Chefs-d'oeuvre dramatiques de la langue française, mis en ordre progressif, et annotes, pour en faciliter l'intelligenceD. Appleton & Company, 1863 |
From inside the book
Results 1-5 of 69
Page 62
... seigneur ! Le Prince . Viens , viens , mon petit ami , réveille - toi ! Vois l'heure qu'il est à ta montre ; la mienne est arrêtée . Le Page , ( s'appuyant sur les bras du fauteuil , et toujours endormi . ) Comment ? comment dites ...
... seigneur ! Le Prince . Viens , viens , mon petit ami , réveille - toi ! Vois l'heure qu'il est à ta montre ; la mienne est arrêtée . Le Page , ( s'appuyant sur les bras du fauteuil , et toujours endormi . ) Comment ? comment dites ...
Page 79
... seigneur ... Le Prince . Mais si nous sautions ce grade ? Le rang de capitaine , une compagnie : c'est là le premier but de tous ces messieurs . Mais auparavant ... ( Il se tourne rapidement vers le capitaine . ) Monsieur , que pensez ...
... seigneur ... Le Prince . Mais si nous sautions ce grade ? Le rang de capitaine , une compagnie : c'est là le premier but de tous ces messieurs . Mais auparavant ... ( Il se tourne rapidement vers le capitaine . ) Monsieur , que pensez ...
Page 81
... seigneur . Le Prince . Bonjour , monsieur . Je suis charmé de vous voir . De combien est la pension des enfans de la première qualité ? Le Directeur . De douze cents livres , monseigneur . Le Prince . Bon . J'ai ici un enfant que je ...
... seigneur . Le Prince . Bonjour , monsieur . Je suis charmé de vous voir . De combien est la pension des enfans de la première qualité ? Le Directeur . De douze cents livres , monseigneur . Le Prince . Bon . J'ai ici un enfant que je ...
Page 172
... dormant ! Gustave . Maint seigneur que le sort favorise , Et qui brille à nos yeux éblouis , Vous n'êtes pas fâché contre noi . * Celui - ci est le cinquième . Chaque jour voit croître avec surprise , Ses grandeurs , 172 LA SOMNAMBULE .
... dormant ! Gustave . Maint seigneur que le sort favorise , Et qui brille à nos yeux éblouis , Vous n'êtes pas fâché contre noi . * Celui - ci est le cinquième . Chaque jour voit croître avec surprise , Ses grandeurs , 172 LA SOMNAMBULE .
Page 175
... seigneur de ce riant coteau , Et , s'il le faut , la rime complaisante Va , d'un seul vers , me donner un château . SCÈNE II . Victor ; Belle - Main , le parapluie et une liasse de papier sous le bras , culotte de nankin , bas chinés ...
... seigneur de ce riant coteau , Et , s'il le faut , la rime complaisante Va , d'un seul vers , me donner un château . SCÈNE II . Victor ; Belle - Main , le parapluie et une liasse de papier sous le bras , culotte de nankin , bas chinés ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Abner Acaste aime Alceste Allons âme amis amour Athalie Auguste avez Baptiste Belle-Main bonheur Camille Caroline Cécile Célimène cher chose ciel Cinna cœur crois Delmar Didier Dieu dieux dire Dormeuil Dornonville Ducros Dumolard Dumont Egis Égisthe enfant esprit Est-ce êtes Eugénie Euph fils fortune Francaleu Franval Frédéric French FRENCH LANGUAGE Germont gloire Gustave Hermance heureux homme Isménie j'ai j'en jamais Joad Joas Josabet jour language Léonor lévites Lisette Lucile m'en Madame Beaumont Madame de Brienne Madame de Detmond Madame de Melcourt Madame Dorbeval Madame Duservant mademoiselle main malheureux Mérope Messène monseigneur monsieur Narbas Olivier Oronte parler père Phil Poligni Polyphonte Prince Qu'est-ce regarde Rémy rien Rondon sais salon sang SCENE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion seigneur sera seul sort t'en temple tyran vais Valcour venger Verteuil veux Victor voilà vois yeux
Popular passages
Page 439 - Prêtez-moi l'un et l'autre une oreille attentive. Je ne veux point ici rappeler le passé, Ni vous rendre raison du sang que j'ai versé : Ce que j'ai fait, Abner, j'ai cru le devoir faire. Je ne prends point pour juge un peuple téméraire : Quoi que son insolence ait osé publier, Le ciel même a pris soin de me justifier. Sur d'éclatants succès ma puissance établie A fait jusqu'aux deux mers respecter Athalie; Par moi Jérusalem goûte...
Page 435 - De ce jour à jamais auguste et renommé, Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre. Venait-il renverser l'ordre des 'éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Page 427 - Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple saint en foule inondait les portiques...
Page 463 - Frappez et Tyriens et même Israélites. Ne descendez-vous pas de ces fameux lévites Qui, lorsqu'au dieu du Nil le volage Israël Rendit dans le désert un culte criminel, De leurs plus chers parents saintement homicides, Consacrèrent leurs mains dans le sang des perfides, Et par ce noble exploit vous acquirent l'honneur D'être seuls employés aux autels du Seigneur? Mais je vois que déjà vous brûlez de me suivre.
Page 358 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 457 - De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Page 345 - Quel besoin si pressant avez-vous de rimer? Et qui diantre vous pousse à vous faire imprimer? Si l'on peut pardonner l'essor d'un mauvais livre, Ce n'est qu'aux malheureux qui composent pour vivre.
Page 519 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire, Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 451 - J'étudiai leur cœur, je flattai leurs caprices-, Je leur semai de fleurs le bord des précipices: Près de leurs passions rien ne me fut sacré; De mesure et de poids je changeais à leur gré. Autant que de Joad l'inflexible rudesse...
Page 463 - O mon fils, de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes. Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas! vous ignorez le charme empoisonneur. De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.