Cours de littérature, d'histoire et de philosophie: Extraits de nos meilleurs ouvrages, Volume 2Bossange et Masson, 1814 - Literature |
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... l'un de ces emplois menoit à l'autre , et que bien souvent le même homme les exerçoit à la fois . Il y avoit à ... une loi qu'on croyoit mauvaise , et qui avoit II . X ÉTUDES DE LITTÉRATURE, ...
... l'un de ces emplois menoit à l'autre , et que bien souvent le même homme les exerçoit à la fois . Il y avoit à ... une loi qu'on croyoit mauvaise , et qui avoit II . X ÉTUDES DE LITTÉRATURE, ...
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... un cœur sensible , ou un naturel passionné , ce sont autant d'ennemis de son devoir qui le suivent dans le sanctuaire de la justice , et qu'il seroit à désirer qu'il pût laisser à la porte . Aristote nous dit que dans l'aréopage , on ...
... un cœur sensible , ou un naturel passionné , ce sont autant d'ennemis de son devoir qui le suivent dans le sanctuaire de la justice , et qu'il seroit à désirer qu'il pût laisser à la porte . Aristote nous dit que dans l'aréopage , on ...
Page 10
... UN AVOCAT ? E ne vous dissimulerai pas , Monsieur , que lorsque j'entends M. le chancelier d'Aguesseau appeler l'ordre ... l'un et l'autre , deux états diamétralement opposés à celui d'avocat . L'exercice de la profession d'avocat doit ...
... UN AVOCAT ? E ne vous dissimulerai pas , Monsieur , que lorsque j'entends M. le chancelier d'Aguesseau appeler l'ordre ... l'un et l'autre , deux états diamétralement opposés à celui d'avocat . L'exercice de la profession d'avocat doit ...
Page 11
... un premier titre pour mériter , à celui qui l'embrasse , la considération des gens sensés , c'est de voir qu'il ... un avo- cat ? Un homme de bien capable de conseiller et de dé- fendre ses concitoyens . Cicéron définissoit l'orateur ...
... un premier titre pour mériter , à celui qui l'embrasse , la considération des gens sensés , c'est de voir qu'il ... un avo- cat ? Un homme de bien capable de conseiller et de dé- fendre ses concitoyens . Cicéron définissoit l'orateur ...
Page 27
... un appartement au - dessous duquel il y avoit un très - beau et très - vaste jardin . Cette dame de Solar avoit , en ladite année 1773 , suivant le rapport de ladite dame de Hauteserre , une fille âgée d'environ quatorze ans , et un ...
... un appartement au - dessous duquel il y avoit un très - beau et très - vaste jardin . Cette dame de Solar avoit , en ladite année 1773 , suivant le rapport de ladite dame de Hauteserre , une fille âgée d'environ quatorze ans , et un ...
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affreux âme amour Apollon ARTICLE auteur avoit Barège beau beauté bergers Boileau bonheur brillant cardinal de Bernis chants CHAP charme cher chevalier de Boufflers ciel cieux cœur connoître crime cruel Delille Dieu dieux douce douleur doux éloges enfans enfin époux esprit étoient étoit femme fleurs foible foiblesse Fontenelle François front fureur génie gentil Bernard gloire goût HARPE Hélas héros heureux Homère hommes humain Ismène J'ai Jacques Roux jamais jour l'âme l'amour l'art l'éloquence l'esprit l'homme l'onde l'univers langue lois long-temps Louis XIV main malheureux Melpomène Métromanie mœurs Molière monde mort mortels n'étoit nature Ovide paroît passions peine pensée père peuple philosophie pitié plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte premier Properce qu'un quelquefois Racine raison rien Rome sage sang satire secret sentimens sentiment seroit seul siècle Solar sort souvent style talent temple tendre terre Tibulle tour tremblant trépas triste vertu vice Virgile vois voit voix Voltaire yeux
Popular passages
Page 196 - J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je! mon père y tient l'urne fatale , Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Page 444 - Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutables ; Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 201 - Saper ses fondements encor mal assurés ! Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie ; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers...
Page 206 - Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers : Et, de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes. Ah ! s'ils ont pu choisir pour leur libérateur Spartacus, un esclave, un vil gladiateur ; S'ils suivent au combat des brigands qui les vengent ; De quelle noble ardeur pensez-vous qu'ils se rangent Sous les drapeaux d'un roi longtemps victorieux, Qui voit jusqu'à Cyrus remonter ses aïeux? Que dis-je ? en quel état croyez-vous la surprendre? Vide...
Page 205 - Je sais tous les chemins par où je dois passer ; Et si la mort bientôt ne me vient traverser, Sans reculer plus loin l'effet de ma parole, Je vous rends dans trois mois au pied du Capitole. Doutez-vous que l'Euxin ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y vient finir son cours?
Page 384 - Qu'on vante en lui la foi, l'honneur, la probité" Qu'on prise sa candeur et sa civilité; Qu'il soit doux, complaisant, officieux, sincère : On le veut, j'y souscris, et suis prêt à me taire.
Page 149 - Répond en gémissant à ce cri redoutable. Jusqu'au fond de nos cœurs notre sang s'est glacé; Des coursiers attentifs le crin s'est hérissé. Cependant sur le dos de la plaine liquide S'élève à gros bouillons une montagne humide; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi 1 des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 201 - Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! Rome qui t'a vu naître, et que ton cœur adore ! Rome enfin que je hais parce qu'elle t'honore...
Page 214 - J'eus soin de vous nommer, par un contraire choix, Des gouverneurs que Rome honorait de sa voix: Je fus sourde à la brigue, et crus la renommée; J'appelai de l'exil, je tirai de l'armée Et ce même Sénèque, et ce même Burrhus, Qui depuis .... Rome alors estimait leurs vertus.
Page 87 - La véritable éloquence suppose l'exercice du génie et la culture de l'esprit. Elle est bien différente de cette facilité naturelle de parler qui n'est qu'un talent, une qualité accordée à tous ceux dont les passions sont fortes, les organes souples et l'imagination prompte. Ces hommes sentent vivement, s'affectent de même, le marquent fortement au dehors; et, par une impression purement mécanique, ils transmettent aux autres leur enthousiasme et leurs affections.