Histoire des Girondins, Volumes 1-2Société Typographique, 1851 - France |
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... enfin , que l'émancipation sociale et politique entrainerait avec elle une émancipation intel- lectuelle et religieuse de l'esprit humain ; que la liberté de penser , de parler et d'agir ne s'arrêterait pas devant la liberté de croire ...
... enfin , que l'émancipation sociale et politique entrainerait avec elle une émancipation intel- lectuelle et religieuse de l'esprit humain ; que la liberté de penser , de parler et d'agir ne s'arrêterait pas devant la liberté de croire ...
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... enfin à tous les citoyens . La présentation par deux des membres de la société et un scrutin ouvert sur la moralité du récipiendaire , étaient les seules conditions de réception ; le public était admis aux séances par des censeurs qui ...
... enfin à tous les citoyens . La présentation par deux des membres de la société et un scrutin ouvert sur la moralité du récipiendaire , étaient les seules conditions de réception ; le public était admis aux séances par des censeurs qui ...
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... enfin par son peuple , que l'ordre se rétablit au dedans , que la paix se maintint au dehors , et que l'assemblée , revenant sur les empié- tements qu'elle avait accomplis contre le pouvoir exécutif , revi- sât la constitution , en ...
... enfin par son peuple , que l'ordre se rétablit au dedans , que la paix se maintint au dehors , et que l'assemblée , revenant sur les empié- tements qu'elle avait accomplis contre le pouvoir exécutif , revi- sât la constitution , en ...
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... enfin des poignards qui avaient percé le lit même de la reine aux 5 et 6 octobre , tout faisait dé leur vie une transe continuelle . Ils commençaient à croire que la révolution in- satiable s'irritait par les concessions mêmes qu'ils ...
... enfin des poignards qui avaient percé le lit même de la reine aux 5 et 6 octobre , tout faisait dé leur vie une transe continuelle . Ils commençaient à croire que la révolution in- satiable s'irritait par les concessions mêmes qu'ils ...
Page 62
... enfin que la Provi- dence voulût donner une dernière lueur d'espoir et de salut à ceux qu'elle allait si vite accabler de tant d'infortunes , toute la prudence des gardiens fut trompée , et la révolution laissa un moment échapper sa ...
... enfin que la Provi- dence voulût donner une dernière lueur d'espoir et de salut à ceux qu'elle allait si vite accabler de tant d'infortunes , toute la prudence des gardiens fut trompée , et la révolution laissa un moment échapper sa ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 195 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 498 - Sous nos drapeaux, que la Victoire Accoure à tes mâles accents : Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens ! Formez vos bataillons : Marchons, qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 14 - Vous donna-t-elle enfin le droit de sanction, une liste civile et tant de grandes prérogatives, pour perdre constitutionnellement la constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la constitution! Elle...
Page 13 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 14 - ... la puissance qui vous servirait à les braver; la constitution, que pour qu'elle ne vous précipitât pas du trône, où vous aviez besoin de rester pour la détruire; la nation, que pour assurer le succès de vos perfidies en lui inspirant de la confiance : pensez-vous nous abuser...
Page 270 - Eh! qu'est-il besoin de discuter quand tout le monde est d'accord ! Les rois sont dans l'ordre moral ce que les monstres sont dans l'ordre physique. Les cours sont l'atelier des crimes et la tanière des tyrans. L'histoire des rois est le martyrologe des nations. Dès que nous sommes tous également pénétrés de cette vérité, qu'est-il besoin de discuter?
Page 100 - Je déclare que le roi désirant partir avec ses enfans, rien dans la nature n'aurait pu m'empêcher de le suivre; j'ai assez prouvé depuis deux ans, dans plusieurs circonstances, que je ne le quitterais jamais.
Page 13 - ... roi qui sans doute avez cru, avec le tyran Lysandre, que la vérité ne valait pas mieux que le mensonge, et qu'il fallait amuser les hommes par des serments, ainsi qu'on amuse les enfants avec des osselets; qui n'avez feint d'aimer les...
Page 437 - Qui me garantira que dans cette nouvelle tempête, où l'on verra ressortir de leurs repaires les tueurs du 2 septembre, on ne vous présentera pas tout couvert de sang, et comme un libérateur, ce défenseur, ce chef que l'on dit être devenu si nécessaire ? Un chef ! Ah ! si telle était leur audace, il ne paraîtrait que pour être à l'instant percé de mille coups.
Page 14 - ... vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure ! Vous ne vous êtes point opposé par un acte formel aux victoires qui se remportaient en votre nom sur la liberté ; mais vous ne recueillerez point le fruit de ces indignes triomphes ! Vous n'êtes plus rien pour cette Constitution , que vous avez si indignement violée , pour ce peuple , que vous avez si lâchement trahi ! ( Applaudissemens réitérés.