Le Temps de L'Incertitude: Du Changement Personnel Au Changement Organisationnel

Front Cover
Raymond Vaillancourt, gestionnaire d'expérience et formateur aguerri en gestion du changement, propose dans son premier ouvrage une vision éclairée du changement. Il amène les gestionnaires à s'interroger sur leur conception même du changement, sur leur vision de la crise dans laquelle se trouve l'organisation et sur les conséquences du changement.

From inside the book

Contents

Partie 1_Le manager et le changement
17
Chapitre 1_Le changement un état desprit
19
Chapitre 2_Le changement une question dattitude
39
Chapitre 3_Le changement une affaire de conduite plus que de contrôle
59
Partie 2_Lorganisation et le changement
79
Chapitre 4_Un nouveau type de changement
81
Chapitre 5_La mobilisation des personnes en contexte dincertitude
99
Chapitre 6_De la coordination à lintégration
119
Partie 3_Manager le changement organisationnel
139
Chapitre 7_La mise en route du changement
141
Chapitre 8_La conduite quotidienne du changement
159
Chapitre 9_Lapproche clientèle comme catalyseur du changement
177
Conclusion_Le changement comme enjeu stratégique
201
Bibliographie
215
Copyright

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 59 - Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 211 - Aventure: ensemble d'activités, d'expériences qui comportent du risque, de la nouveauté, et auxquelles on accorde une valeur humaine
Page 180 - Pierre Lévy, L'intelligence collective. Pour une anthropologie du cyberespace, Paris, La Découverte, 1994, p.
Page 6 - L'ambiguïté fondamentale avec laquelle il faut maintenant composer réside dans la mise en place de structures qui, bien que semblant appropriées dans l'immédiat à une situation donnée, se révèlent dès leur mise en place susceptibles d'être inadaptées ou dépassées.
Page 65 - Le manager doit donc s'attarder au transfert de sens plutôt qu'au seul transfert de l'apprentissage ou du savoir-faire. C'est ce qui devrait le conduire à s'intéresser davantage aux personnes qu'aux tâches, plus aux actions qu'aux activités et plus aux enjeux qu'aux processus.
Page 37 - Si tu t'affliges pour une cause extérieure, ce n'est pas elle qui t'importune, c'est le jugement que tu portes sur elle.
Page 214 - Mondial, 256 p. COMTE-SPONVILLE, André (1995). Petit traité des grandes vertus, Paris, Presses universitaires de France, 350 p.
Page 42 - Par définition, le pouvoir aime bien compter sur une stabilité des structures qui permet à ceux qui le détiennent de s'y maintenir.

Bibliographic information