Histoire de la révolution française, Volume 4Chamerot, 1849 - France |
Contents
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Common terms and phrases
10 août 1er septembre 25 septembre accusations allait amis AOUT armée avaient bataille bataille de Jemmapes Bicêtre Brissot Brunswick c'était Cambon cent chose cœur comité de surveillance commissaires Commune Convention coup Danton décret demandaient députés devait dictature dire donner doute Dumouriez Duport ennemis eût Fabre d'Églantine faisait fallait faubourg Saint-Antoine fédérés femme firent force foule fureur furieux fût garde nationale général Gironde Girondins guerre homme Jacobins Jemmapes jeune jour juge justice l'Abbaye l'armée l'Assemblée l'avait l'ennemi l'homme liberté Louis XVI main Marat massacre massacreurs masse ment mille ministres Mme Roland Montagne mort n'avait n'était nuit parole patrie pauvre paysan père personne Pétion peuple politique pouvait prêtres prisonniers procès Prusse Prussiens rent République reste Révolution rien Robespierre royalistes royauté s'était salut sang sauver sections semblait sentait SEPT SEPTEMBRE 92 seul soldats sorte Suisses terreur terrible tion tribunal trouva Tuileries Valmy venait Vendée Vergniaud violents voulait vraiment
Popular passages
Page 174 - Hier ! fut un jour sur les événements duquel il faut peut-être laisser un voile. Je sais que le peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice ; il ne prend pas pour victime tout ce qui se présente à sa fureur : il la dirige sur ceux qu'il croit avoir été trop...
Page 299 - On prétend qu'il est parmi nous des hommes qui ont l'opinion de vouloir morceler la France ; faisons disparaître ces idées absurdes, en prononçant la peine de mort contre leurs auteurs. La France doit être un tout indivisible. Elle doit avoir unité de représentation. Les citoyens de Marseille veulent donner la main aux citoyens de Dunkerque.
Page 123 - Paris concerte avec le pouvoir exécutif les mesures qu'elle est dans l'intention de prendre. Je demande aussi que l'Assemblée nationale, qui dans ce moment-ci est plutôt un grand comité militaire qu'un corps législatif, envoie à l'instant, et chaque jour, douze commissaires au camp, non pour exhorter par de vains discours les citoyens à travailler, mais pour piocher eux-mêmes; car il n'est plus temps de discourir, il faut piocher la fosse de nos ennemis; ou chaque pas qu'ils font en avant,...
Page 125 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Page 300 - ... Marseille veulent donner la main aux citoyens de Dunkerque. Je demande donc la peine de mort contre quiconque voudrait détruire l'unité en France, et je propose de décréter que la Convention nationale pose pour base du gouvernement qu'elle va établir l'unité de représentation et d'exécution. Ce ne sera pas sans frémir que les Autrichiens apprendront cette sainte harmonie ; alors, je vous jure, nos ennemis sont morts. (On applaudit...
Page 51 - L'expérience lui a prouvé qu'il n'est aucun retour à espérer des anciens oppresseurs du peuple : elle va rentrer dans ses droits... Mais, là où commence l'action de la justice, là doivent cesser les vengeances populaires. Je prends devant l'Assemblée nationale l'engagement de protéger les hommes qui sont dans son enceinte ; je marcherai à leur tête et je réponds d'eux.
Page 324 - Puisqu'il s'agit de dire hautement sa pensée, je rappellerai, moi, qu'il fut un moment où la confiance fut tellement abattue , qu'il n'y avait plus de ministres , et que Roland luimême eut l'idée de sortir de Paris.
Page 338 - Ah ! c'est vous qu'on appelle Marat? Je n'ai rien à vous dire ; et il lui tourna le dos. Alors , ne connaissant pas les deux autres commissaires , il s'adressa à eux , et leur fit ou crut leur faire entendre raison. Ils se retirèrent , et la fête continua. Pour achever l'histoire de cet assassinat , le général a appris, depuis qu'il a quitté la France, que Marat, devenu tyran avant...
Page 292 - Certes, personne de nous ne proposera jamais de conserver en France la race funeste des rois ; nous savons trop bien que toutes les dynasties n'ont jamais été que des races dévorantes qui ne vivaient que de chair humaine. Mais il faut pleinement rassurer les amis de la liberté.
Page 306 - ... qu'on lui mît un boulet aux pieds, et qu'il n'eût d'autorité que pour abattre les têtes criminelles; telle a été mon opinion ; je ne l'ai point propagée dans les cercles , je l'ai imprimée dans mes écrits; j'y ai mis mon nom et je n'en rougis point.