Fables. - Paris, Didot l'aine 1788Didot l'aine, 1788 |
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... la poésie , puisque le plus sage des anciens a jugé qu'ils n'y étoient pas inutiles . a J'ose , MONSEIGNEUR , vous en présenter quelques essais . LES ABDÉRITAINS et Démocrite Liv VIII Fable 26 l'Agneau et le Loup I 10.
... la poésie , puisque le plus sage des anciens a jugé qu'ils n'y étoient pas inutiles . a J'ose , MONSEIGNEUR , vous en présenter quelques essais . LES ABDÉRITAINS et Démocrite Liv VIII Fable 26 l'Agneau et le Loup I 10.
Page xliii
... juge du « mérite que par des dehors imposants , cherchoit << en lui l'homme célebre ; peu de gens le devi- << noient >> . Fontenelle , qui l'avoit un peu connu , le définissoit ainsi : « Un homme qui étoit toujours « demeuré à - peu ...
... juge du « mérite que par des dehors imposants , cherchoit << en lui l'homme célebre ; peu de gens le devi- << noient >> . Fontenelle , qui l'avoit un peu connu , le définissoit ainsi : « Un homme qui étoit toujours « demeuré à - peu ...
Page liv
... juges : ils soutiennent une réputation déja établie , ils lui donnent , pour ainsi dire , plus de base et de surface ; mais ils ne la font pas . Les Anglois , à qui la langue françoise étoit beaucoup moins familiere alors qu'aujourd'hui ...
... juges : ils soutiennent une réputation déja établie , ils lui donnent , pour ainsi dire , plus de base et de surface ; mais ils ne la font pas . Les Anglois , à qui la langue françoise étoit beaucoup moins familiere alors qu'aujourd'hui ...
Page lv
... juge de la bonté que de l'esprit , et dans la langue duquel ( C gustin que Rabelais » . Tout le monde éclata de rire à cette proposition , sans que La Fontaine s'apperçût de sa disparate . Voyez une lettre de Boileau à Maucroix , et la ...
... juge de la bonté que de l'esprit , et dans la langue duquel ( C gustin que Rabelais » . Tout le monde éclata de rire à cette proposition , sans que La Fontaine s'apperçût de sa disparate . Voyez une lettre de Boileau à Maucroix , et la ...
Page lx
... jugé ceci de son apanage . A peine les fables qu'on attribue à Ésope virent le jour , que Socrate trouva à propos de les habiller des livrées des muses . Ce que Platon en rapporte est si agréa- ble , que je ne puis m'empêcher d'en faire ...
... jugé ceci de son apanage . A peine les fables qu'on attribue à Ésope virent le jour , que Socrate trouva à propos de les habiller des livrées des muses . Ce que Platon en rapporte est si agréa- ble , que je ne puis m'empêcher d'en faire ...
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Adieu alloit amant amour animaux Apollon assez asyle auroit aussi-bien avoient avoit beau belette belle Belphegor berger bête C'étoit cent Cérès cerf chasseur chat Chevre chien chose ciel cœur connoissance conte corbeau Cormoran Crésus crut d'Ésope déja devoit dieu dieux dire disoit dit-il donne doux enfants enfin Ésope esprit étoient étoit fable FABLE PREMIERE faisoit femme Fontaine Fortune gens grace Grenouilles homme hymen J'ai J'en jour Jupiter l'aigle l'ame l'amour l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau L'un laisse lievre lion logis loup Lycérus maint maître malheureux maniere mieux mort mouche mouton n'avoit n'en neuf sœurs par-tout passer pauvre peine peuple Phedre philosophe Pilpay plaisir pleurs prince qu'à qu'un raison Renard repartit rien s'en s'il sage Scythe seroit seul Singe Socrate sœurs soins sort souris Styx Télamon tête Tircis tortue trésor trouve veux VIII voilà voleurs Xantus yeux zéphyrs