L'hermite de la Guiane, ou Observations sur les moeurs et les usages français au commencement du XIXe siècle, Volume 1Pillet aîné, 1817 - France |
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... corps politique est dangereusement malade ; la faculté des journalistes , appelée à son aide , aggrave encore le mal : dans cette consultation de charlatans , les uns n'ont pour but que de se faire payer leurs visites ; les autres , qui ...
... corps politique est dangereusement malade ; la faculté des journalistes , appelée à son aide , aggrave encore le mal : dans cette consultation de charlatans , les uns n'ont pour but que de se faire payer leurs visites ; les autres , qui ...
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... corps , et lui servait d'é- charpe tel était le costume demi - français , de- mi - sauvage , que le vieux chevalier avait adopté , disait - il , en rentrant en France , pour se confor- mer à nos usages . Un des coffres que l'on ouvrit ...
... corps , et lui servait d'é- charpe tel était le costume demi - français , de- mi - sauvage , que le vieux chevalier avait adopté , disait - il , en rentrant en France , pour se confor- mer à nos usages . Un des coffres que l'on ouvrit ...
Page 15
... corps à chacun des deux partis qu'il avait servis avec tant de loyauté . Tout le monde se récria contre cette coutume barbare , et nous débarquâmes enfin chez un peuple civilisé . Nous ramontâmes la Gironde , et nous prî- mes terre à ...
... corps à chacun des deux partis qu'il avait servis avec tant de loyauté . Tout le monde se récria contre cette coutume barbare , et nous débarquâmes enfin chez un peuple civilisé . Nous ramontâmes la Gironde , et nous prî- mes terre à ...
Page 20
... corps à corps : on serait ce qu'on appelle ici déshonoré , si l'on se mettait dix contre un ; il est vrai qu'on nous appelle des sauvages . » Je me rassurai quand je sus de quoi il s'agis- sait ; je payai le dégât et la dépense qu'avait ...
... corps à corps : on serait ce qu'on appelle ici déshonoré , si l'on se mettait dix contre un ; il est vrai qu'on nous appelle des sauvages . » Je me rassurai quand je sus de quoi il s'agis- sait ; je payai le dégât et la dépense qu'avait ...
Page 22
... corps de troupes ; quelques cavaliers se détachèrent , et vinrent s'emparer de nos mules et de nos voitures pour transporter des blessés au village voisin . Nous fûmes obligés de suivre à pied . Tout en chemi- nant auprès du commandant ...
... corps de troupes ; quelques cavaliers se détachèrent , et vinrent s'emparer de nos mules et de nos voitures pour transporter des blessés au village voisin . Nous fûmes obligés de suivre à pied . Tout en chemi- nant auprès du commandant ...
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Common terms and phrases
aérostat agens arrivé avaient avez avocat barbaresques beau bonheur bords de l'Orénoque Bourse cabriolet Caraïbe cause ceptai Chaussée-d'Antin chevalier chose civilisation cœur consoler croire dame Datès demande différens dîner dire dit-il donner Dorfeuil Dourga Dufain enfans espèce esprit faisait famille femme fête figure fille fortune foule François Ier gaïs gens gloire Gréville Guiane heures homme j'ai j'aurais j'avais j'en j'étais jamais jeune jongleurs jour juger L'HERMITE laisse long-tems m'avait main malheur Marivaux médecins ment milieu Mme de Lorys Mme Dubreuil mœurs monde moyen n'avait nation nature Norville Ottaly Pageville Palais-Royal parler passer peine personne petite place plaisir politique portance pouvait première prit procès qu'un reux ridicule rien rire ronval Saint-Cloud sais salle salon sauvage Savignac sentiment serait seul société soin sortir talent tems teur théâtre tion Tivoli toilette tombairs tout-à-fait trouver Verberie Vésuve visite vois voiture Voltaire yeux Zaméo Zangaïs
Popular passages
Page 286 - De ta tige détachée, Pauvre feuille desséchée, Où vas-tu ? — Je n'en sais rien. L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien. De son inconstante haleine, Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon.
Page 286 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 300 - Schiller et les rapsodics de Kotzebuë. Notre supériorité à cet égard est incontestable ; cette partie de notre gloire nationale n'a reçu aucun échec : nous avons , par cela même , d'autant plus d'intérêt à la conserver. C'est dans cette vue , et dans ses différens rapports avec l'état actuel de la société, que j'examine aujourd'hui l'institution théâtrale , où je vois trois objets bien distincts : le théâtre ( pris dans son acception la plus étendue ) , les acteurs et les spectateurs....
Page 43 - Emilie , lui dit-elle, dites-nous ce que c'est que les Hamadryades ? — Maman , répondit la petite , tu aurais dû m'interroger d'abord sur les Dryades , dont les premières ne sont qu'un dérivé.
Page 170 - FIGARO, vivement. Moi, j'entre ici, où, par la force de mon art, je vais, d'un seul coup de baguette, endormir la vigilance, éveiller l'amour, égarer la jalousie, fourvoyer l'intrigue, et renverser tous les obstacles.
Page 337 - AMOUR. — Substantif des deux genres : échange de deux fantaisies ; privilége pour toutes les folies que l'on peut faire , pour toutes les sottises que l'on peut dire. On a de l'amour pour les fleurs , pour les oiseaux , pour la danse , pour son amant , quelquefois même pour son mari ; jadis on languissait , on brûlait , on mourait d'amour ; aujourd'hui on en parle , on en jase, on le fait , et le plus souvent on l'achète.
Page 333 - Pour changer de direction en marchant , changer l'épaule, la tourner ou à droite ou à gauche. En marchant , les gens qui pensent au passé regardent à terre ; les gens qui pensent à l'avenir regardent au ciel; les gens qui pensent au présent regardent devant eux; les gens qui ne pensent à rien regardent de côté et d'autre. Une démarche rapide n'est presque jamais noble; elle l'est moins que jamais dans l'abattement et la douleur.
Page 99 - Ce que les vrais Parisiens redoutent le plus au monde , après la famine , ce sont les voyages : le pays étranger commence pour eux à quelques toises au-delà des barrières...
Page 153 - Mais est-il rien de plus estimable au monde qu'un médecin qui, ayant dans sa jeunesse étudié la nature, connu les ressorts du corps humain, les maux qui le tourmentent, les remèdes qui peuvent le soulager, exerce son art en s'en défiant, soigne également les pauvres et les riches, ne reçoit d'honoraires qu'à regret, et emploie ces honoraires à secourir l'indigent?
Page 299 - L'entretien de Paris, le souhait des provinces, Le divertissement le plus doux de nos princes, Les délices du peuple, et le plaisir des grands...