Platon: Aristote. Exposé substantiel de leur doctrine morale et politiquelibraire de Firmin Didot Frères, 1851 - 294 pages |
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... l'une ayant pour fonde- ment la justice , et l'autre ne visant qu'à l'utilité ( 2 ) . D'où il paraît aux moins clairvoyants que , suivant Montesquieu et M. Cousin , Platon et ... un ensemble , une suite d'opinions liées et 2 INTRODUCTION .
... l'une ayant pour fonde- ment la justice , et l'autre ne visant qu'à l'utilité ( 2 ) . D'où il paraît aux moins clairvoyants que , suivant Montesquieu et M. Cousin , Platon et ... un ensemble , une suite d'opinions liées et 2 INTRODUCTION .
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... un consentement et une con- fiance qu'imposent l'autorité de leur génie et la con- naissance qu'ils avaient d'une philosophie que le plus souvent ils n'ont fait que s'approprier , la doc- trine de Platon et d'Aristote , une en son ...
... un consentement et une con- fiance qu'imposent l'autorité de leur génie et la con- naissance qu'ils avaient d'une philosophie que le plus souvent ils n'ont fait que s'approprier , la doc- trine de Platon et d'Aristote , une en son ...
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... l'un et l'autre ont sui- vie dans la pratique des procédés élémentaires qui constituent le raisonnement . Or , si on considère bien ces choses , on reconnaîtra que Platon arrive au discernement des principes par intuition , et à la ...
... l'un et l'autre ont sui- vie dans la pratique des procédés élémentaires qui constituent le raisonnement . Or , si on considère bien ces choses , on reconnaîtra que Platon arrive au discernement des principes par intuition , et à la ...
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... un effet logique de la manière dont l'un et l'autre ont conçu et exprimé l'être ou ce qui est . Ainsi , pour Platon l'être est dans la généralité , dans ce qui est commun à plusieurs individus , dans ce qui les relie et constitue le ...
... un effet logique de la manière dont l'un et l'autre ont conçu et exprimé l'être ou ce qui est . Ainsi , pour Platon l'être est dans la généralité , dans ce qui est commun à plusieurs individus , dans ce qui les relie et constitue le ...
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... un rayon affaibli de la lumière éternelle , une pensée immédiate du verbe incréé , cause première ou principe de ce qui est . Au lieu que pour Aristote l'être , ne pouvant se rencontrer que dans une substance déterminée , l'universel ...
... un rayon affaibli de la lumière éternelle , une pensée immédiate du verbe incréé , cause première ou principe de ce qui est . Au lieu que pour Aristote l'être , ne pouvant se rencontrer que dans une substance déterminée , l'universel ...
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Common terms and phrases
absolue action animus Aristote avons axiomes beauté de l'âme besoins bonheur c'est-à-dire cause choses CICERON cipe citoyens classe conforme connaissance conséquence considérer constitution contraire convenance corps cratie d'Aristote d'où démagogie démocratie démonstration Descartes désir désirs déterminé différence dire discerner doit effet également éléments enim éphores espèces essence État évident existe facultés force galité garchie Glaucon gouvernement Héraclite hommes humaine Ibid idées intelli intérêt jugement juste justice l'âme l'autre l'éducation l'égalité l'entendement l'esprit l'État l'être l'harmonie l'idée l'in l'individu l'injustice l'intelligence l'objet l'oligarchie l'un Lacédémone législateur lois lui-même manière ment mœurs morale de l'homme mouvement moyen nature nécessaire objet œuvre essentielle oligarchique pable paraît Parménide particulier passions pensée philosophie Platon politique premier principe Protagoras puissance qu'à qu'un quæ raison rapport recherche règle république résulte riches rien sagesse science sensation sentiment seul Socrate sorte souveraineté Sparte tempérance Théétète Thrasymaque tielle tion toyens trouve tyrannie vérité vertu Voilà volonté vrai
Popular passages
Page 279 - Nous avons beau enfler nos conceptions au delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes, au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 168 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles . Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste, que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 29 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle, c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit , que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute...
Page 279 - Mais pour lui présenter un autre prodige aussi étonnant, qu'il recherche dans ce qu'il connaît les choses les plus délicates. Qu'un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des...
Page 280 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 30 - Ces longues chaînes de raisons toutes simples et faciles dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations...
Page 286 - Je ne dois point être surpris qu'une chose arrive lorsqu'elle est possible, et que la difficulté de l'événement est compensée par la quantité des jets ; j'en conviens.
Page 278 - La première chose qui s'offre à l'homme quand il se regarde, c'est son. corps , c'est-à-dire une certaine portion de matière qui lui est propre. Mais, pour comprendre ce qu'elle est, il faut qu'il la compare avec tout ce qui est au-dessus de lui et tout ce qui est au-dessous, alin de reconnaître ses justes bornes.
Page 169 - Toute la moralité de nos actions est dans le jugement que nous en portons nous-mêmes. S'il est vrai que le bien soit bien, il doit être au fond de nos cœurs comme dans nos œuvres, et le premier prix de la justice est de sentir qu 'on la pratique.
Page 29 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre...