Théatre de P. Corneille: avec les commentaires de Voltaire, Volume 5Ches Bossange, Masson et Besson, 1797 |
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... cavaliers . étroitement liés ensemble d'amitié ; ils vivoient en l'an 250 , sous l'empire de Décius ; leur demeure étoit dans Mélitène , capitale d'Arménie ; leur re- ་ ligion différente . Néarque étoit chrétien , et Po- lyeucte 10 ...
... cavaliers . étroitement liés ensemble d'amitié ; ils vivoient en l'an 250 , sous l'empire de Décius ; leur demeure étoit dans Mélitène , capitale d'Arménie ; leur re- ་ ligion différente . Néarque étoit chrétien , et Po- lyeucte 10 ...
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avec les commentaires de Voltaire Pierre Corneille. ligion différente . Néarque étoit chrétien , et Po- lyeucte suivoit encore la secte des gentils , mais ayant toutes les qualités dignes d'un chrétien , et une grande inclination à le ...
avec les commentaires de Voltaire Pierre Corneille. ligion différente . Néarque étoit chrétien , et Po- lyeucte suivoit encore la secte des gentils , mais ayant toutes les qualités dignes d'un chrétien , et une grande inclination à le ...
Page 12
... chrétiens , ayant vu lui - même ce qu'avoit fait son gendre , saisi de douleur de voir l'espoir et l'appui de sa famille perdus , tâche d'ébranler sa constance , première- ment par de belles paroles , ensuite par des me- naces , enfin ...
... chrétiens , ayant vu lui - même ce qu'avoit fait son gendre , saisi de douleur de voir l'espoir et l'appui de sa famille perdus , tâche d'ébranler sa constance , première- ment par de belles paroles , ensuite par des me- naces , enfin ...
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... chrétien que vous ; Mais , pour en recevoir le sacré caractère , Qui lave nos forfaits dans une eau salutaire , Et qui , purgeant notre ame et déssillant nos yeux , Nous rend le premier droit que nous avions aux cieux , Bien que je le ...
... chrétien que vous ; Mais , pour en recevoir le sacré caractère , Qui lave nos forfaits dans une eau salutaire , Et qui , purgeant notre ame et déssillant nos yeux , Nous rend le premier droit que nous avions aux cieux , Bien que je le ...
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... chrétien est en bute , Comment en pourrez - vous surmonter les douleurs , Si vous ne pouvez pas résister à des pleurs ? POLY EUCT E. Vous ne m'étonnez point ; la pitié qui me blesse Sied bien aux plus grands cœurs , et n'a point de ...
... chrétien est en bute , Comment en pourrez - vous surmonter les douleurs , Si vous ne pouvez pas résister à des pleurs ? POLY EUCT E. Vous ne m'étonnez point ; la pitié qui me blesse Sied bien aux plus grands cœurs , et n'a point de ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 441 - Laisse-moi parler, toi de qui l'imposture Souille honteusement ce don de la nature : Qui se dit gentilhomme, et ment comme tu fais, II ment quand il le dit, et ne le fut jamais, Est-il vice plus bas, est-il tache plus noire.
Page 111 - Que tu m'avais promise, et que je t'ai portée, Quand tu me veux quitter, quand tu me fais mourir, Te peut-elle arracher une larme, un soupir? Tu me quittes, ingrat, et le fais avec joie ; Tu ne la caches pas, tu veux que je la voie ; Et ton cœur, insensible à ces tristes appas, Se figure un bonheur où je ne serai pas ! C'est donc là le dégoût qu'apporte l'hyménée?
Page 110 - Sa faveur me couronne entrant dans la carrière; Du premier coup de vent il me conduit au port, Et sortant du baptême, il m'envoie à la mort. Si vous pouviez comprendre et le peu qu'est la vie, Et de quelles douceurs cette mort est suivie 1 Mais que sert de parler de ces trésors cachés A des esprits que Dieu n'a pas encor touchés?
Page 340 - L'effet n'y répond pas toujours à l'apparence : On s'y laisse duper autant qu'en lieu de France; Et parmi tant d'esprits plus polis et meilleurs, II y croît des badauds autant et plus qu'ailleurs. Dans la confusion que ce grand monde apporte, II y vient de tous lieux des gens de toute sorte; Et dans toute la France il est fort peu d'endroits Dont il n'ait le 'rebut aussi bien que le choix.
Page 123 - Peut-être qu'après tout ces croyances publiques Ne sont qu'inventions de sages politiques , Pour contenir un peuple , ou bien pour l'émouvoir, Et dessus sa foiblesse affermir leur pouvoir.
Page 32 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit. Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie, Je rends dans les tourments une pénible vie.
Page 105 - Saintes douceurs du ciel , adorables idées , Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir. De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir : Vous promettez beaucoup et donnez davantage. Vos biens ne sont point...
Page 273 - M'y favorisait moins que vos divins appas ; Ils conduisaient ma main , ils enflaient mon courage ; Cette pleine victoire est leur dernier ouvrage : C'est l'effet des ardeurs qu'ils daignaient m'inspirer; Et vos beaux yeux enfin m'ayant fait soupirer , Pour faire que votre âme avec gloire y réponde, M'ont rendu le premier et de Rome et du monde.
Page 113 - C'est en vain qu'on se met en défense; Ce Dieu touche les cœurs lorsque moins on y pense. Ce bienheureux moment n'est pas encor venu; II viendra; mais le temps ne m'en est pas connu.
Page 145 - Mon époux en mourant m'a laissé ses lumières, Son sang dont tes bourreaux viennent de me couvrir M'a dessillé les yeux, et me les vient d'ouvrir. Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée, De ce bienheureux sang tu me vois baptisée, Je suis chrétienne enfin, n'est-ce point assez dit?