| Voltaire - 1780 - 488 pages
...efcaladcr l'entrée : Tel enflammé de fa lubrique ardeur, L'œil tout en feu , l'Aumônier raviflèut Allait cherchant les reftes de fa joie, Qu'on lui ravit lorfqu'il tenait fa proie; II fonne, il crie; on vient; on apperçut Qu'il était feul ; & fomlain il parut Que les deux bois,... | |
| Voltaire - 1784 - 420 pages
...efcalader l'entrée : Tel enflammé de fa lubrique ardeur, L'œil tout en feu, l'aumônier raviffeur Allait cherchant les reftes de fa joie , Qu'on lui...pont-levis , par les airs s'élevaient, Et s'élevant le pont- levis hauflaient. A ce fpectacle, à cet ordre du maître, Qui jura Dieu? ce fut mon vilain prêtre.... | |
| Voltaire - 1785 - 486 pages
...l'entrée : Tel enflammé de fa lubrique ardeur, L'oeil tout en le u, l'aumônier nvificujr Allait Allait cherchant les reftes de fa joie, Qu'on lui...il crie : on vient ; on aperçut Qu'il était feul ; or foudain-il parut Que les deux bois , dont les forces mouvante* Font ébranler les folives tremblantes... | |
| Voltaire - 1791 - 404 pages
...efcalader l'entrée : Tel enflammé de fa lubrique ardeur, L'œil tout erj feu , l'aumônier raviffeur Allait cherchant les reftes de fa joie, Qu'on lui ravit lorfqu'il tenait fa proie. Il fonne, il criei on vient ; on aperçut Qu'il dtait fcul; et foudain il parut Que les deux bois, dont les farces... | |
| Voltaire - 1840 - 462 pages
...ravit lorsqu'il tenait sa proie. Il sonne, il crie: on vient; on aperçut Qu'il était seul, et soudain il parut Que les deux bois dont les forces mouvantes Font ébranler les solives tremblantes pont-levis par les airs s'élevaient, -t, s'élevant, le pont-levis haussaient.... | |
| Voltaire - 1859 - 634 pages
...lorsqu'il tenait sa proie. 11 sonne, il crie : on vient; on aperçut Qu'il était seul, et soudain il parut Que les deux bois dont les forces mouvantes Font ébranler les solives tremblantes ^ Du pont-levis par les airs s'élevaient, Et, s'élevant, le pont-levis haussaient.... | |
| Voltaire - 1877 - 598 pages
...ravit lorsqu'il tenait sa proie. Il sonne, il crie: on vient; on aperçut Qu'il était seul, et soudain il parut Que les deux bois dont les forces mouvantes Font ébranler les solives tremblantes Du pont-levis par les airs s'élevaient, Et, s'élevant, le pont-levis haussaient.... | |
| Voltaire - 1877 - 602 pages
...ravit lorsqu'il tenait sa proie. 11 sonne, il crie: on vient; on aperçut Qu'il était seul, et soudain il parut Que les deux bois dont les forces mouvantes Font ébranler les solives tremblantes Du pont-levis par les airs s'élevaient, Et, s'élevant, le pont-levis haussaient.... | |
| François Marie Arouet de Voltaire - 1877 - 612 pages
...lorsqu'il tenait sa proie. 11 sonne, il crie : on vient ; on aperçut Qu'il était seul, et soudain il parut Que les deux bois dont les forces mouvantes Font ébranler les solives tremblantes Du pont-levis par les airs s'élevaient, Et, s'élevant, le pont-levis haussaient.... | |
| Adolf Tobler - 1883 - 184 pages
...qui de nuit en ces quartiers rôdaient, Pour découvrir si l'on avait nouvelle . . , VOLTAIRE Pue. X; il parut Que les deux bois dont les forces mouvantes \ Font ébranler les solives tremblantes Du pont levis, par les airs s'élevaient Et s'élevant le pont levis haussaient,... | |
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