Vie politique et militaire de Napoléon, Volume 1Anselin, 1827 - 540 pages |
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20 mille 30 mille hommes affaires alliés Alpes Anglais armée armées du Rhin armes armistice attaquer Augereau Autrichiens avaient bataille Bernadotte cabinet de Vienne cavalerie Championnet chef Cisalpine coalition colonne combat commandement corps débouche déja Desaix devait Directoire division Égypte ennemis états eût expédition fallait forces garnison gauche Gavardo général Gênes gouvernement Grisons guerre Hollande Hotze Italie j'avais Joubert jours Kléber Korsakof Kray l'Adige l'Angleterre l'archiduc l'armée l'Autriche l'Égypte l'ennemi l'Espagne l'état l'Italie laisser Laudon Lecourbe Legnago Lombardie Lonato Macdonald Malte Mamelucks Mantoue marche Masséna mée Mélas menacé ment Milan millions Mincio ministre Moreau n'avait n'était Naples négociations paix passer peuple Piémont politique porter position pouvait prince projet Rastadt renforts république reste révolution Rhin rive Rome Russie s'était San-Giuliano sénat seul succès Suisse Suwarof Talleyrand tion Tortone Toscane traité traité de Campo-Formio troupes trouvait Turin Tyrol vaisseaux vallée Valteline venait Venise Vérone victoire voulait Wurmser
Popular passages
Page 44 - Dès ce moment jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. « Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits et serviront dans les hôpitaux ; les enfants mettront le vieux linge en charpie ; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage des...
Page 105 - Soldats ! vous vous êtes précipités comme un torrent du haut de l'Apennin ; vous avez culbuté, dispersé, tout ce qui s'opposait à votre marche. Le Piémont, délivré de la tyrannie autrichienne, s'est livré à ses sentiments naturels de paix et d'amitié pour la France. Milan est à vous, et le pavillon républicain flotte dans toute la Lombardie. Les ducs de Parme et de Modène ne doivent leur existence politique qu'à votre générosité.
Page 107 - Elles feront époque dans la postérité: vous aurez la gloire immortelle de changer la face de la plus belle partie de l'Europe. Le peuple français, libre, respecté du monde entier, donnera à l'Europe une paix glorieuse, qui l'indemnisera des sacrifices de toute espèce qu'il a faits depuis six ans. Vous rentrerez alors dans vos foyers, et vos concitoyens diront en vous montrant: _I1 était de l'armée d'Italie_.
Page 106 - Eh bien! partons, nous avons encore des marches forcées à faire, des ennemis à soumettre, des lauriers à cueillir, des injures à venger. « Que ceux qui ont aiguisé les poignards de la guerre civile en France , qui ont lâchement assassiné nos ministres, incendié nos vaisseaux à Toulon, tremblent!
Page 105 - Tant de succès ont porté la joie dans le sein de la patrie ; vos représentants ont ordonné une fête dédiée à vos victoires, célébrée dans toutes les communes de la République. Là, vos pères, vos mères, vos épouses, vos sœurs, vos amantes se réjouissent de vos succès et se vantent avec orgueil de vous appartenir.
Page 44 - Les chevaux de selle seront requis pour compléter les corps de cavalerie; les chevaux de trait, autres que ceux employés à l'agriculture, conduiront l'artillerie et les vivres.
Page 90 - Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 92 - Peuples d'Italie, l'armée française vient chez « vous pour rompre vos fers ; le peuple français « est l'ami de tous les peuples. Venez avec con« fiance au-devant de nos drapeaux.
Page 42 - l'Europe violent vos propriétés et dévastent «vos frontières. Aux armes, levez-vous tous, « accourez tous : la liberté appelle les bras de « tous ceux dont elle vient de recevoir les ser
Page 336 - Empire de l'alliance de l'Autriche. Déjà la tournure des négociations promettait au Directoire un plein succès, quand la bataille de Stockach et la retraite de l'armée du Danube firent tout à coup pencher la balance du côté du vainqueur.