Revue de Paris, Volume 31835 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirable amoureux ballet beau Béguinage belle BÉNÉDICT Benozzo Gozzoli Blanchard Bulliot C'était Cambert Campo-Santo capitaine Rampelberg Castilly chant charme chose ciel cœur Comédie-Française comte de Montepino coup d'Ernestine dames danse devant Dieu dire don Antonio don Diego don Manuel dona Luisa Doncaster drame Ernestine eût femme fille Finta pazza Florence foule Gasparillo Giotto Giulio Caccini heures homme HONORA j'ai jardin des Tuileries jeune jour Jules Debray l'amour l'officier l'Opéra l'Orfeo laisser larmes Lazarilla livres Longuefort Louis XIV Lulli lyrique madame main maison maître majo marbre mariage mendiante ment mistriss Mlle mœurs monde monsieur mort musicien opéra passé pauvre Pedro Badillo pensée Pèpe père porte Prado premier Rafael RAMPELBERG regard représenter reste rien Rome royale de Musique s'écria sacristain saint sais salle salon scène seigneurie Senesino sera seul soir sorte tête théâtre Théâtre-Italien tion tombe tombeau trouve Vervelles virtuoses voilà voix yeux
Popular passages
Page 50 - Ah! Camargo, que vous êtes brillante, Mais que Sallé , grands dieux , est ravissante ! Que vos pas sont légers , et que les siens sont doux ! Elle est inimitable, et vous êtes nouvelle.
Page 21 - Paris et autres de notre royaume, des académies de musique, pour chanter en public des pièces de théâtre, comme il se pratique en Italie, en Allemagne et en Angleterre, pendant l'espace de douze années...
Page 16 - Orphée s'entretint de plusieurs airs ». .lugubres sur sa lyre qu'il toucha si mélodieusement, qu'à son harmonie, » jointe à la douceur de sa voix , il fait mouvoir les rochers , danser les » arbres et les animaux les plus farouches ; de sorte que l'on vit des lions, » des panthères et autres bêtes furieuses venir sauter sur le théâtre à l'enP tour de lui. p La treizième représentait un autre grand bocage borné par la mer , p par laquelle Venus arrivant dans une conque marine et trouvant...
Page 41 - Faisant très expresses inhibitions et défenses à toutes personnes, de quelque qualité et condition qu'elles soient, même aux officiers de...
Page 7 - IV f avait fait les paroles. Plus tard, le pape Clément VI écrivit des livrets d'opéra parmi lesquels on distingua Didone. Aux noces de Ferdinand de Médicis avec Christine de Lorraine, à Florence, on mit en scène un de ces drames en musique ou mêlé de musique; tout n'était pas chanté dans ces premiers ouvrages; il avait pour titre : Combat d'Apollon et du Serpent. On sait quelle magnificence don Garin de Tolède , vice-roi de Sicile , déploya pour faire représenter \Aminta de Tasse ,...
Page 27 - Thévenard faisait un plaisir infini à entendre chanter dans la chambre, et surtout à table. C'était un goût de chant cavalier, noble et merveilleux ; aussi, tout ce qu'il y avait de grand parmi la belle jeunesse était charmé de le posséder. Il était robuste, et faisait presque tous les jours de très-longues séances à table; le vin coulait en abondance dans son gosier, ce qui fortifiait sa voix. Il a suivi ce régime, dont il s'est bien trouvé, pendant cinquante ans. Il en a passé quarante...
Page 11 - Darius, le tombeau de Ninus , la cavalerie et l'infanterie rangées en bataille , les ruines d'un vieux fort , la salle du trône du palais de Babylone, enfin l'extérieur du palais. La pièce est ce qu'on peut imaginer de plus ridicule, et la musique en est languissante et monotone. Les chanteurs profitèrent...
Page 8 - A'Euridice se terminent chacun par un chœur ; Tircis y chante des stances anacréontiques , précédées par un prélude de symphonie; le dialogue est récité sur les tenues de la basse. Voilà donc le chœur, l'air , le récitatif, les ritournelles trouvées et employées dès les premiers temps de l'invention du drame lyrique.
Page 17 - Voilà le fidèle rapport de ce qui s'est passé en cette action ; mais le principal y manque, qui est de voir ce sujet animé par l'organe de ses acteurs, et par leurs gestes qui l'exprimaient si parfaitement, qu'ils se pouvaient faire entendre de ceux qui n'avaient aucune connaissance de leur langue. Le roi y apporta aussi tant d'attention, qu'encore que Sa Majesté l'eût déjà vue deux fois, elle y voulut encore assister celte troisième, n'ayant donné aucun témoignage de s'y ennuyer...
Page 27 - Thévenard était un tiers de temps de moins que Beaumavielle à chanter ce beau récitatif, parce qu'il faisait plus d'attention à la déclamation suivie et coulante que demande le récitatif, qu'au soin de faire valoir sa voix par des sons trop nourris et emphatiques, ainsi qu'il était en usage parmi nos anciens acteurs.