Mercure françias, Issue 2131812 |
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... Voyez le sombre amas de ces vapeurs brûlantes Et ce vaste océan de flammes ondoyantes ! Vomis , en noirs bouillons , du gouffre dévorant , Des rocs bitumineux , comme un affreux torrent Tombent ; et des monceaux de laves refoulées ...
... Voyez le sombre amas de ces vapeurs brûlantes Et ce vaste océan de flammes ondoyantes ! Vomis , en noirs bouillons , du gouffre dévorant , Des rocs bitumineux , comme un affreux torrent Tombent ; et des monceaux de laves refoulées ...
Page 120
... ( Voyez le Cours de Littérature ) . Il prétend qu'on ne trouve dans ses ou¬ vrages presque aucun sentiment de cette harmonie , pres- qu'aucune idée de ce tour heureux de phrase , qui font de la poésie une langue à part ; mais , ajoute - t ...
... ( Voyez le Cours de Littérature ) . Il prétend qu'on ne trouve dans ses ou¬ vrages presque aucun sentiment de cette harmonie , pres- qu'aucune idée de ce tour heureux de phrase , qui font de la poésie une langue à part ; mais , ajoute - t ...
Page 121
... ( Voyez le Cours de Littérature . ) Ce qui a fait le plus de tort à Lemierre , c'est d'avoir semé dans ses ouvrages une vingtaine de vers tellement durs , tellement ridicules , qu'il est difficile de las pro- noncer sans provoquer le rire ...
... ( Voyez le Cours de Littérature . ) Ce qui a fait le plus de tort à Lemierre , c'est d'avoir semé dans ses ouvrages une vingtaine de vers tellement durs , tellement ridicules , qu'il est difficile de las pro- noncer sans provoquer le rire ...
Page 149
... voyez quel chef - d'œuvre en remplit l'étendue ? Est - ce aux drames du jour que la gloire en est due ? Serait - ce à tous ces chants d'un sublime si bas ? A nos traductions qui ne traduisent pas ? A tant de vers enfin dont l ...
... voyez quel chef - d'œuvre en remplit l'étendue ? Est - ce aux drames du jour que la gloire en est due ? Serait - ce à tous ces chants d'un sublime si bas ? A nos traductions qui ne traduisent pas ? A tant de vers enfin dont l ...
Page 153
... Voyez si j'ai près d'eux puisé quelque chaleur ; Il faut , pour me goûter , être plein de la leur ; Venez ; à vos transports ma muse se confie ; Mais loin , ce froid censeur de la philosophie , Littera ... • Per me equidem sint omnia ...
... Voyez si j'ai près d'eux puisé quelque chaleur ; Il faut , pour me goûter , être plein de la leur ; Venez ; à vos transports ma muse se confie ; Mais loin , ce froid censeur de la philosophie , Littera ... • Per me equidem sint omnia ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 265 - Montaigne! toi qui te piques de franchise et de vérité, sois sincère et vrai, si un philosophe peut l'être, et dis-moi s'il est quelque pays sur la terre où ce soit un crime de garder sa foi, d'être clément, bienfaisant, généreux; où l'homme de bien soit méprisable et le perfide honoré.
Page 395 - Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 511 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 295 - La Mort ne surprend point le sage : II est toujours prêt à partir, S'étant su lui-même avertir Du temps où l'on se doit résoudre à ce passage. Ce temps, hélas! embrasse tous les temps : Qu'on le partage en jours, en heures, en moments...
Page 414 - Quand on voit le style naturel, on est tout étonné et ravi; car on s'attendait de voir un auteur, et on trouve un homme.
Page 455 - Un clerc, pour quinze sous, sans craindre le holà, Peut aller au parterre attaquer Attila ; Et, si le roi des Huns ne lui charme l'oreille, Traiter de visigoths tous les vers de Corneille.
Page 413 - MONTAIGNE, que je ne crois pas, aussi bien qu'eux, exempt de toute sorte de blâme : il paraît que tous deux ne l'ont estimé en nulle manière. L'un ne pensait pas assez pour goûter un auteur qui pense beaucoup ; l'autre pense trop subtilement pour s'accommoder de pensées qui sont naturelles.
Page 226 - ... de cette tranquillité et repos d'étude et apprendre la chevalerie et les armes pour défendre ma maison et nos amis secourir en tous leurs affaires contre les assauts des malfaisants.
Page 125 - Éloigne tes pavots, Morphée, et laisse-moi Contempler ce bel astre, aussi calme que toi, Cette voûte des cieux mélancolique et pure, Ce demi-jour si doux levé sur la nature, Ces sphères qui, roulant dans l'espace des cieux, Semblent y ralentir leur cours silencieux; Du disque de Phébé la lumière argentée, En rayons tremblotants sous ces eaux répétée.
Page 226 - Si priaient Dieu le créateur, en l'adorant et ratifiant leur foi envers lui, et le glorifiant de sa bonté immense, et lui rendant grâce de tout le temps passé, se recommandaient à sa divine clémence pour tout l'avenir.