Histoire des Girondins, Volumes 1-2Société Typographique, 1851 - France |
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... place que les hommes et les idées . Les détails intimes y abondent . Les détails sont la physionomie des caractères ; c'est par eux qu'ils se gravent dans l'imagination . De grands écrivains ont déjà écrit les fastes de cette époque ...
... place que les hommes et les idées . Les détails intimes y abondent . Les détails sont la physionomie des caractères ; c'est par eux qu'ils se gravent dans l'imagination . De grands écrivains ont déjà écrit les fastes de cette époque ...
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... place le salut de la monarchie dans une proclamation de la couronne et dans une cérémonie royale pro- pre à populariser le roi . Tantôt il veut acheter les applaudisse- ments des tribunes et croit que la nation lui sera vendue avec eux ...
... place le salut de la monarchie dans une proclamation de la couronne et dans une cérémonie royale pro- pre à populariser le roi . Tantôt il veut acheter les applaudisse- ments des tribunes et croit que la nation lui sera vendue avec eux ...
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... place que les hommes et les idées . Les détails intimes y abondent . Les détails sont la physionomie des caractères ; c'est par eux qu'ils se gravent dans l'imagination . De grands écrivains ont déjà écrit les fastes de cette époque ...
... place que les hommes et les idées . Les détails intimes y abondent . Les détails sont la physionomie des caractères ; c'est par eux qu'ils se gravent dans l'imagination . De grands écrivains ont déjà écrit les fastes de cette époque ...
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... place lui- même , dans l'imagination du peuple , à la hauteur des rôles qu'il veut rappeler . On s'accoutume à le confondre avec les noms qu'il cite . Il fait un grand bruit pour préparer les esprits aux grandes commotions ; il s ...
... place lui- même , dans l'imagination du peuple , à la hauteur des rôles qu'il veut rappeler . On s'accoutume à le confondre avec les noms qu'il cite . Il fait un grand bruit pour préparer les esprits aux grandes commotions ; il s ...
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... place qu'aucun n'était fait pour conquérir . Les larmes qu'ils versaient sur son cercueil étaient feintes . Le peuple seul le pleurait sincèrement , parce que le peuple est trop fort pour être jaloux , et que , bien loin de reprocher à ...
... place qu'aucun n'était fait pour conquérir . Les larmes qu'ils versaient sur son cercueil étaient feintes . Le peuple seul le pleurait sincèrement , parce que le peuple est trop fort pour être jaloux , et que , bien loin de reprocher à ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 195 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 498 - Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! Formez vos bataillons : Marchons, qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 14 - Vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives, pour perdre constitutionnellement la constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la constitution! Elle...
Page 13 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 14 - ... la puissance qui vous servirait à les braver; la constitution, que pour qu'elle ne vous précipitât pas du trône, où vous aviez besoin de rester pour la détruire; la nation, que pour assurer le succès de vos perfidies en lui inspirant de la confiance : pensez-vous nous abuser...
Page 270 - Eh! qu'est-il besoin de discuter quand tout le monde est d'accord ! Les rois sont dans l'ordre moral ce que les monstres sont dans l'ordre physique. Les cours sont l'atelier des crimes et la tanière des tyrans. L'histoire des rois est le martyrologe des nations. Dès que nous sommes tous également pénétrés de cette vérité, qu'est-il besoin de discuter?
Page 100 - Je déclare que le roi désirant partir avec ses enfans, rien dans la nature n'aurait pu m'empêcher de le suivre; j'ai assez prouvé depuis deux ans, dans plusieurs circonstances, que je ne le quitterais jamais.
Page 13 - ... roi qui sans doute avez cru, avec le tyran Lysandre, que la vérité ne valait pas mieux que le mensonge, et qu'il fallait amuser les hommes par des serments, ainsi qu'on amuse les enfants avec des osselets; qui n'avez feint d'aimer les...
Page 437 - Qui me garantira que dans cette nouvelle tempête, où l'on verra ressortir de leurs repaires les tueurs du 2 septembre, on ne vous présentera pas tout couvert de sang, et comme un libérateur, ce défenseur, ce chef que l'on dit être devenu si nécessaire ? Un chef ! Ah ! si telle était leur audace, il ne paraîtrait que pour être à l'instant percé de mille coups.
Page 14 - ... vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure ! Vous ne vous êtes point opposé par un acte formel aux victoires qui se remportaient en votre nom sur la liberté ; mais vous ne recueillerez point le fruit de ces indignes triomphes ! Vous n'êtes plus rien pour cette Constitution , que vous avez si indignement violée , pour ce peuple , que vous avez si lâchement trahi ! ( Applaudissemens réitérés.