Petite encyclopédie poétique; ou, Choix de poésies dans tous les genres, Volume 6Capelle et Cie., 1804 - French poetry |
From inside the book
Results 1-5 of 27
Page 14
... main , qu'elle paraît vouloir lui retirer . Cessez , dit Nicolas , cessez de soupirer ; Me voilà bien portant ... Est - ce ainsi qu'on m'embrasse ? Vous ne me dites rien ! mon fils , tu ne viens pas Te jeter dans mes bras ? Une caresse ...
... main , qu'elle paraît vouloir lui retirer . Cessez , dit Nicolas , cessez de soupirer ; Me voilà bien portant ... Est - ce ainsi qu'on m'embrasse ? Vous ne me dites rien ! mon fils , tu ne viens pas Te jeter dans mes bras ? Une caresse ...
Page 15
... main , lui dit : Malheureux père , Pourrais - tu desirer d'être aimé de la mère Du fils le plus méchant ? -Antoine méchant ! lui ! non , non ; son caractère Est bon ; je le connais : il est encore enfant , Il aime à folâtrer ; c'est le ...
... main , lui dit : Malheureux père , Pourrais - tu desirer d'être aimé de la mère Du fils le plus méchant ? -Antoine méchant ! lui ! non , non ; son caractère Est bon ; je le connais : il est encore enfant , Il aime à folâtrer ; c'est le ...
Page 16
... main , Lorsque je vois entrer la fille de couture , La petite Babet : la pauvre créature En tombant sur des échalas Dans sa vigne ici près s'est déchiré le bras ; Elle pleurait , et sa blessure Saignait beaucoup . Ce n'est pas moi Qu ...
... main , Lorsque je vois entrer la fille de couture , La petite Babet : la pauvre créature En tombant sur des échalas Dans sa vigne ici près s'est déchiré le bras ; Elle pleurait , et sa blessure Saignait beaucoup . Ce n'est pas moi Qu ...
Page 17
... main sur mon cœur ; tiens , c'était là ta place :: Car je t'aimais , Antoine , et c'était mon bonheur . Je ne t'aimerai plus ... Oh ! si fait , j'ai beau dire- , Je t'aimerai toujours ; ce sera ma douleur . Ciel ! j'aimerai donc un ...
... main sur mon cœur ; tiens , c'était là ta place :: Car je t'aimais , Antoine , et c'était mon bonheur . Je ne t'aimerai plus ... Oh ! si fait , j'ai beau dire- , Je t'aimerai toujours ; ce sera ma douleur . Ciel ! j'aimerai donc un ...
Page 20
... main . C'est ainsi que toute la vie N'est qu'un cercle de volerie . Le valet donc à son petit magot Trouvait toujours quelque mécompte . Qu'est - ce ? dit - il ; quel est le coquin qui m'affronte ? Dans mon taudis il n'entre que Margot ...
... main . C'est ainsi que toute la vie N'est qu'un cercle de volerie . Le valet donc à son petit magot Trouvait toujours quelque mécompte . Qu'est - ce ? dit - il ; quel est le coquin qui m'affronte ? Dans mon taudis il n'entre que Margot ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ABEILLES abricotier amour animaux AUBERT BARBE beau belle bientôt BOISARD bon homme bonheur BOURSAULT brebis brillant buisson C'était chantant charmant chat chère chien Chloé ciel cieux Cocyte cœur Colas colère coup crie desirs dieux disait dit-il Dolo DORAT doux enfans enfant enfin Esope fable faisait Fanfan fauvette fils fleurs Florette FLORIAN fraisiers fruit FUMARS gens goût GRÉCOURT GRÉNUS groseillier GUICHARD hélas heureux HOFFMAN j'ai j'en jardin JEU D'ÉCHECS jeune jour Jupiter l'autre L'ENFANT l'hermite l'oiseau LAMOTTE lanterne magique lapin LEBAILLY long-tems loup madame mainte maître malheur MANCINI-NIVERNAIS méchant mère messieurs mieux miroir Mme JOLIVEAU moineau mouton nature oiseau Paphos papillon parens passer pauvre peine père Pérette perroquet Pilpay plaisir pleurs qu'un raison Raton renard répond rien Robin rose rossignol sage sais sarcelle seigneur sera serin serpent seul singe sort taupe tems tendre tour trouve valet veut veux village vint voilà vois vole yeux
Popular passages
Page 12 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 227 - La sarcelle : aussitôt , il pousse un cri de joie ; Et, sans perdre de temps à consoler sa sœur, De ses quatre pieds il s'emploie A creuser un secret chemin • Pour joindre son amie ; et, par ce souterrain, Le lapin, tout à coup, entre dans la volière, Comme un mineur qui prend une place de guerre. Les oiseaux effrayés se pressent en fuyant. Lui court à la sarcelle ; il l'entraîne à l'instant Dans son obscur sentier, la conduit sous la terre , Et, la rendant au jour, il est prêt à mourir...
Page 109 - C'est ici, c'est ici qu'un spectacle nouveau Vous charmera gratis. Oui, messieurs, à la porte On ne prend point d'argent, je fais tout pour l'honneur.
Page 60 - Certain poisson volant , mécontent de son sort, Disait à sa vieille grand'mère : « Je ne sais comment je dois faire Pour me préserver de la mort. De nos aigles marins je redoute la serre , Quand je m'élève dans les airs : Et les requins me font la guerre , Quand je me plonge au fond des mers.
Page 51 - ... fidèle, Tu reçois, pour prix de ton zèle, Des coups et souvent le trépas. Moi qui tous les ans les habille, Qui leur donne du lait et qui fume leurs champs. Je vois chaque matin quelqu'un de ma famille Assassiné par ces méchants. Leurs confrères les loups dévorent ce qui reste. Victimes de ces inhumains, Travailler pour eux seuls, et mourir par leurs mains, Voilà notre destin funeste ! Il est vrai, dit le chien; mais crois-tu plus heureux Les auteurs de notre misère? Va, ma sœur, il...
Page 228 - Je" ne te quitte point, lui répondait l'oiseau; Nous séparer serait la mort la plus cruelle. Ah ! si tu pouvais passer l'eau ! Pourquoi pas? Attends-moi... » La Sarcelle le quitte, Et revient traînant un vieux nid Laissé par des canards ; elle l'emplit bien vite De feuilles de roseau, les presse, les unit; Des pieds, du bec, en forme un...
Page 29 - Aux lieux où règne la Folie Un jour la Nouveauté parut. Aussitôt chacun accourut ; Chacun disait : qu'elle est jolie ! Ah ! madame la Nouveauté , Demeurez dans notre patrie ; Plus que l'esprit et la beauté Vous y fûtes toujours chérie.
Page 227 - Mes fusils! mes furets! criait-il en colère. Aussitôt fusils et furets Sont tout prêts. Les gardes et les chiens vont dans les jeunes tailles, Fouillant les terriers, les broussailles; Tout lapin qui...
Page 109 - Jacqueau, c'était son nom, sur la corde élastique Dansait et voltigeait au mieux, Puis faisait le saut périlleux, Et puis sur un cordon, sans que rien le soutienne, Le corps droit, fixe, d'aplomb, Notre Jacqueau fait tout du long ^exercice à la prussienne.
Page 110 - D'Adam, d'Eve et des animaux... Voyez, Messieurs, comme ils sont beaux ! Voyez la naissance du monde ; Voyez... » Les spectateurs, dans une nuit profonde, Ecarquillaient leurs yeux et ne pouvaient rien voir : L'appartement, le mur, tout était noir. « Ma foi, disait un chat, de toutes les merveilles Dont il étourdit nos oreilles, Le fait est que je ne vois rien. — Ni moi non plus, disait un chien. — Moi, disait un dindon, je vois bien quelque chose. Mais je ne sais pour quelle cause Je ne...