Venceslaséditeur non identifié, 1821 - 68 pages |
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Acaste ACTE affreux ALEXANDRE Allez amour ANDRONIC ANTINOUS ARCAS ardeur ARGINE ASPAR barbare bonheur bras Byzance Campistron CASSANDRE charme cher ciel cœur colère connois Corcyre Corinthe courroux crainte Créon Créuse crime criminel cruel d'Ulysse déja dessein destin dieux dois douleur doux enfin ennemis époux ÉRICLÉE espoir étoit EUDOXE EUMÉE EURIMAQUE EURINOME fatal fils flamme foiblesse funeste fureur GARDES gloire haine Hécate Hélas heureux hymen ingrat inhumaine IPHISE IPHITE IRÈNE irrité Ithaque j'ai jamais JASON jour l'amour L'EMPEREUR l'horreur l'hymen l'interrompant Ladislas laisse Léonce Léonor lieux lois long-temps m'en madame malheureux MARCÈNE MARTIAN maux MÉDÉE mort mortel mourir OCTAVE PÉNÉLOPE père périls peuple pleurs presse prince princesse puis-je punir reine RHODOPE rien sais Samos sang SCÈNE VII secours secret seigneur seul soins sort souffrir soupirs supplice TÉLÉMAQUE tendresse Théâtre THÉODORE tragédie transports triste trouble tyrans ULYSSE vais VENCESLAS vengeance venger veux vœux vois vous-même yeux
Popular passages
Page 10 - et digne de mon sang; J'y cherche Ladislas, et ne le puis connoître : Vous n'avez rien d'un roi, que le désir de l'être; Et ce désir, dit-on, peu discret et trop prompt, En souffre avec ennui le bandeau sur mon front. Vous plaignez le travail où ce fardeau m'engage ; Et n'osant m'attaquer, vous attaquez mon âge.
Page 27 - on sait qu'un souverain, D'un hymen qui déplaît, a le remède en main. Pour en rompre les nœuds , et colorer ses crimes , L'état ne manque pas de plausibles maximes ; Son infidélité suivrait de près sa foi ; Seul il se considère , il s'aime , et non pas moi, THÉODORE. Ses vœux un peu bouillants vous font
Page 186 - de contrainte, Laisse-je un seul moment échapper quelque plainte J'étouffe mes soupirs, j'étouffe mes regrets : Je ne punis que moi des maux que l'on m'a faits ; Et, nourrissant mon cœur de ma mélancolie, D'un malheur éternel j'empoisonne ma vie. Enfin, lassé de voir des objets si cruels, Pour m'épargner des coups, ou
Page 16 - de votre pouvoir secret usurpateur ; Ce duc, à qui votre âme, à tous autres obscure, Sans crainte s'abandonne et produit toute pure , Et qui, sous votre nom beaucoup plus roi que vous, Met à me desservir ses plaisirs les plus doux ; Vous fait mes actions pleines de tant de vices,
Page 212 - Il lève au ciel les yeux pour la dernière fois, Et prononce ces mots d'une mourante voix : « O mort ! des malheureux unique et sûr asyle, « Je verrois ton approche avec un œil tranquille « Si du courroux vengeur, dont je subis la loi, « La rigueur aujourd'hui ne tomboit que sur moi ! « Je crains....
Page 30 - des attraits si dignes de mes vœux, Je les contemplai seuls, et ne recherchai qu'eux ; Mon respect s'oublia dedans cette poursuite. Mais un amour enfant put manquer de conduite ; II portoit son excuse en son aveuglement, Et c'est trop le punir que du
Page 42 - Duc, un trop long respect me tait votre pensée, Notre amitié s'en plaint, et s'en trouve offensée. Elle vous est suspecte, ou. vous la violez, Et vous me dérobez ce que vous me celez ; Qui donne toute une âme en veut aussi d'entières ; Kt quand vos intérêts m'ont fourni des
Page 11 - s'emporter.) Ici mon seul respect contient votre caprice ; • Mais examinez-vous, et rendez-vous justice : Pouvez-vous attenter sur ceux dont j'ai fait choix Pour soutenir mon trône et dispenser mes lois, Sans blesser les respects dus à mon diadème, Et sans en même temps attenter sur moi-même? ' > ' Le duc, par sa faveur, vous a
Page 21 - cet insolent, conservez votre choix, Et du bandeau royal qui vous couvre la tête, Payez, si vous voulez, sa dernière conquête ; Mais souffrez-m'en , seigneur, un mépris généreux ; Laissez ma liaine libre aussi-bien que vos vœux. Souffrez ma dureté, gardant votre tendresse, Et ne m'ordonnez point un acte de foiblesse.
Page 22 - Assez d'occasions, de sang et de combats Ont signalé pour nous et ce cœur et ce bras, Et vous ont trop acquis par cet illustre zèle, Tout ce qui d'un mortel rend la gloire immortelle; Mais vos derniers progrès, qui certes m'ont surpris, Passent toute créance, et demandent bur