Théatre de P. Corneille: avec les commentaires de Voltaire, Volume 5Ches Bossange, Masson et Besson, 1797 |
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... doit pas passer pour fabuleuse devant ceux des hommes . Au lieu de sanctifier notre théâtre par sa représentation , nous y profanerions la sainteté de leurs souf- frances , si nous permettions que la crédulité des 10 RTYP ABREGE DU ...
... doit pas passer pour fabuleuse devant ceux des hommes . Au lieu de sanctifier notre théâtre par sa représentation , nous y profanerions la sainteté de leurs souf- frances , si nous permettions que la crédulité des 10 RTYP ABREGE DU ...
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... doit imprimer du respect comme saint , et ce qui doit seulement divertir comme indus- trieux . Voici donc ce que ce dernier nous apprend . Polyeucte et Néarque étoient deux cavaliers . étroitement liés ensemble d'amitié ; ils vivoient ...
... doit imprimer du respect comme saint , et ce qui doit seulement divertir comme indus- trieux . Voici donc ce que ce dernier nous apprend . Polyeucte et Néarque étoient deux cavaliers . étroitement liés ensemble d'amitié ; ils vivoient ...
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... doit donner à son extravagance , I Qui d'un amas confus des vapeurs de la nuit Forme de vains objets que le réveil détruit . Mais vous ne savez pas ce que c'est qu'une femme ; 2 ) Vous ignorez quels droits elle a sur toute l'ame , 3 ...
... doit donner à son extravagance , I Qui d'un amas confus des vapeurs de la nuit Forme de vains objets que le réveil détruit . Mais vous ne savez pas ce que c'est qu'une femme ; 2 ) Vous ignorez quels droits elle a sur toute l'ame , 3 ...
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... doit jamais tomber dans ces amphibologies ; on ne les permet plus . 2 ) Il est toujours tout juste et tout bon . Après certains momens , etc. Tous ces vers sont trop ram- pans , trop négligés , trop du style familier des livres de ...
... doit jamais tomber dans ces amphibologies ; on ne les permet plus . 2 ) Il est toujours tout juste et tout bon . Après certains momens , etc. Tous ces vers sont trop ram- pans , trop négligés , trop du style familier des livres de ...
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avec les commentaires de Voltaire Pierre Corneille. Et cette sainte ardeur qui doit porter au bien Tombe plus rarement , ou n'opére plus rien . Celle qui vous pressoit de courir au baptême , Languissante déjà , cesse d'être la même ; 1 ...
avec les commentaires de Voltaire Pierre Corneille. Et cette sainte ardeur qui doit porter au bien Tombe plus rarement , ou n'opére plus rien . Celle qui vous pressoit de courir au baptême , Languissante déjà , cesse d'être la même ; 1 ...
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Common terms and phrases
Achillas ACHORÉE acte Adieu aime ALBI ALCI PPE Alcippe amant amour assez aussi-bien avoit bas à Lucrèce beau beauté bonheur César CHARMION chose chrétien ciel CLAR CLARICE CLEO Cléopatre CLIT CLITON cœur comédie comique connois Corneille crainte crime Dieu dieux digne discours doit donne DORA N T DORAN douleur époux esprit êtes étoit EUCT eût expression FELI FELI X Félix femme feux flâme fourbe GÉRONTE gloire grace haine homme hymen indigne ISABELLE j'ai j'en jamais juste l'amour LÉPIDE long-tems Lucain LUCRE m'en main malheur Menteur mort mort de Pompée n'en Néarque noble parler passer PATR PAUL Pauline père Pharsale PHILISTE Photin pièce pleurs POLYE Polyeucte Pompée Ptolomée qu'à qu'un rien rime Romains Rome s'il SABIN sais sang SCENE secret seigneur sentimens sentiment Septime seroit seul Sévère solécisme songe sort souffrir soupirs STRA STRATONIC style tems théâtre tragédie trépas triste UCTE venger vertu veux vœux vois yeux
Popular passages
Page 441 - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais, II ment quand il le dit, et ne le fut jamais, Est-il vice plus bas, est-il tache plus noire.
Page 111 - Que tu m'avais promise, et que je t'ai portée, Quand tu me veux quitter, quand tu me fais mourir, Te peut-elle arracher une larme, un soupir? Tu me quittes, ingrat, et le fais avec joie ; Tu ne la caches pas, tu veux que je la voie ; Et ton cœur, insensible à ces tristes appas, Se figure un bonheur où je ne serai pas ! C'est donc là le dégoût qu'apporte l'hyménée?
Page 110 - Sa faveur me couronne entrant dans la carrière; Du premier coup de vent il me conduit au port, Et sortant du baptême, il m'envoie à la mort. Si vous pouviez comprendre et le peu qu'est la vie, Et de quelles douceurs cette mort est suivie 1 Mais que sert de parler de ces trésors cachés A des esprits que Dieu n'a pas encor touchés?
Page 340 - L'effet n'y répond pas toujours à l'apparence : On s'y laisse duper autant qu'en lieu de France; Et parmi tant d'esprits plus polis et meilleurs, II y croît des badauds autant et plus qu'ailleurs. Dans la confusion que ce grand monde apporte, II y vient de tous lieux des gens de toute sorte; Et dans toute la France il est fort peu d'endroits Dont il n'ait le 'rebut aussi bien que le choix.
Page 123 - Peut-être qu'après tout ces croyances publiques Ne sont qu'inventions de sages politiques , Pour contenir un peuple , ou bien pour l'émouvoir, Et dessus sa foiblesse affermir leur pouvoir.
Page 32 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit. Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie, Je rends dans les tourments une pénible vie.
Page 105 - Saintes douceurs du ciel , adorables idées , Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir. De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir : Vous promettez beaucoup et donnez davantage. Vos biens ne sont point...
Page 273 - M'y favorisait moins que vos divins appas ; Ils conduisaient ma main , ils enflaient mon courage ; Cette pleine victoire est leur dernier ouvrage : C'est l'effet des ardeurs qu'ils daignaient m'inspirer; Et vos beaux yeux enfin m'ayant fait soupirer , Pour faire que votre âme avec gloire y réponde, M'ont rendu le premier et de Rome et du monde.
Page 113 - C'est en vain qu'on se met en défense; Ce Dieu touche les cœurs lorsque moins on y pense. Ce bienheureux moment n'est pas encor venu; II viendra; mais le temps ne m'en est pas connu.
Page 145 - Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières, Son sang dont tes bourreaux viennent de me couvrir M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée, De ce bienheureux sang tu me vois baptisée, Je suis chrétienne enfin, n'est-ce point assez dit?