Grecs étaient instruits à se regarder et à regarder leur famille comme partie d'un plus grand corps, qui était le corps de l'État. Les pères nourrissaient... Oeuvres de Boullanger - Page 11by Nicolas Antoine Boulanger - 1794Full view - About this book
| Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1696 - 456 pages
...nourrifloient leurs enlans dans cet clpnr; Sf. les enfatis apprenoient dés Je berceau à regarder Ja patrie comme une mère commune à qui ils appartenoient plus encore qu'à leurs pareils. Le mot de civilité ne figmlioit pas feulement parmi les Grecs la douceur & Ja déférence... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (évêque.) - 1702 - 688 pages
...corps de l'Etat. Les pères nourrifloient leurs enfans dans cétefprk; & les enfans apprenoient dés le berceau à regarder la patrie comme une mère commune à qui ils appartenoient plus encore qu'à leurs parais. Le root de civilité ne (ignifioit pas feulement parmi les Grecs la douceur&la déférence... | |
| Isaac de Larrey - History, Ancient - 1734 - 564 pages
...biens & de maux que ceux de la Patrie. Les Pères lunmifioient les Enfans dans cet efprit, & les Enfans apprenoient dès le berceau à regarder la Patrie comme une Mère commune, à qui ils appartenoicnt plus encore qu'à leufs Parent. L'honnête homme & l'homme civil n'étoit pas chez eux... | |
| Charles Rollin - 1735 - 642 pages
...nourrifîoient leurs enfans dans cet efprit; & les enfans apprenoient dès le berceau à regarT der la patrie comme une mère commune ,. à qui ils appartenoient. plus encore qu'à leurs parens. . Les Grecs , ainfi policés peu à peu^ fe crurent capables de fe gouverner eux-mêmes ., & la.plupart... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1748 - 588 pages
...étoit le corps de l'Etat; les pères nourrit foient leurs enfàns dans cet efprit , ôc les enfans apprenoient dès le berceau à regarder la patrie...encore qu'à leurs parens. Le mot de civilité ne fignifioit pas feulement parmi les Grecs la douceur ôc la déférence mutuelle qui rend les hommes... | |
| Savérien (M., Alexandre) - Philosophers - 1773 - 488 pages
...de maux que ceux de la Patrie. Les; pères nourrifïbient les enfans dans cetefprit; &. les enfans apprenoient dès le berceau à regarder la Patrie comme une mère commune, à qut ils appartenoient encore plus qu'à leurs parens. Ce n'étoit plus pour l'homme riche & puifïant... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1784 - 544 pages
...de l'État. ANS DE Les pères nourriflbient leurs enfans dans cet efprit,SC Jisus-CHRisT. jes enfans apprenoient dès le berceau à regarder la patrie...encore qu'à leurs parens. Le mot de civilité ne f ignifïoit pas feulement parmi les Grecs la douceur & la déférence mutuelle qui rend les hommes... | |
| A. H. Boullanger - 1794 - 432 pages
...qui étoit le corps de l'état; les pères nourrissoient leurs enfans dans cet esprit , et les enfans apprenoient dès le berceau à regarder la patrie...mutuelle qui rend les hommes sociables , l'homme civil étoit encore un bon citoyen , qui se regarde toujours comme membre de l'Etat , qui se laisse conduire... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - World history - 1794 - 492 pages
...Les pères nourrifloient leurs enfans dans cet efprit , & les enfans apprenoient dès le berceau a regarder la patrie comme une mère commune à .qui...encore qu'à leurs parens. Le mot de civilité ne fignihoit pas feulement , parmi les Grecs , la douceur & la déférence mutuelle , qui rend les hommes... | |
| Johann Joachim Eschenburg - Literature - 1795 - 678 pages
...corps de l'Etat. Les pères nourriffoicht leurs enfahs dans cet esprit; et les en fans apprenaient dès le berceau, à regarder la patrie comme une mère...encore qu'à leurs parens. Le mot de civilité ne figmfioit pas feulement parmi les Grecs, Ja douceur et- la déférence «auSBoffueí- S77 mutuelle... | |
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