait de Descartes pour la réunion des Hollandois à

l'église romaine.

199

IX. Quelle est la certitude de la présence du corps de Jésus-

Christ dans une hostie.

200

X. Ressource des grandes ames dans les grands malheurs.
ibid.

XI. Considération proposée à la Princesse Palatine, sur l'en-

trée d'un prince de sa maison dans l'église romaine. 203

XII. L'immortalité de l'ame, et le bonheur réservé aux bons,
est un puissant motif de consolation dans la mort de ses

amis et dans sa propre mort.
206

208

XIII. Réflexions sur la mort de Charles Ir. roi d'Angle-

terre, adressées à la Princesse Palatine, sa nièce.

XIV. Conseil pour les personnes qui apprennent des événe-

mens malheureux, donné à la Princesse Palatine. 211

XV. Condoléance et conseil à M. de Zuitlichen, père de

M. Huyghens, sur la mort de sa femme.

212

XVI. Sentimens et conduite convenables dans la perte d'un

parent ou d'un ami.

Page 215

XVII. Etendue indéfinie du monde : on ne peut pas en con-

Aelure sa durée infinie.

217

221

XVIII. Dans quel sens est-il vrai que tout l'univers a été fait

pour l'homme? et quand il auroit été fait pour d'autres

fins, l'homme en devroit-il moins aimer Dieu ?

XIX. Différence entre la connoissance de Dieu naturelle, et

la connoissance intuitive: possibilité de cette dernière con-

noissance..

225

XX. Sentiment de Descartes sur l'unité et la concorde dans

l'ordre de la religion.

227

XXI. Différence entre les innovations en philosophie et les

innovations en religion.

228

XXII. Descartes explique comment les espèces ou accidens

du pain et du vin subsistent dans l'Eucharistie après la con-

sécration: il rejette, sur ce point, l'opinion qui étoit géné-

ralement reçue dans les écoles; il juge la sienne plus favo-

rable à la doctrine orthodoxe, et croit qu'elle prévaudra

dans les écoles.
229

XXIII. Systême de Descartes pour expliquer la transsubstan-
tiation dans l'Eucharistie, exposé dans deux lettres au
P. Mesland, jésuite, qui n'ont point encore été imprimées.

PENSÉES SUR LA MORALE.

243

I. Opinion de Descartes sur le souverain bien.

262

II. Fondemens de la béatitude de l'homme, et procédé qu'au-

roit dû suivre Sénèque dans son traité de Vitâ beatâ. 267

III. Comment Sénèque traite la question du souverain bien

et de la béatitude.

272

IV. Eclaircissement sur ce que Descartes avoit dit de la béa-

titude dépendante du libre arbitre.

-V. Sur les causes de notre contentement.

279

281

BIBL. UNIV.

CENT

VI. Vérités dont la connoissance est plus nécessaire ponr

notre conduite et notre bonheur.

Page 286

VII. La béatitude ne doit pas être fondée sur notre igno-

rance.

292

VIII. Préférence du bien public au bien particulier, avan-

tageuse à chaque particulier.
294

IX. Eclaircissement sur la balance des biens et des maux

dans cette vie.

298

X. Descartes croyoit que la joie intérieure a quelque secrète

force pour se rendre la fortune plus favorable..
301

XI. L'ame influe plus que tous les remèdes sur la santé du

corps.

302

XII. La physique de Descartes est un des fondemens de sa

morale.

305

XIII. Raisons qui ont engagé Descartes à ne point publier de

traité sur la morale. Son sentiment sur les passions, 307

XIV. Maximes de morale que se forma Descartes, lorsqu'il
commença son doute méthodique.

320

XV. Eclaircissement sur une règle de conduite donnée par

Descartes, dans son Discours de la Méthode.

XVI. Importance de la médecine pour la sagesse: zèle de

Descartes pour ses progrès.

321

XVII. Utilité de la philosophie pour régler nos mœurs, et

nous conduire dans cette vie : fruits qu'on peut retirer des

principes de la philosophie de Descartes: ordre à observer

pour s'instruire.
324

XVIII. La seule lumière naturelle nous enseigne que nous

devons aimer Dieu. Nous pouvons l'aimer par la seule force

de notre nature, quelque élevé qu'il soit au-dessus de

nous.

331

XIX. Le sage doit tout disposer comme s'il devoit vivre long-

temps, ou mourir bientôt.

335

XX. Opinion qu'on peut avoir de soi-même.

336

XXI. Nature de la sagesse; elle est accessible à tous les hom-

mes: mais ceux qui ont le plus d'esprit, peuvent parvenir

à un plus haut degré que ceux qui en ont moins. Page 336

XXII. Danger des mauvaises lectures.

340

XXIII. Importance du choix dans les lectures, et influence

de ces lectures sur le caractère.
341

XXIV. Danger de souffrir en soi des mouvemens de colère.
346

XXV. Règles de la correction fraternelle que doivent obser-
ver tous les hommes, et particulièrement les prédicateurs.
ibid.

.

358

359

XXVI. Avantage d'exécuter promptement ce qu'on a déli-

béré avec sagesse : et confiance dans la Providence.

XXVII. La justice, fondement des Etats."

XXVIII. Préférence qu'on doit quelquefois donner à la gé-

nération future sur la génération présente.
360

XXIX. Définitions de l'amour et de la haine. Distinction
entre l'amour de concupiscence et les autres espèces d'amour.

ibid.

XXX. Objet et règle de nos désirs : considération sur la Pro-

vidence et la fortune: remède contre les passions. 364

XXXI. Caractère et effets de la générosité d'ame ou de la

-magnanimité. tovari

hi

XXXII. Remède gênéral contre les passions.

369

375

XXXIII. Jugement de Descartes sur la bonne éducation

qu'on recevoit dans les colléges des Jésuites, et particuliè-

rement dans celui de la Flèche.
377

XXXIV. Descartes, accusé par Voëtius, auprès des magis-
trats d'Utrecht, d'être ami des Jésuites, convient du fait.

379

XXXV. Jugement de Descartes sur le livre de Hobbes, de

Cive.

381

XXXVI. Jugement de Descartes sur le livre du Prince, de

Machiavel.

381

FIN DE LA TABLE.

BIBL. UNIV.

GENT