Oeuvres de Boullanger, Volume 6 |
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Page 16
... n'étoit pas capable de les retenir . Un sage Athénien qui connoissoit admirablement le caractère de son pays , nous apprend que la crainte étoit nécessaire à ces esprits trop vifs et trop libres , et qu'il n'y eut plus moyen de les gou ...
... n'étoit pas capable de les retenir . Un sage Athénien qui connoissoit admirablement le caractère de son pays , nous apprend que la crainte étoit nécessaire à ces esprits trop vifs et trop libres , et qu'il n'y eut plus moyen de les gou ...
Page 18
... n'étoit pas possible que l'ancien es- prit de la Grèce ne se réveillât à la veille de tomber dans la servitude et entre les mains des barbares . Lacédémone devenue puissante par le moyen des Perses tourna ensuite ses armies contre eux ...
... n'étoit pas possible que l'ancien es- prit de la Grèce ne se réveillât à la veille de tomber dans la servitude et entre les mains des barbares . Lacédémone devenue puissante par le moyen des Perses tourna ensuite ses armies contre eux ...
Page 23
... n'étoit pas simplement curiosité ou délassement de travail , ou délicatesse de goût pour la poésie qui le portoit à lire ce poëte ; c'étoit pour y puiser des senti- mens digne d'un grand roi et d'un grand conquérant ; B + le courage , l ...
... n'étoit pas simplement curiosité ou délassement de travail , ou délicatesse de goût pour la poésie qui le portoit à lire ce poëte ; c'étoit pour y puiser des senti- mens digne d'un grand roi et d'un grand conquérant ; B + le courage , l ...
Page 28
... n'étoit plus si furieux ni si menaçant , et qu'il ne demandoit qu'à aller , il lui baissa la main et le poussa à toute bride en lui parlant d'une voix rude et lui appuyant ses ta- lons . Philippe cependant , au milieu de toute sa cour ...
... n'étoit plus si furieux ni si menaçant , et qu'il ne demandoit qu'à aller , il lui baissa la main et le poussa à toute bride en lui parlant d'une voix rude et lui appuyant ses ta- lons . Philippe cependant , au milieu de toute sa cour ...
Page 32
... n'étoit pas innocente du meurtre de Philippe ; il est cependant certain qu'il fit rechercher et punir très- sévèrement les complices de l'assassinat , et qu'il fut très - irrité contre sa mère , qui s'étoit cruellement ven- gée de ...
... n'étoit pas innocente du meurtre de Philippe ; il est cependant certain qu'il fit rechercher et punir très- sévèrement les complices de l'assassinat , et qu'il fut très - irrité contre sa mère , qui s'étoit cruellement ven- gée de ...
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Common terms and phrases
Alexandre amis Anaxarque Antipater armée armes arriva Artabaze auroit aussi-tôt avoient avoit ayant Babylone Bactre Bactriane barbares bataille Bessus Calisthène camp cavalerie charriots chevaux Cilicie Clitus cœur combat côté coup courage Cratère d'Alexandre d'Ephestion Darius de-là dessein devoit dieux dit-il donner donnoit Ecbatane enfans ennemis ensuite entra envoya Ephestion étoient étoit eût faisoient faisoit falloit fils fleuve force fortune fût gloire gouverneur graces Grèce guerre habitans héros hommes Indiens infanterie jamais jetta jours Jupiter l'armée l'Asie l'ennemi l'Euphrate laissa long-tems lui-même Macédoine Macédoniens mains maître Malliens montagnes mort n'avoient n'avoit n'étoit Nabarzane nation néanmoins Néarque officiers Olympias Parménion paroissoit paroître parole passer pays Perdiccas Persépolis Perses personne peuples Philippe Philotas pied Porus pouvoient pouvoit prince prit province reconnoître rendoit rien rois royaume s'étoient s'il Satibarzane Scythes Seigneur seroit seul siége Sogdiane soldats sorte Sysigambis Taxile tems tête troupes trouva vaincu vainqueur venoit victoire vint vouloit voulut xandre
Popular passages
Page 14 - Junon, c'est-à-dire la gravité avec- l'amour conjugal, Mercure avec l'éloquence, Jupiter et la sagesse politique. Du côté de l'Asie...
Page 14 - Elle ne pouvait souffrir que l'Asie pensât à la subjuguer; et en subissant ce joug , elle eût cru assujettir la vertu à la volupté, l'esprit au corps , et le véritable courage à une force insensée qui consistait seulement dans la multitude.
Page 32 - ... obligea tous les Grecs à marcher sous ses étendards contre l'ennemi commun. Il fut tué dans ces conjonctures; mais Alexandre son fils succéda à son royaume et à ses desseins.
Page 11 - Grecs étaient instruits à se regarder et à regarder leur famille comme partie d'un plus grand corps, qui était le corps de l'État. Les pères nourrissaient...
Page 13 - ... parvenir aux premiers honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société.
Page 12 - L'idée de liberté qu'une telle conduite inspirait était admirable; car la liberté que se figuraient les Grecs était une liberté soumise à la loi, c'est-à-dire à la raison même reconnue par tout le peuple. Ils ne voulaient pas que les hommes eussent du pouvoir parmi eux.
Page 17 - Perse étoit affligée par une excessive sujétion, Athènes, dit Platon, ressentit les maux d'une liberté excessive. Ces deux grandes républiques, si contraires dans leurs mœurs et dans leur conduite...
Page 133 - Perse, qui après les 25 éclipses de Lune avoient eu les Dieux contraires lors qu'ils avoient combatu. Rien n'est si puissant, poursuivit Q.. Curce(a), que la superstition pour tenir en bride la populace. Quelque...
Page 14 - Perse se trouva faible, et éprouva plusieurs fois, à son dommage, ce que peut la discipline contre la multitude et la confusion, et ce que peut la valeur conduite avec art contre une impétuosité aveugle. Il ne...
Page 19 - ... absolue, qu'à la fin, moitié par adresse et moitié par force, il se rendit le plus puissant de la Grèce, et obligea tous les Grecs à marcher sous ses étendards contre l'ennemi commun.