Bibliothèque historique: ou, Recueil de matériaux pour servir à l'histoire du temps, Volume 6Delaunay, Pélicier, Eymery, 1819 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 42
Page 24
... n'était d'aucune utilité , et qu'il arriverait toujours assez à temps s'il était nécessaire qu'il parût . Tout en faisant ces réflexions qui ne laissaient pas de me donner de l'humeur , je m'approchai d'une grande ordonnance en date du ...
... n'était d'aucune utilité , et qu'il arriverait toujours assez à temps s'il était nécessaire qu'il parût . Tout en faisant ces réflexions qui ne laissaient pas de me donner de l'humeur , je m'approchai d'une grande ordonnance en date du ...
Page 27
... n'était qu'un moyen de dégui- ser son refus ; c'était joindre l'ironie au déni de justice . Car , enfin , voilà le pétitionnaire renvoyé , pour avoir droit , devant celui - là même avec lequel il est en contes tation . Voilà le maire de ...
... n'était qu'un moyen de dégui- ser son refus ; c'était joindre l'ironie au déni de justice . Car , enfin , voilà le pétitionnaire renvoyé , pour avoir droit , devant celui - là même avec lequel il est en contes tation . Voilà le maire de ...
Page 60
... n'était pas seulement comme au temps de Sylla , avec la tête d'un parent ou d'un ami qu'ils sollicitaient des ré- compenses ; plus criminels encore que les proscripteurs de cette horrible époque , c'était le sang de la France entière ...
... n'était pas seulement comme au temps de Sylla , avec la tête d'un parent ou d'un ami qu'ils sollicitaient des ré- compenses ; plus criminels encore que les proscripteurs de cette horrible époque , c'était le sang de la France entière ...
Page 65
... n'était point permis , chez les peuples libres , de porter les armes en temps de paix : la patrie ne reconnaît pour ses enfants que ceux qui versent leur sang pour elle . Il n'y avait , certes , pas plus de patriotisme sous Louis XV qu ...
... n'était point permis , chez les peuples libres , de porter les armes en temps de paix : la patrie ne reconnaît pour ses enfants que ceux qui versent leur sang pour elle . Il n'y avait , certes , pas plus de patriotisme sous Louis XV qu ...
Page 90
... n'était que prévenu , de lui donner une torture préalable ; et lorsqu'ils l'avaient condamné , et avant qu'il fût exécuté , de lui donner une torture définitive . Or , dans cette double espèce de torture , on s'appliquait à faire ...
... n'était que prévenu , de lui donner une torture préalable ; et lorsqu'ils l'avaient condamné , et avant qu'il fût exécuté , de lui donner une torture définitive . Or , dans cette double espèce de torture , on s'appliquait à faire ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
12 septembre 22 juillet accusés armée armes arrêté avaient avez avons Barthélemy Bordeaux cachots capitaine rapporteur carabine de chasse César et Constantin César Faucher Chambre des pairs cher citoyens civile commandant commissaire comte concierge condamnés conseil de guerre Constantin Faucher cour crime cris Decaze déclare défense demande département devant domicile doute drapeau blanc écrit ennemis fédérés fonctions force fort du Hâ frères Faucher garde nationale gardes royaux gendarmerie général Clauzel généraux de brigade généraux Faucher Gironde gouvernement guichetier heures hommes j'ai jour journaux jugement juillet justice l'armée l'autorité l'honneur l'ordre lettre lois long-temps Mademoiselle Anaïs FAUCHER magistrat maison Martignac Mémorial Bordelais ment messieurs militaire ministre monsieur le maire monsieur le procureur moyens officiers ordonnance ordre paille patrie personnes Peyrusse police porte préfet présent prison procès-verbal procureur général public publique réaction régie Réole sentiments septembre 1815 serait seul sieur Albert soldats sommes sous-préfet sur-le-champ tion tribunal Verduzan
Popular passages
Page 406 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 407 - Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil, et dit: Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis" Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 48 - Quand je pense à l'ignorance profonde dans laquelle le clergé grec plongea les laïques, je ne puis m'empêcher de le comparer à ces Scythes dont parle Hérodote ', qui crevaient les yeux à leurs esclaves, afin que rien ne pût les distraire et les empêcher de battre leur lait.
Page 227 - ... j'entends un enseignement complet dont les matières n'aient pas été précisément celles sur lesquelles roule aujourd'hui la philosophie de nos colléges, et même un enseignement bien plus étendu et plus relevé que le nôtre ? Je défie qui que ce soit de trouver à cela une seule exception; il n'y en a point et il ne peut y en avoir. C'est que l'enseignement philosophique possède deux qualités qui le rendent indispensable : il est, pour l'esprit, la meilleure gymnastique connue , et...
Page 408 - L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 119 - ... indigne servante de Jésus, prends mon aimable Jésus pour mon époux, et lui promets fidélité et que je n'en aurai jamais. d'autre que lui, et lui donne pour gage de ma fidélité mon cœur et tout ce que je ferai jamais, m'obligeant à la vie et à la mort de faire toul ce qu'il désirera de moi, et de le servir de tout mon cœur pendant toute l'éternité.
Page 407 - Le Lion tint conseil, et dit: 'Mes chers amis, Je crois que le Ciel a permis Pour nos péchés cette infortune. Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux; Peut-être il obtiendra la guérison commune. L'histoire nous apprend qu'en de tels accidents On fait de pareils dévouements.
Page 346 - ... la guerre civile et d'armer les citoyens les uns contre les autres, en réunissant dans leur domicile des gens armés qui y faisaient un service militaire , et qui criaient qui vive...
Page 402 - Exterminez , grands dieux , de la terre où nous sommes , Quiconque avec plaisir répand le sang des hommes ! SÉIDE.
Page 159 - Ainsi donc , par forme de supplément à tous les sacrifices qu'on leur impose , les citoyens paisibles sont condamnés à voir dans les rues , dans les promenades , dans tous les lieux publics , des satellites en armes, qui peuvent impunément frapper le premier individu qui leur déplaît! 'Jamais le code de la conquête n'a rien offert de plus barbare et de plus révoltant. Jamais nation civilisée n'a été outragée d'une manière plus Humiliante et plus cruelle. Les...