Le silence et la nuit règnent dans leurs palais. Là , bercés tristement des mains de la mollesse , Leur propre oisiveté les lasse et les oppresse. Brisés par le repos , tourmentés sur des fleurs , Ils s'agitent enfin , et vont languir ailleurs.... Le Peintre des coulisses, salons, mansardes, boudoirs, mœurs et mystères ... - Page 124by Paris (France), J. P. R. CUISIN - 1822 - 305 pagesFull view - About this book
| Charles-Pierre Colardeau - 1825 - 520 pages
...Leurs mains, en tremblotant, portent des coupes d'or : Ils y burent l'ennui qu'ils vont y boire encor. Brisés par le repos, tourmentés sur des fleurs,...Ils s'agitent enfin, et vont languir ailleurs. Trop foibles (dieux puissants, rendez vain cet augure), Trop foibles pour porter le fardeau d'une armure,... | |
| Prosper Poitevin - Authors, French - 1841 - 692 pages
...tourmentés sur des fleurs , IIs s'agitent enfin , et vont languir ailleurs. Trop faibles (dieux puissans, rendez, vain cet augure!) Trop faibles pour porter le fardeau d'une armure , Épouvantés chez eux de l'ombre des dangers , Plus timides encore aux yeux des étrangers , Esclaves... | |
| Authors, French - 1849 - 696 pages
...Là , bercés tristement des mains de la mollesse , Leur propre oisiveté les lasse et les oppresse. Brisés par le repos , tourmentés sur des fleurs...enfin , et vont languir ailleurs. Trop faibles (dieux puissans , rendez vain cet augure!) Trop faibles pour porter le fardeau d'une armure , Épouvantés... | |
| François Noel - French language - 1851 - 758 pages
...Là , bercés tristement des mains de la mollesse , Leur propre oisiveté les lasse et les oppresse. Brisés par le repos , tourmentés sur des fleurs...enfin , et vont languir ailleurs. Trop faibles ( Dieux puissans, rendez vain cet augure ! ), Trop faibles pour porter le fardeau d'une armure , Epouvantés... | |
| Authors, French - 1856 - 726 pages
...Là , bercés tristement des mains de la mollesse , Leur propre oisiveté les lasse et les oppresse. Brisés par le repos , tourmentés sur des fleurs...enfin , et vont languir ailleurs. Trop faibles (dieux puissans, rendez vain cet augure!) Trop faibles pour porter le fardeau d'une armure , Épouvantés... | |
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