L'esprit de l'histoire: ou Lettres politiques et morales du̕n père à son fils, sur la manière dé̕tudier lh̓istoire en général et particulèrement lh̓istoire de France, Volume 1Nyon, 1802 - France |
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Athènes attaquer Auguste auroient auroit autorité avoient avoit bataille d'Actium bataille de Cannes Caligula Cambyses Carthage César Chine chose citoyen civiles connoissance connoître conserver Constantin crimes cruel culte devoient devoit empereurs empire ennemis esclaves état étoient étoit eût événemens factions faisoit falloit foiblesse force Gaules gouvernement Gracques Grèce guerre histoire hommes humaine idées institutions jamais juger Juifs l'autorité l'em l'empire l'état l'his l'histoire l'homme l'humanité législation Lépide liberté loix long-temps Lycurgue Macédoine ment mentation mœurs monarchie Montesquieu morale mort moyens n'avoit n'étoient n'étoit nation nature Néron par-tout passions Perses peuple romain Phéniciens politique pouvoient pouvoir première presque principes public publique puissance qu'un règne religion répu république reste révolutions rois Rome sage Séjan sembloit sénat sentira seroit seul siècles société Solon souverain souveraineté Sparte successivement sur-tout Sylla tenoit terrible Tibère tion toire triomphe trône trouve trouvoit tyrannie vérité vernement verrez vertus vices Vitellius voit vouloit
Popular passages
Page 102 - Lfi pitié nous conduit naturellement au grand précepte de ne pas faire aux autres ce que nous ne voudrions pas qu'on nous fît...
Page 96 - Un tel être pouvait à tous les instants oublier son Créateur ; Dieu l'a rappelé à lui par les lois de la religion. Un tel être pouvait à tous les instants s'oublier lui-même ; les philosophes l'ont averti par les lois de la morale. Fait pour vivre dans la société, il y pouvait oublier les autres ; les législateurs l'ont rendu à ses devoirs par les lois politiques et civiles.
Page 147 - Si la vie et la mort de Socrate sont celles d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont celles d'un Dieu.
Page 106 - Ik redeviennent égaux par la loi, c'est-à-dire qu'elle donne à tous un droit égal à sa protection ; mais cette protection même n'est autre chose que le maintien des inégalités que la société établit.
Page 261 - Il ne fut pas exécuté par des moyens légaux, parce qu'eux-mêmes avaient rendu ces moyens impossibles, parce qu'en troublant la société, ils s'étaient mis en état de guerre. Vous trouverez quelques écrivains qui ont reproché au sénat la mort des Gracques comme is ils ont reproché à Cicéron la mort des conjurés de Catilina, à Henri m celle des Guises.
Page 26 - ... y doit vivre. Il écrit de sa propre main, sur deux tables qu'il donne à Moïse au haut du mont Sinaï , le fondement de cette loi, c'est-àdire le décalogue, ou les dix commandements qui contiennent les premiers principes du culte de Dieu et de la société humaine.
Page 351 - Pendant que les divers états de l'Europe » semblent successivement condamnés à toutes » les vicissitudes humaines, il est curieux de voir » un peuple riche de la fertilité de son sol , de la » beauté de son climat, de l'immensité de sa » population , suivre ses plus anciennes lois , M concentrer ses révolutions sur quelques indi
Page 312 - A voir avec quelle rage, quel acharnement ils s'attaquent, ils s'assassinent, ils se dépouillent les uns les autres, on dirait que le monde opprimé les a chargés de solder eux-mêmes le compte de sa vengeance, et qu'ils ne peuvent trop s'empresser d'en acquitter le débet.
Page 262 - ... qu'il eût pu arrêter; mais il en fait une bien plus grande, si, appliquant encore les principes de la société à ce qui les renverse , il n'exécute pas la première des lois , salus populi.
Page 288 - ... la réconciliation du ciel et de la terre ne se consommerait que par le sang humain, que par le sacrifice de l'humanité entière. La perversité humaine s'est long-temps méprise sur ce sacrifice. Mais il s'est enfin opéré dans lamort de l'homm eDieu qui représentait tous les hommes.