Mélanges de politique, de morale et de littérature, Volume 41824 |
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agens anathème apostats apostolique Assemblée Assemblée nationale auroit avez avoient avoit bonheur Capet charité Chrétiens citoyens civile clergé cœur concile connoître constitution Convention Convention nationale crime culte curés déclaration décrets de l'Assemblée députés devoir Dieu diocèse discours divine divorce donner ecclésias ecclésiastiques Eglise églises enfans ennemis étoient étoit évêques fidèles François fureur gouvernement Havelange hommes Ibid impies intrus j'ai Jansenistes Jésus-Christ jour jugement jure juridiction justice l'abbé l'Assemblée nationale l'auteur l'autorité l'Eglise l'Etat l'évêque l'homme l'impiété législateurs lettre liberté lois Louis Capet Louis XVI malheurs ministres Mirabeau mœurs monarchie mort n'étoit nation pape par-tout paroît pasteurs père Périgord peuple philosophes politique Pontife pouvoir prélat prêtre catholique prêtres princes principes protestans publique puissance raison réflexions religieux Religion catholique respect révolution rois royaume sacrés sacrilége saint schisme secte sentimens serment seroit seul siècle souverain spirituelle sur-tout temple tion tour du Temple trône vérité vertu vicaires Voltaire vrai zèle
Popular passages
Page 527 - Je recommande à mon fils, s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de...
Page 527 - Je recommande mes enfants à ma femme ; je n'ai jamais douté de sa tendresse maternelle pour eux; je lui recommande surtout d'en faire de bons chrétiens et d'honnêtes hommes ; de ne leur faire regarder les grandeurs de ce monde-ci ( s'ils sont condamnés à les éprouver) que comme des biens dangereux et périssables , et de tourner leurs regards vers la seule gloire solide et durable de l'éternité.
Page 176 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 239 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse ou de la paroisse qui leur est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout leur pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi...
Page 527 - ... la seule gloire solide et durable de l'éternité. Je prie ma sœur de vouloir bien continuer sa tendresse à mes enfants et de leur tenir lieu de mère s'ils avaient le malheur de perdre la leur. Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu'elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union, comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle, si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.
Page 277 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse (ou de la cure) qui m'est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 172 - NATIONALE, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une déclaration solennelle, les Droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs...
Page 525 - ... du courant , avec ma famille; de plus, impliqué dans un procès dont il est impossible de prévoir l'issue, à cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun prétexte ni moyen dans aucune loi existante; n'ayant que Dieu pour témoin de mes pensées, et auquel je puisse m'adresser.
Page 526 - Je prie tous ceux qui ont de la Charité d'unir leurs prières aux miennes, pour obtenir de Dieu le pardon de mes péchés. Je pardonne de tout mon cœur à ceux qui se sont faits mes ennemis sans que je leur en aie donné aucun sujet, et je prie Dieu de leur pardonner...
Page 545 - J'avais des amis; l'idée d'en être séparée pour jamais et leurs peines sont un des plus grands regrets que j'emporte en mourant : qu'ils sachent du moins que jusqu'à mon dernier moment j'ai pensé à eux. Adieu, ma bonne et tendre sœur; puisse cette lettre vous arriver!