... avions essuyée. La lune était levée il y avait peut-être une heure, et ses rayons, qui ne venaient à nous qu'entre les branches des arbres, faisaient un agréable mélange d'un blanc fort vif avec tout ce vert qui paraissait noir. La Philosophie positive: revue - Page 4531876Full view - About this book
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Philosophy - 1790 - 482 pages
...ou qui obscurcît la moindre étoile y elles étoient toutes d'un or pur et éclatant, et qui étoit encore relevé par le fond bleu où elles sont attachées....spectacle me fit rêver, et peut-être, sans la Marquise, eussé-je rêvé assez long-temps ; mais la présence d'une si aimable dame ne me permit pas de m'abandonner... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1800 - 430 pages
...ou qui obscurcît la moindre étoile ; elles étaient toutes d'un or pur et éclatant, et qui étoit encore relevé par le fond bleu où elles sont attachées....spectacle me fit rêver, et peut-être sans la Marquise" eu$sé-je rêvé assez long-temps ; mais la présence d'une si aimable Dame ne me permit pas de m'abandonner... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1800 - 434 pages
...MONDES^ avec tout ce yerd qui paroissoit noir. H n'y avoit pas un nuage qui dérobât ou qui obscurcît la moindre étoile ; elles étaient toutes d'un or pur et éclatant , et qui étoit encore relevé par le fond bleu où elles sont attachées. Ce spectacle me fit rêver , et peut-être... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - French drama - 1818 - 660 pages
..., avec tout ce vert qui paraissait noir. Il n'y avait pas un nuage qui dérobât ou qui obscurcît la moindre étoile ; elles étaient toutes d'un or...spectacle me fit rêver, et peut-être , sans la marquise , eussé-je rêvé assez long-temps ; mais la présence d'une si aimable dame ne me permit pas de m'abandonner... | |
| A. Varinot - Metaphor - 1818 - 280 pages
...et ondoyant , que l'homme. Le même. Les étoiles étaient toutes d'un or pur et éclatant , et Or. qui était encore relevé par le fond bleu où elles sont attachées. Fontenelle. C'est l'or de tes cheveux qui doit parer ton visage, — — et non celte rose qui les... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Plurality of worlds - 1821 - 442 pages
..., avec tout ce vert qui paraissait noir. Il n'y avait pas un nuage qui dérobât ou qui obscurcît la moindre étoile; elles étaient toutes d'un or...spectacle me fit rêver, et peut-être sans la Marquise eussé-je rêvé assez long-temps; mais la présence d'une si aimable dame ne me permit pas de m'abandonner... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Astronomy - 1822 - 368 pages
...avec tout ce vert qui paraissait noir. Il n'y avait pas un nuage qui dérobât ou qui obscurcîtla moindre étoile, elles étaient toutes d'un or pur et éclatant, et qui était encore relevé parle fond bleu où elles sont attachées. Ce spectacle me fit rêver, et peut-être sans la Marquise... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - Dialogues, French - 1824 - 458 pages
...peut-être une heure , et ses rayons , qui ne venaient à nous qu'entre les branches des arbres, faisait un agréable mélange d'un blanc fort vif, avec tout...et qui était encore relevé par le fond bleu où eues sont attachées. Ce spectacle me fit rcrer , et péutêtre sans la Marquise eussé-je rêvé assez... | |
| M. de Fontenelle (Bernard Le Bovier) - 1825 - 472 pages
...Soleil. Nous allâmes donc un soir, après souper, nous promener dans le parc. 11 faisait un irais délicieux , qui nous récompensait d'une journée...peut-être, sans la marquise, eusse-je rêvé assez longtemps ; mais la présence d'une si aimable dame ne me permit pas de m'abandonner à la lune et... | |
| Bernard Le Bouyer de Fontenelle - 1826 - 428 pages
...images que Virgile auroit employées volontiers. ( DCBOS, Réflexions sur la poésie et la peinture ) elles sont attachées. Ce spectacle me fit rêver, et peut-être, sans la marquise, eussè-je rêvé assez long-temps; mais la présence d'une si aimable dame ne me permit pas de m'abandonner... | |
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