Questions d'aujourd'hui et de demainE. Dentu, 1880 - France |
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absolument allemande Armand Barbès Assemblée aurait Barbès besoin blique Bonaparte c'était Casimir Périer cause centre gauche Chambre cher chose citoyen Proudhon Code cœur Confessions d'un Révolutionnaire Congrès de Vienne Croatie d'être déclaration demander démocratie despotisme devant Dieu dire divorce doctrine Est-ce famille femme force gouvernement guerre hommes Hongrie Hongrois humaine idées intérêts j'ai jamais Jellachich John Stuart Mill justice l'Allemagne l'Autriche l'empereur l'empire l'esclavage l'esprit l'État l'histoire l'homme l'indissolubilité l'unité laisse Ledru-Rollin législatif liberté livre lois constitutionnelles Louis Blanc Louis Bonaparte Louis-Philippe madame de Staël mari mariage ment monarchie monde morale Napoléon nation nature passer passion pays pensée Philadelphie politique principe protester provisoire Prusse public puissance qu'un question raison régime représentants Répu républicains République reste Révolution rien s'il saurait Schoelcher sentiment serait seul social société sorte souveraineté du peuple suffrage universel Syllabus système tion travail tyrannie Victor Schoelcher Vienne voilà vote des lois vrai
Popular passages
Page 514 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 39 - La ville de Paris et tous ses habitants sans distinction seront tenus de se soumettre sur-le-champ et sans délai au roi, de mettre ce prince en pleine et entière liberté et de lui assurer, ainsi qu'à toutes les personnes royales, l'inviolabilité et le respect auxquels le droit de la nature et des gens oblige les sujets envers les souverains; Leurs Majestés Impériale et Royale...
Page 40 - ... pour être jugés militairement, sans espoir de pardon, tous les membres de l'Assemblée nationale, du département, du district, de la municipalité et de la garde nationale de Paris...
Page 262 - La femme, même non commune ou séparée de biens, ne peut donner, aliéner, hypothéquer, acquérir, à titre gratuit ou onéreux, sans le concours du mari dans l'acte, ou son consentement par écrit.
Page 334 - En tout genre de travail, il doit arriver et il arrive en effet que le salaire de l'ouvrier se borne à ce qui lui est nécessaire pour lui procurer sa subsistance.
Page 325 - ... il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature, il n'ya point de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s'en aller, et elle ne tarde pas à mettre ellemême cet ordre à exécution.
Page 103 - Que les hommes sont heureux d'aller à la guerre, d'exposer leur vie, de se livrer à l'enthousiasme de l'honneur et du danger! mais il n'ya rien au dehors qui soulage les femmes...
Page 202 - Nous avons donné tout à l'heure la vraie formule : que chacun produise selon son aptitude et ses forces, que chacun consomme selon ses besoins. Ce qui revient à dire que l'égalité juste, c'est la proportionnalité. Mais quoi ! Cette proportionnalité, elle existe aujourd'hui. Seulement c'est au rebours...
Page 200 - ... des salaires et des bénéfices en même temps? Nul doute que l'inégalité des salaires ne soit le système le plus approprié à notre éducation , à nos habitudes , à nos mœurs, à l'ensemble des idées généralement répandues. Nul doute, par conséquent, que ce système ne fût préférable au point de vue purement pratique ; aussi n'avons-nous eu garde de l'exclure, quoi qu'en aient pu dire des critiques superficiels, ou intéressés...
Page 67 - Il est temps , enfin , que cette jeunesse qui vit dans l'oisiveté des grandes villes , cesse de craindre les fatigues et les dangers de la guerre , et qu'elle se mette en état de faire respecter la patrie , si elle veut que la patrie soit respectable.