Chefs-d'oeuvre dramatiques de la langue française, mis en ordre progressif, et annotes, pour en faciliter l'intelligenceD. Appleton & Company, 1863 |
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Page 15
... voyez - vous , c'est de se faire aimer . Victor . Ah ! monsieur Baptiste qui fait des sentences ; mais avec toute votre belle morale , nous n'avançons pas , vous êtes d'une lenteur ... ( Il regarde à la pendule . ) Mon Dieu , sept ...
... voyez - vous , c'est de se faire aimer . Victor . Ah ! monsieur Baptiste qui fait des sentences ; mais avec toute votre belle morale , nous n'avançons pas , vous êtes d'une lenteur ... ( Il regarde à la pendule . ) Mon Dieu , sept ...
Page 17
... voyez que rien n'est en ordre ici , nos impertinens de domestiques nous ont laissés - là . Caroline . Et moi , ma bonne m'a habillée à moitié . Adèle . N'est - ce que cela ? mon Dieu , tu vas être prête en un clin d'œil . ( Elle arrange ...
... voyez que rien n'est en ordre ici , nos impertinens de domestiques nous ont laissés - là . Caroline . Et moi , ma bonne m'a habillée à moitié . Adèle . N'est - ce que cela ? mon Dieu , tu vas être prête en un clin d'œil . ( Elle arrange ...
Page 45
... voyez par - là combien il est important de le ménager , de lui montrer des égards et du respect . Mais ce n'est pas tout ; il a voulu vous voir , votre frère et vous , avant d'écrire son testament , afin de régler ses dispositions en ...
... voyez par - là combien il est important de le ménager , de lui montrer des égards et du respect . Mais ce n'est pas tout ; il a voulu vous voir , votre frère et vous , avant d'écrire son testament , afin de régler ses dispositions en ...
Page 47
... voyez - moi . Verteuil , ( quand le menuet est fini . ) Fort bien , Léonor , fort bien . ( à Dupas . ) Monsieur , votre leçon est finie pour aujour- d'hui . ( Dupas fait un salut profond à la compagnie , et se re- tire . ) Léonor ...
... voyez - moi . Verteuil , ( quand le menuet est fini . ) Fort bien , Léonor , fort bien . ( à Dupas . ) Monsieur , votre leçon est finie pour aujour- d'hui . ( Dupas fait un salut profond à la compagnie , et se re- tire . ) Léonor ...
Page 72
... voyez , voyez ! ( Il lui montre les douze louis qu'il a dans la main . ) Tout cela ... Eh bien ! c'est lui qui me l'a donné . Madame de Detmond , ( surprise . ) Est - il possible ? Le prince ? Le Page . Il l'a tiré d'une grande , grande ...
... voyez , voyez ! ( Il lui montre les douze louis qu'il a dans la main . ) Tout cela ... Eh bien ! c'est lui qui me l'a donné . Madame de Detmond , ( surprise . ) Est - il possible ? Le prince ? Le Page . Il l'a tiré d'une grande , grande ...
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Common terms and phrases
Abner Acaste aime Alceste Allons âme amis amour Athalie Auguste avez Baptiste Belle-Main bonheur Camille Caroline Cécile Célimène cher chose ciel Cinna cœur crois Delmar Didier Dieu dieux dire Dormeuil Dornonville Ducros Dumolard Dumont Egis Égisthe enfant esprit Est-ce êtes Eugénie Euph fils fortune Francaleu Franval Frédéric French FRENCH LANGUAGE Germont gloire Gustave Hermance heureux homme Isménie j'ai j'en jamais Joad Joas Josabet jour language Léonor lévites Lisette Lucile m'en Madame Beaumont Madame de Brienne Madame de Detmond Madame de Melcourt Madame Dorbeval Madame Duservant mademoiselle main malheureux Mérope Messène monseigneur monsieur Narbas Olivier Oronte parler père Phil Poligni Polyphonte Prince Qu'est-ce regarde Rémy rien Rondon sais salon sang SCENE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion seigneur sera seul sort t'en temple tyran vais Valcour venger Verteuil veux Victor voilà vois yeux
Popular passages
Page 439 - Prêtez-moi l'un et l'autre une oreille attentive. Je ne veux point ici rappeler le passé, Ni vous rendre raison du sang que j'ai versé : Ce que j'ai fait, Abner, j'ai cru le devoir faire. Je ne prends point pour juge un peuple téméraire : Quoi que son insolence ait osé publier, Le ciel même a pris soin de me justifier. Sur d'éclatants succès ma puissance établie A fait jusqu'aux deux mers respecter Athalie; Par moi Jérusalem goûte...
Page 435 - De ce jour à jamais auguste et renommé, Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre. Venait-il renverser l'ordre des 'éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Page 427 - Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple saint en foule inondait les portiques...
Page 463 - Frappez et Tyriens et même Israélites. Ne descendez-vous pas de ces fameux lévites Qui, lorsqu'au dieu du Nil le volage Israël Rendit dans le désert un culte criminel, De leurs plus chers parents saintement homicides, Consacrèrent leurs mains dans le sang des perfides, Et par ce noble exploit vous acquirent l'honneur D'être seuls employés aux autels du Seigneur? Mais je vois que déjà vous brûlez de me suivre.
Page 358 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 457 - De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Page 345 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer? Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre, Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre.
Page 519 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire, Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 451 - J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices-, Je leur semai de fleurs le bord des précipices: Près de leurs passions rien ne me fut sacré; De mesure et de poids je changeais à leur gré. Autant que de Joad l'inflexible rudesse...
Page 463 - O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas! vous ignorez le charme empoisonneur. De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.