Textes classiques de la littérature française: extraits des grands écrivains français avec notices biographiques et bibliographiques, appŕeciations littéraires et notes explicatives, Volume 1Hachette et cie, 1884 - French literature |
From inside the book
Results 1-5 of 32
Page 58
... destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs . Toute sorte de bien comblera nos familles ; La moisson de nos champs lassera les faucilles , Et 58 SEIZIÈME SIÈCLE.
... destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs . Toute sorte de bien comblera nos familles ; La moisson de nos champs lassera les faucilles , Et 58 SEIZIÈME SIÈCLE.
Page 94
... pleurs et mes soupirs vous diront mieux le reste . 1. Le premier mot de Chimène est de demander justice contre un homme qu'elle adore : c'est peut - être la plus belle des situations . ( Voltaire . ) D. FERNAND . 1 Prends courage , ma ...
... pleurs et mes soupirs vous diront mieux le reste . 1. Le premier mot de Chimène est de demander justice contre un homme qu'elle adore : c'est peut - être la plus belle des situations . ( Voltaire . ) D. FERNAND . 1 Prends courage , ma ...
Page 100
... ! D. RODRIGUE . Que de maux et de pleurs nous coûteront nos pères CHIMÈNE . Rodrigue , qui l'eût cru ! ... Chimène , qui l'eût dit ... D. RODRIGUE . 1 CHIMENE . Que notre heur fût si proche , et 100 DIX - SEPTIÈME SIÈCLE.
... ! D. RODRIGUE . Que de maux et de pleurs nous coûteront nos pères CHIMÈNE . Rodrigue , qui l'eût cru ! ... Chimène , qui l'eût dit ... D. RODRIGUE . 1 CHIMENE . Que notre heur fût si proche , et 100 DIX - SEPTIÈME SIÈCLE.
Page 106
... pleurs à répandre ; De tous les deux côtés mes désirs sont trahis . HORACE . Quoi ! vous me pleureriez mourant pour mon pays ! Pour un cœur généreux ce trépas a des charmes , La gloire qui le suit ne souffre point de larmes ; Et je le ...
... pleurs à répandre ; De tous les deux côtés mes désirs sont trahis . HORACE . Quoi ! vous me pleureriez mourant pour mon pays ! Pour un cœur généreux ce trépas a des charmes , La gloire qui le suit ne souffre point de larmes ; Et je le ...
Page 111
... pleurs en sa faveur sont de faibles défenses . J'atteste des grands dieux les suprêmes puissances , Qu'avant ce jour fini , ces mains , ces propres mains Laveront dans son sang la honte des Romains . SABINE . Suivons - le promptement ...
... pleurs en sa faveur sont de faibles défenses . J'atteste des grands dieux les suprêmes puissances , Qu'avant ce jour fini , ces mains , ces propres mains Laveront dans son sang la honte des Romains . SABINE . Suivons - le promptement ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ABNER AGAMEMNON ALCESTE âme amour Arcas ARMANDE ATHALIE avez avoit beau BÉLISE Boileau Bossuet Britannicus BURRHUS Calchas CÉLIMÈNE charme CHICANNEAU CHIMÈNE chose CHRYSALE ciel Cinna CLYTEMNESTRE cœur COMTESSE Corneille coup courage courroux crime DEMOGEOT DIÈGUE Dieu dieux dire discours donne douleur édition enfin ennemis esprit estoit Fénelon fille fils FLÈCHE frère gens gloire Grecs HARPAGON HERMIONE héros homme HORACE j'ai jamais JOAD JOSABET jour laisse lois Louis m'en madame main MAÎTRE JACQUES malheur Mardochée Molière monde monsieur mort mourir NARCISSE NÉARQUE Néoptolème NÉRON NICOMÈDE ORESTE ORGON ORONTE parler passé PAULINE pensée père peuple PHILAMINTE PHILINTE plaisir pleurs poète POLYEUCTE prince PRUSIAS Pyrrhus qu'à qu'un raison reste rien RODRIGUE rois Romains Rome sage saint sais sang satire SCÈNE seigneur sentiments seul soin sort souffrir temple terre TRISSOTIN triste trouve Ulysse VADIUS VALÈRE Vatel venger vertu veut veux Voilà vois voulez yeux
Popular passages
Page 425 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle: c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention; et de ne comprendre rien de plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 434 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini, un tout à l'égard du néant, un milieu entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinciblement cachés dans un secret impénétrable, également incapable de voir le néant d'où il est tiré, et l'infini où il est englouti.
Page 436 - De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même homme qui subsiste toujours et qui apprend continuellement...
Page 434 - Qu'un ciron lui offre, dans la petitesse de son corps, des parties incomparablement plus petites, des jambes avec des jointures, des veines dans ces jambes, du sang dans ces veines, des humeurs dans ce sang, des gouttes dans ces humeurs, des...
Page 360 - Il n'est point de serpent , ni de monstre odieux , Qui, par l'art imité , ne puisse plaire aux yeux ; D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 256 - Ce style figuré, dont on fait vanité, Sort du bon caractère et de la vérité; Ce n'est que jeu de mots , qu'affectation pure , Et ce n'est point ainsi que parle la nature.
Page 401 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut : mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.
Page 433 - Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers; que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit...
Page 225 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide.
Page 384 - L'invention des arts étant un droit d'aînesse, Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes. Je t'en veux dire un trait assez bien inventé : Autrefois à Racan Malherbe l'a conté.