Cours de littérature Française, Volume 3 |
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admirable Alfieri âme anglais antique avaient barbare Barthélemy beau beautés Bernardin de Saint-Pierre c'était caractère célèbre Chalotais chants chose civilisation critique d'Alfieri Ducis Écossais écrivains élégante éloges éloquence énergique enthousiasme époque Eschyle esprit études Fénelon Filangieri forme française génie gloire goût grecque Harpe Homère hommes idées imité ingénieux inspiration italienne l'âme l'antiquité l'éloquence l'esprit l'Europe l'histoire l'imagination l'imitation l'Italie langage langue lettres lettres de cachet liberté littéraire littérature livre Louis XIV lui-même Macbeth Macpherson mêle ment Mérope Messieurs Métastase milieu moderne mœurs Montesquieu morale n'avait nation nature naturel original Ossian ouvrage parle paroles passion pays pensée personnages peuple philoso philosophie Piémont poésie poëte poétique politique pouvoir premier presque puissance Racine réforme religieuse reste Romains Rome Rousseau sais savant scène semble sentiment seulement Shakspeare singulière sociale société Sophocle spectacle style sujets talent théâtre grec Thomas tion tragédie tragédie grecque trouve vérité vive Voilà Voltaire Xénophon xviie siècle xvir xvme siècle
Popular passages
Page 412 - Les riches et les puissants croient qu'on est misérable et hors du monde quand on ne vit pas comme eux; mais ce sont eux qui, vivant loin de la nature, vivent hors du monde.
Page 357 - ; c'est moi qui le premier montrai aux Français quelques perles que j'avais trouvées dans son énorme fumier. Je ne m'attendais pas que je servirais un jour à fouler aux pieds les couronnes de Racine et de Corneille. pour en orner le front d'un histrion barbare.
Page 61 - Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire : les grands sujets lui sont défendus ; il les entame quelquefois , et se détourne ensuite sur de petites choses, qu'il relève par la beauté de son génie et de son style.
Page 367 - L'autre d'un long serpent serrait le corps livide : Tous trois vers ce palais ont pris un vol rapide, Et tous trois dans les airs, en fuyant loin de moi, M'ont laissé pour...
Page 255 - ... et il en paraît d'autres qui font de nouveaux efforts pour plaire ; ils s'éloignent de la nature encore plus que les premiers : le goût, se perd ; on est entouré de nouveautés qui sont rapidement effacées les unes par les autres ; le public ne sait plus où il en est, et il regrette en vain le siècle du bon goût, qui ne peut plus revenir : c'est un dépôt que quelques bons esprits conservent encore loin de la foule.
Page 394 - A cette première règle, dictée par le génie, si l'on joint de la délicatesse et du goût, du scrupule sur le choix des expressions, de l'attention à ne nommer les choses que par les ternies les plus généraux, le style aura de la noblesse.
Page 413 - ... et à peine me reste-t-il de quoi me trouver encore moi-même. Qui ne vous voit point n'a rien vu ; qui ne vous goûte point n'a jamais rien senti : il est comme s'il n'était pas; sa vie entière n'est qu'un songe.
Page 354 - Qu'eutends-je ! est-ce là cette voix Dont les sons enchanteurs m'ont séduit tant de fois! Cette voix qui trahit un feu si légitime? Cette voix infidèle, et l'organe du crime? Perfide!...
Page 208 - Cette maxime est encore plus exécrable en morale que les autres ne sont fausses en physique. Quand il serait vrai qu'un homme ne pourrait être vertueux sans souffrir, il faudrait l'encourager à l'être. La proposition de l'auteur serait visiblement la ruine de la société. D'ailleurs, comment saura-t-il qu'on ne peut être heureux s.ans avoir des vices...
Page 372 - LOCLIN. Macbeth , Duncan n'est plus : j'apporte devant toi Ce signe du pouvoir, le livre de la loi ; S'il t'assure le droit qu'il te donne à l'empire, De tes devoirs sacrés il doit aussi t'instruire. Ce livre inexorable, à toute heure, en tous lieux, Offrira le reproche ou la gloire à tes yeux. Mais l'ombre de Duncan nous demande vengeance* Des dieux , dont tout mortel brave en vain la puissance , Sur l'indigne assassin (jui lui porta les coups, Par nos vœux réunis attirons le courroux.