histoire des lettres |
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Page 17
... femme dans un pays qui vit naître Sophocle , le chantre admirable de la vertu et de l'abnégation féminines . Sans Aristophane , nous n'aurions qu'une connaissance très imparfaite des mœurs d'Athènes , du dévergondage sensuel de ses ...
... femme dans un pays qui vit naître Sophocle , le chantre admirable de la vertu et de l'abnégation féminines . Sans Aristophane , nous n'aurions qu'une connaissance très imparfaite des mœurs d'Athènes , du dévergondage sensuel de ses ...
Page 29
... femme de Ménélas , et l'enleva . La famille des Atrides , qui gouvernait la Grèce alors , assem- bla les Grecs et les guida vers Troie pour venger cette injure . De là ce premier grand duel des peu- ples grecs contre l'Asie , du nouveau ...
... femme de Ménélas , et l'enleva . La famille des Atrides , qui gouvernait la Grèce alors , assem- bla les Grecs et les guida vers Troie pour venger cette injure . De là ce premier grand duel des peu- ples grecs contre l'Asie , du nouveau ...
Page 34
... femme est défaillant ; le guerrier s'efforce de la rassurer . Ayant ainsi parlé , le noble Hector voulut pren- dre son fils ; Mais vers le sein de sa nourrice à l'élégante ceinture $ » L'enfant se rejeta en criant , effrayé à l'aspect ...
... femme est défaillant ; le guerrier s'efforce de la rassurer . Ayant ainsi parlé , le noble Hector voulut pren- dre son fils ; Mais vers le sein de sa nourrice à l'élégante ceinture $ » L'enfant se rejeta en criant , effrayé à l'aspect ...
Page 35
... femmes » De reprendre les leurs les hommes auront soin de la guerre , » Tous ceux qui sont nés dans Ilion , et moi sur- tout . >> Ayant ainsi parlé , le noble Hector prit son cas- que à la crinière de cheval ; sa femme bien - aimée s'en ...
... femmes » De reprendre les leurs les hommes auront soin de la guerre , » Tous ceux qui sont nés dans Ilion , et moi sur- tout . >> Ayant ainsi parlé , le noble Hector prit son cas- que à la crinière de cheval ; sa femme bien - aimée s'en ...
Page 36
... femmes allaient avec elle ; » Mais quand elle fut parvenue à la tour et à la foule des hommes , » Elle s'arrêta sur le mur et regarda : elle le vit » Traîné devant la ville : les rapides chevaux » L'enlevaient inhumainement vers les ...
... femmes allaient avec elle ; » Mais quand elle fut parvenue à la tour et à la foule des hommes , » Elle s'arrêta sur le mur et regarda : elle le vit » Traîné devant la ville : les rapides chevaux » L'enlevaient inhumainement vers les ...
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Common terms and phrases
Achille admirable Ajax âme amour AMYCOS ans avant J.-C antique Aristophane assez Athènes Athéniens beau beautés bonheur célèbres César chants charme chose christianisme Cicéron ciel Clytemnestre cœur comédie crime d'Aristote d'Athènes d'Eschyle d'Homère Démosthènes Dieu dieux divin douleur doute drame écrits élevé époque Eschine Eschyle esprit Euripide femme fils foule génie gloire Grèce guerre Hérodote Hésiode Homère homme Horace humain idées inspiré jeté jeune Jupiter l'âme l'amour l'art l'Énéide l'histoire l'homme l'humanité l'Iliade l'univers larmes livre malheurs Ménélas ment mère mœurs monde morale mort nature noble OEdipe œuvre orateur Oreste palais paroles passions patrie paysage peint peinture pensée père Perse peuple philosophie Pindare Platon Plaute poème poésie grecque poète poétique profonde Prométhée qu'un rien romain Rome Salluste satires scène Schlegel semble sentiment seul siècle Socrate Sophocle souvent style sublime surtout Tacite TECMESSE Térence terre Théocrite Thucydide tion Tite-Live tragédie trouve Troyennes Ulysse vérité Virgile voix Xénophane Zénon
Popular passages
Page 257 - Dieu n'a pas eu de commencement et n'a pas pu naître. Il est impossible de ne pas éprouver une impression profonde et presque solennelle en présence de cette argumentation , quand on se dit que c'est là peut-être la première fois que, dans la Grèce au moins , l'esprit humain a tenté de se rendre compte de sa foi et de convertir ses croyances en théories. Il est curieux d'assister à la naissance de la philosophie religieuse : la voilà...
Page 187 - ... saurait douter après le témoignage des critiques anciens et d'Hérodote, qu'il suffit d'ouvrir seulement pour s'en convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue.
Page 4 - ... par cette haute chaîne de montagnes qui la sépare ainsi que l'Italie des plaines ouvertes de l'Europe septentrionale, environnée de tous les autres côtés par les flots, la Grèce, à toutes ces fortifications extérieures, joint l'avantage d'être construite au dedans comme un château du moyen âge. Une muraille y succède à une muraille , une porte à une porte ; c'est un labyrinthe inextricable qui garde toujours une issue et un asile pour ses défenseurs après chaque défaite, un piège...
Page 346 - Enéide le retentissement de la chute de Troie. Un empire à détruire, voilà le sujet d'Homère : ce grand empire détruit, et se relevant en Italie sous un nouveau nom et sous de meilleurs auspices, le monde entier promis à sa domination, voilà le sujet de Virgile. Il s'est placé entre le tombeau de Troie et le berceau de Rome; et, par une multitude d'oracles, par les prophéties d'Anchise et l'ingénieuse fiction du bouclier forgé par Vulcain , il a pu suivre les grandes destinées de cette...
Page 365 - C'est changer de climat et non changer d'humeur. Hélas ! que nous prenons une peine inutile ! Sur les mers, sur la terre, on cherche le bonheur : Le bonheur est partout , aux champs comme à la ville ; II faut , pour le trouver, trouver la paix du cœur. J'extrais du portefeuille d'un de mes plus chers amis une imitation du début de la 7e épître.
Page 186 - ... qu'ont fait les anciens Grecs , et aussi est plus grec cent fois que ceux qui traduisaient du grec. De même Pascal, soit dit en passant, dans ses deux ou trois premières lettres, a plus de Platon, quant au style, qu'aucun traducteur de Platon.
Page 409 - Rome: noblesse, opulence, honneurs refusés ou reçus, comptés pour autant de crimes, et la vertu devenue le plus irrémissible de tous ; les délateurs, dont le salaire ne révoltait pas moins que les forfaits, se partageant comme un butin sacerdoces et consulats, régissant les provinces, régnant au palais, menant tout au gré de leur caprice ; la haine ou la terreur armant les esclaves contre leurs maîtres, les affranchis contre leurs patrons; enfin ceux à qui manquait un ennemi, accablés...
Page 408 - Suèves levées contre nous; le Dace illustré par ses défaites et les nôtres; le Parthe lui-même prêt à courir aux armes pour un fantôme de Néron ; et en Italie des calamités nouvelles ou renouvelées après une longue suite de siècles; des villes abîmées * ou ensevelies sous leurs ruines, dans la partie la plus riche de la Campanie ; Rome désolée par le feu, voyant consumer ses temples les plus antiques; le Capitole même brûlé par la main des citoyens; les cérémonies saintes profanées...
Page 94 - Jupiter! que ne m'as-tu plongé dans la nuit de la mort avec mes soldats ! • • . . LE CHOEUR. O roi ! qu'est devenue votre armée superbe ? Qu'est devenu l'honneur qui réglait cet empire? Où sont nos braves soldats? Un dieu cruel les a détruits. Cette terre redemande en pleurant la jeunesse qu'elle avait nourrie. Hélas ! Xerxès l'a perdue; Xerxès en a surchargé les enfers. Cette foule de guerriers , la fleur de l'Asie , ces archers habiles , des millions d'hommes, tout a péri. C'était...
Page 305 - Ah ! lui répondit-il , je vous loue sans doute et vous admire , mais je plains le sort de la Grèce ; il ne lui restait plus que la gloire de l'éloquence , vous allez la lui ravir et la transporter aux Romains.