Histoire des Girondins, Volumes 1-2Société Typographique, 1851 - France |
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... voulait détruire . C'est l'explication de cette crustee dans les gouvernements monarchiques , théocratiques ou contradiction apparente de l'esprit du dix - huitième siècle qui empruntait tout du christianisme en politique , et qui le ...
... voulait détruire . C'est l'explication de cette crustee dans les gouvernements monarchiques , théocratiques ou contradiction apparente de l'esprit du dix - huitième siècle qui empruntait tout du christianisme en politique , et qui le ...
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... voulait détruire . C'est l'explication de cette contradiction apparente de l'esprit du dix - huitième siècle qui empruntait tout du christianisme en politique , et qui le reniait en le dépouillant . Il y avait à la fois une violente ...
... voulait détruire . C'est l'explication de cette contradiction apparente de l'esprit du dix - huitième siècle qui empruntait tout du christianisme en politique , et qui le reniait en le dépouillant . Il y avait à la fois une violente ...
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... voulait plus reconnaître un titre divin dans des puissances qui niaient la raison , qui asservissaient les peuples . Tant que le catholicisme avait été la seule doctrine légale en Europe , ces révoltes sourdes de l'esprit n'avaient ...
... voulait plus reconnaître un titre divin dans des puissances qui niaient la raison , qui asservissaient les peuples . Tant que le catholicisme avait été la seule doctrine légale en Europe , ces révoltes sourdes de l'esprit n'avaient ...
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... voulait la liberté en aristocrate , l'autre la voulait en démocrate . L'un s'était jeté au milieu du peuple , l'autre s'atta- chait aux marches du trône . Le caractère de l'éloquence de Ca- zalės était celui d'une cause désespérée . Il ...
... voulait la liberté en aristocrate , l'autre la voulait en démocrate . L'un s'était jeté au milieu du peuple , l'autre s'atta- chait aux marches du trône . Le caractère de l'éloquence de Ca- zalės était celui d'une cause désespérée . Il ...
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... voulait accomplir , comme s'il l'eût eu déjà en réalité sous les yeux .. Tel était alors l'homme qui devait absorber en lui tous ces hommes , et en faire ses victimes après en avoir fait ses instru- ments . Il n'était d'aucun parti ...
... voulait accomplir , comme s'il l'eût eu déjà en réalité sous les yeux .. Tel était alors l'homme qui devait absorber en lui tous ces hommes , et en faire ses victimes après en avoir fait ses instru- ments . Il n'était d'aucun parti ...
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Common terms and phrases
10 août âme amis applaudissements aristocrates armée armes assassins avaient Barbaroux Barnave bataillons Brissot C'était Camille Desmoulins camp canon Champ-de-Mars château chef citoyens clubs cœur commandant conseil conspirateurs constitution constitutionnel convention coup cour crime Danton décret demande députés devant dévouement dit-il duc d'Orléans duc de Brunswick Dumouriez émigrés enfants ennemis factions famille royale faubourgs Fayette femme force foule garde nationale général génie geste Girondins gouvernement Guadet guerre haine heures hommes jacobins jeune jour l'armée l'assemblée nationale l'homme laisser liberté Louis XVI lui-même madame Élisabeth madame Roland main Marat Marseillais menaces ment ministre Mirabeau monarchie mort municipalité n'avait n'était nation nuit officiers palais paroles passer passion patrie patriotisme pensée Pétion peuple philosophie politique populaire porte prince princesse Prusse Prussiens reine république révolution Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould salle sang Santerre sauver secret sentiment seul soldats sort Suisses tête tion tribune triomphe trône troupes Tuileries tyran Vergniaud victimes voix voulait
Popular passages
Page 195 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 498 - Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! Formez vos bataillons : Marchons, qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 14 - Vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives, pour perdre constitutionnellement la constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la constitution! Elle...
Page 13 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 14 - ... la puissance qui vous servirait à les braver; la constitution, que pour qu'elle ne vous précipitât pas du trône, où vous aviez besoin de rester pour la détruire; la nation, que pour assurer le succès de vos perfidies en lui inspirant de la confiance : pensez-vous nous abuser...
Page 270 - Eh! qu'est-il besoin de discuter quand tout le monde est d'accord ! Les rois sont dans l'ordre moral ce que les monstres sont dans l'ordre physique. Les cours sont l'atelier des crimes et la tanière des tyrans. L'histoire des rois est le martyrologe des nations. Dès que nous sommes tous également pénétrés de cette vérité, qu'est-il besoin de discuter?
Page 100 - Je déclare que le roi désirant partir avec ses enfans, rien dans la nature n'aurait pu m'empêcher de le suivre; j'ai assez prouvé depuis deux ans, dans plusieurs circonstances, que je ne le quitterais jamais.
Page 13 - ... roi qui sans doute avez cru, avec le tyran Lysandre, que la vérité ne valait pas mieux que le mensonge, et qu'il fallait amuser les hommes par des serments, ainsi qu'on amuse les enfants avec des osselets; qui n'avez feint d'aimer les...
Page 437 - Qui me garantira que dans cette nouvelle tempête, où l'on verra ressortir de leurs repaires les tueurs du 2 septembre, on ne vous présentera pas tout couvert de sang, et comme un libérateur, ce défenseur, ce chef que l'on dit être devenu si nécessaire ? Un chef ! Ah ! si telle était leur audace, il ne paraîtrait que pour être à l'instant percé de mille coups.
Page 14 - ... vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure ! Vous ne vous êtes point opposé par un acte formel aux victoires qui se remportaient en votre nom sur la liberté ; mais vous ne recueillerez point le fruit de ces indignes triomphes ! Vous n'êtes plus rien pour cette Constitution , que vous avez si indignement violée , pour ce peuple , que vous avez si lâchement trahi ! ( Applaudissemens réitérés.