histoire des lettres |
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... Toutes ses douleurs ont des causes visibles ; jamais vous n'y rencontrez cette mélancolie mys- térieuse des chants du Nord et de l'Orient , qui semble devenir aujourd'hui l'unique inspiratrice de nos poètes . Ce AVANT LE CHRISTIANISME . 9.
... Toutes ses douleurs ont des causes visibles ; jamais vous n'y rencontrez cette mélancolie mys- térieuse des chants du Nord et de l'Orient , qui semble devenir aujourd'hui l'unique inspiratrice de nos poètes . Ce AVANT LE CHRISTIANISME . 9.
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... chants con- temporains . Si nous demandons ce que la Grèce a fait pour l'industrie , la magnificence de ses villes nous ré + pondra ; pour les sciences naturelles , elle nous citera les noms d'Aristote et d'Hippocrate . Dans ce qui ...
... chants con- temporains . Si nous demandons ce que la Grèce a fait pour l'industrie , la magnificence de ses villes nous ré + pondra ; pour les sciences naturelles , elle nous citera les noms d'Aristote et d'Hippocrate . Dans ce qui ...
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... chant seizième ces luttes sanglantes continuent avec des chances diverses . Mais les Grecs vont succomber , lorsque Patrocle , le bien - aimé d'Achille , se présente devant lui les yeux baignés de larmes , et le supplie de le laisser ...
... chant seizième ces luttes sanglantes continuent avec des chances diverses . Mais les Grecs vont succomber , lorsque Patrocle , le bien - aimé d'Achille , se présente devant lui les yeux baignés de larmes , et le supplie de le laisser ...
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... chant , qui retrace les funérailles de Patrocle , est une admirable peinture des mœurs antiques . Mais jamais le génie d'Homère ne s'est élevé plus haut que dans le vingt - quatrième . C'est undes plus beaux monuments de la pensée ...
... chant , qui retrace les funérailles de Patrocle , est une admirable peinture des mœurs antiques . Mais jamais le génie d'Homère ne s'est élevé plus haut que dans le vingt - quatrième . C'est undes plus beaux monuments de la pensée ...
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... chants , et les bons Phéa- ciens en riaient à gorge déployée . >>> Ce rire indique positivement que le poète livrait en toute conscience ses dieux au ridicule . Pourquoi donc nous parle - t - il du respect et du culte qu'on leur doit ...
... chants , et les bons Phéa- ciens en riaient à gorge déployée . >>> Ce rire indique positivement que le poète livrait en toute conscience ses dieux au ridicule . Pourquoi donc nous parle - t - il du respect et du culte qu'on leur doit ...
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Common terms and phrases
Achille admirable Ajax âme amour AMYCOS ans avant J.-C antique Aristophane assez Athènes Athéniens beau beautés bonheur célèbres César chants charme chose christianisme Cicéron ciel Clytemnestre cœur comédie crime d'Aristote d'Athènes d'Eschyle d'Homère Démosthènes Dieu dieux divin douleur doute drame écrits élevé époque Eschine Eschyle esprit Euripide femme fils foule génie gloire Grèce guerre Hérodote Hésiode Homère homme Horace humain idées inspiré jeté jeune Jupiter l'âme l'amour l'art l'Énéide l'histoire l'homme l'humanité l'Iliade l'univers larmes livre malheurs Ménélas ment mère mœurs monde morale mort nature noble OEdipe œuvre orateur Oreste palais paroles passions patrie paysage peint peinture pensée père Perse peuple philosophie Pindare Platon Plaute poème poésie grecque poète poétique profonde Prométhée qu'un rien romain Rome Salluste satires scène Schlegel semble sentiment seul siècle Socrate Sophocle souvent style sublime surtout Tacite TECMESSE Térence terre Théocrite Thucydide tion Tite-Live tragédie trouve Troyennes Ulysse vérité Virgile voix Xénophane Zénon
Popular passages
Page 257 - Dieu n'a pas eu de commencement et n'a pas pu naître. Il est impossible de ne pas éprouver une impression profonde et presque solennelle en présence de cette argumentation , quand on se dit que c'est là peut-être la première fois que, dans la Grèce au moins , l'esprit humain a tenté de se rendre compte de sa foi et de convertir ses croyances en théories. Il est curieux d'assister à la naissance de la philosophie religieuse : la voilà...
Page 187 - ... saurait douter après le témoignage des critiques anciens et d'Hérodote, qu'il suffit d'ouvrir seulement pour s'en convaincre. Or, la langue poétique partout, si ce n'est celle du peuple, en est tirée du moins. Malherbe, homme de cour, disait : J'apprends tout mon français à la place Maubert ; et Platon, poète s'il en fut, Platon, qui n'aimait pas le peuple, l'appelle son maître de langue.
Page 4 - ... par cette haute chaîne de montagnes qui la sépare ainsi que l'Italie des plaines ouvertes de l'Europe septentrionale, environnée de tous les autres côtés par les flots, la Grèce, à toutes ces fortifications extérieures, joint l'avantage d'être construite au dedans comme un château du moyen âge. Une muraille y succède à une muraille , une porte à une porte ; c'est un labyrinthe inextricable qui garde toujours une issue et un asile pour ses défenseurs après chaque défaite, un piège...
Page 346 - Enéide le retentissement de la chute de Troie. Un empire à détruire, voilà le sujet d'Homère : ce grand empire détruit, et se relevant en Italie sous un nouveau nom et sous de meilleurs auspices, le monde entier promis à sa domination, voilà le sujet de Virgile. Il s'est placé entre le tombeau de Troie et le berceau de Rome; et, par une multitude d'oracles, par les prophéties d'Anchise et l'ingénieuse fiction du bouclier forgé par Vulcain , il a pu suivre les grandes destinées de cette...
Page 365 - C'est changer de climat et non changer d'humeur. Hélas ! que nous prenons une peine inutile ! Sur les mers, sur la terre, on cherche le bonheur : Le bonheur est partout , aux champs comme à la ville ; II faut , pour le trouver, trouver la paix du cœur. J'extrais du portefeuille d'un de mes plus chers amis une imitation du début de la 7e épître.
Page 186 - ... qu'ont fait les anciens Grecs , et aussi est plus grec cent fois que ceux qui traduisaient du grec. De même Pascal, soit dit en passant, dans ses deux ou trois premières lettres, a plus de Platon, quant au style, qu'aucun traducteur de Platon.
Page 409 - Rome: noblesse, opulence, honneurs refusés ou reçus, comptés pour autant de crimes, et la vertu devenue le plus irrémissible de tous ; les délateurs, dont le salaire ne révoltait pas moins que les forfaits, se partageant comme un butin sacerdoces et consulats, régissant les provinces, régnant au palais, menant tout au gré de leur caprice ; la haine ou la terreur armant les esclaves contre leurs maîtres, les affranchis contre leurs patrons; enfin ceux à qui manquait un ennemi, accablés...
Page 408 - Suèves levées contre nous; le Dace illustré par ses défaites et les nôtres; le Parthe lui-même prêt à courir aux armes pour un fantôme de Néron ; et en Italie des calamités nouvelles ou renouvelées après une longue suite de siècles; des villes abîmées * ou ensevelies sous leurs ruines, dans la partie la plus riche de la Campanie ; Rome désolée par le feu, voyant consumer ses temples les plus antiques; le Capitole même brûlé par la main des citoyens; les cérémonies saintes profanées...
Page 94 - Jupiter! que ne m'as-tu plongé dans la nuit de la mort avec mes soldats ! • • . . LE CHOEUR. O roi ! qu'est devenue votre armée superbe ? Qu'est devenu l'honneur qui réglait cet empire? Où sont nos braves soldats? Un dieu cruel les a détruits. Cette terre redemande en pleurant la jeunesse qu'elle avait nourrie. Hélas ! Xerxès l'a perdue; Xerxès en a surchargé les enfers. Cette foule de guerriers , la fleur de l'Asie , ces archers habiles , des millions d'hommes, tout a péri. C'était...
Page 305 - Ah ! lui répondit-il , je vous loue sans doute et vous admire , mais je plains le sort de la Grèce ; il ne lui restait plus que la gloire de l'éloquence , vous allez la lui ravir et la transporter aux Romains.