Le compère Matthieu, ou Les bigarrures de l'esprit humain ...Patris, 1796 - Utopias |
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Page 17
... maître , le détail de ses autres crimes , et la révéla- tion de ses complices . L'inquisiteur eut à peine prononcé ces paroles , que deux des quatre spectres qui avaient amené cette créature infor- tunée , se mirent à la dépouiller des ...
... maître , le détail de ses autres crimes , et la révéla- tion de ses complices . L'inquisiteur eut à peine prononcé ces paroles , que deux des quatre spectres qui avaient amené cette créature infor- tunée , se mirent à la dépouiller des ...
Page 26
... maître de la maison , qui faillit de s'évanouir à son tour , lorsqu'il me vit ; mais je le rassurai , je m'approchai de lui , et je le reconnus pour le médecin français qui m'avait guéri du coup de soleil . Cet honnête homme m'ayant ...
... maître de la maison , qui faillit de s'évanouir à son tour , lorsqu'il me vit ; mais je le rassurai , je m'approchai de lui , et je le reconnus pour le médecin français qui m'avait guéri du coup de soleil . Cet honnête homme m'ayant ...
Page 50
... maître . Au bout de sept ans d'apprentissage et de patience de toute espèce , je fis mon chef- d'oeuvre ; il fut trouvé que je savais faire passablement un bonnet , et que j'étais digne d'être reçu maître bonnetier , si j'avais le moyen ...
... maître . Au bout de sept ans d'apprentissage et de patience de toute espèce , je fis mon chef- d'oeuvre ; il fut trouvé que je savais faire passablement un bonnet , et que j'étais digne d'être reçu maître bonnetier , si j'avais le moyen ...
Page 53
... maître ni valet , ni amis ni ennemis ; je fais un métier qui n'est sujet à aucuns droits , à aucuns réglements ; je ne crains ni les sergents , ni les huissiers , ni les piailleries des créanciers ; je suis mon évêque , mon curé , mon ...
... maître ni valet , ni amis ni ennemis ; je fais un métier qui n'est sujet à aucuns droits , à aucuns réglements ; je ne crains ni les sergents , ni les huissiers , ni les piailleries des créanciers ; je suis mon évêque , mon curé , mon ...
Page 85
... maître , et que c'est ce pacte dont il est parlé dans l'Alcoran , au chapitre intitulé : Aaraf , où il est dit : » Lorsque dieu tira des reins d'Adam toute sa pos- » térité , il adressa à tous les hommes ces paroles : Ne » suis - je ...
... maître , et que c'est ce pacte dont il est parlé dans l'Alcoran , au chapitre intitulé : Aaraf , où il est dit : » Lorsque dieu tira des reins d'Adam toute sa pos- » térité , il adressa à tous les hommes ces paroles : Ne » suis - je ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 275 - Fait paraître en courant sa bouillante vigueur, Qui jamais ne se lasse, et qui dans la carrière S'est couvert mille fois d'une noble poussière ; Mais, la postérité d'Alfanc et de Bayard*, Quand ce n'est qu'une rosse, est vendue au hasard, Sans respect des aïeux dont elle est descendue, Et va porter la malle, ou tirer la charrue.
Page 450 - Œuvre dramatiques, ou Recueil des meilleures pièces du théâtre français, tragique, comique et lyrique, avec des discours préliminaires sur les trois genres, et des remarques sur la langue et le goût.
Page 433 - Lorsqu'on fait un conte, c'est à quelqu'un qui l'écoute; et pour peu que le conte dure, il est rare que le conteur ne soit pas interrompu quelquefois par son auditeur. Voilà pourquoi j'ai introduit dans le récit qu'on va lire, et qui n'est pas un conte, ou qui est un mauvais conte, si vous vous en doutez, un personnage qui fasse à peu près le rôle du lecteur; et je commence.
Page 245 - J'ai vu l'amour, la jalousie, la superstition, la colère, portés dans les femmes à un point que l'homme n'éprouva jamais. Le contraste des mouvements violents avec la douceur de leurs traits les rend hideuses; elles en sont plus défigurées. Les distractions d'une vie occupée et contentieuse rompent nos passions. La femme couve les siennes : c'est un point fixe, sur lequel son oisiveté ou la frivolité de ses fonctions tient son regard sans cesse attaché.
Page 246 - Un solitaire, brûlant dans ses idées ainsi que dans ses expressions, disait aux hérésiarques de son temps : « Adressez-vous aux femmes; elles reçoivent promptement, parce qu'elles sont ignorantes; elles répandent avec facilité, parce qu'elles sont légères; elles retiennent longtemps, parce qu'elles sont têtues.
Page 197 - D serait à propos aussi de fonder et d'ériger une chaire dont le professeur ne ferait autre chose toute l'année que d'expliquer à la jeunesse le billet d'enterrement de M. le duc de La Vauguyon; sans quoi il est à craindre que l'érudition nécessaire pour le bien entendre ne se perde insensiblement, et que ce billet ne devienne avec le temps le désespoir des critiques. » Le terme de juveigneur, par exemple , est peu connu.
Page 153 - Cet homme s'est rencontré doué d'une flexibilité d'esprit infinie autant que d'une malice profonde, raffinée par la philosophie. Guidé par un.e incrédulité opiniâtre et secondé d'un génie séducteur, il s'est déclaré l'ennemi de la cause de Dieu. Nouveau Protée , il se transfigure et prend sans cesse de nouvelles formes. Tantôt comme Juif, tantôt comme Chinois ou comme initié à la cabale , il vomit ses horribles blasphèmes.
Page 248 - N'attendez rien de pareil d'un homme. La femme porte au dedans d'ellemême un organe susceptible de spasmes terribles , disposant d'elle , et suscitant dans son imagination des fantômes de toute espèce.
Page 256 - Si nous avons plus de raison que les femmes, elles ont bien plus d'instinct que nous. La seule chose qu'on leur ait apprise, c'est à bien porter la feuille de figuier qu'elles ont reçue de leur première aïeule.
Page 98 - Il admet la matière homogène, et cependant il en regarde chaque molécule comme animée de tendances en tous sens, ce qui est contradictoire.