Théatre de P. Corneille: avec les commentaires de Voltaire, Volume 5Ches Bossange, Masson et Besson, 1797 |
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... cours , cher Néarque ; Je brûle d'en porter la glorieuse marque . Mais Pauline s'afflige , et ne peut consentir , Tant ce songe la trouble , à me laisser sortir . NÉ ARQUE . Votre retour pour elle en aura plus de charmes : Dans une ...
... cours , cher Néarque ; Je brûle d'en porter la glorieuse marque . Mais Pauline s'afflige , et ne peut consentir , Tant ce songe la trouble , à me laisser sortir . NÉ ARQUE . Votre retour pour elle en aura plus de charmes : Dans une ...
Page 26
... cours , et te précipite Au devant de la mort que les dieux m'ont prédite ; Suis cet agent fatal de tes mauvais destins , Qui peut - être te livre aux mains des assassins . Tu vois , ma Stratonice , en quel siècle nous sommes . 1 ) Voilà ...
... cours , et te précipite Au devant de la mort que les dieux m'ont prédite ; Suis cet agent fatal de tes mauvais destins , Qui peut - être te livre aux mains des assassins . Tu vois , ma Stratonice , en quel siècle nous sommes . 1 ) Voilà ...
Page 39
... cour et l'armée , pour aller faire sans raison un sacrifice qu'il pouvait mieux faire sur les lieux . Qu'eût - on dit de Yu- s'il eût quitté l'Alsace pour aller faire chanter un Te Deum en Champagne ? Mais Sévère vient pour renne , FELI ...
... cour et l'armée , pour aller faire sans raison un sacrifice qu'il pouvait mieux faire sur les lieux . Qu'eût - on dit de Yu- s'il eût quitté l'Alsace pour aller faire chanter un Te Deum en Champagne ? Mais Sévère vient pour renne , FELI ...
Page 103
... cours , En ce pressant besoin redouble ton secours ; Et toi , qui tout sortant encor de la victoire Regardes mes travaux du séjour de la gloire , Cher Néarque , pour vaincre un si fort ennemi , Prête du haut du ciel la main à ton ami ...
... cours , En ce pressant besoin redouble ton secours ; Et toi , qui tout sortant encor de la victoire Regardes mes travaux du séjour de la gloire , Cher Néarque , pour vaincre un si fort ennemi , Prête du haut du ciel la main à ton ami ...
Page 104
... cours en diligence . 2 ) POLYE UCT E. Sévère à mon défaut fera ta récompense . Va , ne perds point de tems , et reviens promptement . CLÉON . Je serai de retour , seigneur , dans un moment . SCENE I I. 3 ) POLYE UCTE ( Les gardes se ...
... cours en diligence . 2 ) POLYE UCT E. Sévère à mon défaut fera ta récompense . Va , ne perds point de tems , et reviens promptement . CLÉON . Je serai de retour , seigneur , dans un moment . SCENE I I. 3 ) POLYE UCTE ( Les gardes se ...
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Achillas ACHORÉE acte Adieu aime ALBI ALCI PPE Alcippe amant amour assez aussi-bien avoit bas à Lucrèce beau beauté bonheur César CHARMION chose chrétien ciel CLAR CLARICE CLEO Cléopatre CLIT CLITON cœur comédie comique connois Corneille crainte crime Dieu dieux digne discours doit donne DORA N T DORAN douleur époux esprit êtes étoit EUCT eût expression FELI FELI X Félix femme feux flâme fourbe GÉRONTE gloire grace haine homme hymen indigne ISABELLE j'ai j'en jamais juste l'amour LÉPIDE long-tems Lucain LUCRE m'en main malheur Menteur mort mort de Pompée n'en Néarque noble parler passer PATR PAUL Pauline père Pharsale PHILISTE Photin pièce pleurs POLYE Polyeucte Pompée Ptolomée qu'à qu'un rien rime Romains Rome s'il SABIN sais sang SCENE secret seigneur sentimens sentiment Septime seroit seul Sévère solécisme songe sort souffrir soupirs STRA STRATONIC style tems théâtre tragédie trépas triste UCTE venger vertu veux vœux vois yeux
Popular passages
Page 441 - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais, II ment quand il le dit, et ne le fut jamais, Est-il vice plus bas, est-il tache plus noire.
Page 111 - Que tu m'avais promise, et que je t'ai portée, Quand tu me veux quitter, quand tu me fais mourir, Te peut-elle arracher une larme, un soupir? Tu me quittes, ingrat, et le fais avec joie ; Tu ne la caches pas, tu veux que je la voie ; Et ton cœur, insensible à ces tristes appas, Se figure un bonheur où je ne serai pas ! C'est donc là le dégoût qu'apporte l'hyménée?
Page 110 - Sa faveur me couronne entrant dans la carrière; Du premier coup de vent il me conduit au port, Et sortant du baptême, il m'envoie à la mort. Si vous pouviez comprendre et le peu qu'est la vie, Et de quelles douceurs cette mort est suivie 1 Mais que sert de parler de ces trésors cachés A des esprits que Dieu n'a pas encor touchés?
Page 340 - L'effet n'y répond pas toujours à l'apparence : On s'y laisse duper autant qu'en lieu de France; Et parmi tant d'esprits plus polis et meilleurs, II y croît des badauds autant et plus qu'ailleurs. Dans la confusion que ce grand monde apporte, II y vient de tous lieux des gens de toute sorte; Et dans toute la France il est fort peu d'endroits Dont il n'ait le 'rebut aussi bien que le choix.
Page 123 - Peut-être qu'après tout ces croyances publiques Ne sont qu'inventions de sages politiques , Pour contenir un peuple , ou bien pour l'émouvoir, Et dessus sa foiblesse affermir leur pouvoir.
Page 32 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit. Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie, Je rends dans les tourments une pénible vie.
Page 105 - Saintes douceurs du ciel , adorables idées , Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir. De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir : Vous promettez beaucoup et donnez davantage. Vos biens ne sont point...
Page 273 - M'y favorisait moins que vos divins appas ; Ils conduisaient ma main , ils enflaient mon courage ; Cette pleine victoire est leur dernier ouvrage : C'est l'effet des ardeurs qu'ils daignaient m'inspirer; Et vos beaux yeux enfin m'ayant fait soupirer , Pour faire que votre âme avec gloire y réponde, M'ont rendu le premier et de Rome et du monde.
Page 113 - C'est en vain qu'on se met en défense; Ce Dieu touche les cœurs lorsque moins on y pense. Ce bienheureux moment n'est pas encor venu; II viendra; mais le temps ne m'en est pas connu.
Page 145 - Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières, Son sang dont tes bourreaux viennent de me couvrir M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée, De ce bienheureux sang tu me vois baptisée, Je suis chrétienne enfin, n'est-ce point assez dit?