...publics. Les Grands qui les dédaignoient , les révèrent , heureux s'ils deviennent leurs gendres. Si je compare ensemble les deux conditions des hommes...veux dire les Grands avec le Peuple , ce dernier me paroît content du nécessaire , et les autres sont inquiets et pauvres avec le superflu. Un homme...

...publies. Les grands qui les dédnignoient , les révèrent, heureux s'ils deviennent leurs gendres. Si je compare ensemble les deux conditions des hommes...veux dire les grands avec le peuple, ce dernier me paroit content du nécessaire , et les autres sont inquiets et pauvres avec le superflu. Un homme du...

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...révèrent, heureux s'ils deviennent leurs gendres; 4 Si je compare ensemble les deux conditions dei hommes les plus opposées, je veux dire les grands avec le peuple, ce dernier me paroit content da necessaire, et les autres sont inquiets et pauvres avec le superflu. Un homme du...

...publics. Les grands qui les dédaignaient, les révèrent , heureux s'ils deviennent leurs gendres. plus opposées , je veux dire les grands avec le peuple,...inquiets et pauvres avec le superflu. Un homme du peuple ne saurait faire aucun ma! ; un grand ne veut faire aucun bien , et est capable de grands maux : l'un...

...«Si je compare ensemble, dit-il, les deux conditions des i- hommes les plus opposées, les grands et le peuple, ce "dernier me paraît content du nécessaire,...autres sont » inquiets et pauvres avec le superflu : l'un ne se forme et ne «s'exerce que dans les choses qui sont utiles, l'autre ne s'ocncwpe que de...

...ensemble, dit-il, les deux conditions des »hommes les p!us opposées, les grands et le peuple, et? «dernier me paraît content du nécessaire, et les...autres sont » inquiets et pauvres avec le superflu : l'un ne se forme et ne ns'exerce que dans les choses qui sont utiles, l'autre ne s'ocucupe que de...

...ensemble, dit-il, les deux con« ditions des hommes les plus opposées, les grands MÉLAÏIGES. 4 « et le peuple , ce dernier me paraît content du « nécessaire,...autres sont inquiets et pauvres « avec le superflu : l'un ne se forme et ne s'exerce « que dans les choses qui sont utiles, l'autre ne s'oc-. « cupe...

...qui sont aux environs de Reims. » gnoicnt, les révèrent : heureux s'ils deviennent leurs gendres ! Si je compare ensemble les deux conditions des hommes...veux dire les grands avec le peuple, ce dernier me paroît content du nécessaire, et les autres sont inquiets et pauvres avec le superflu. Un homme du...

...publics. Les grands qui les dédaignoient les révèrent : heureux s'ils deviennent leurs gendres ! Si je compare ensemble les deux conditions des hommes...veux dire les grands avec le peuple, ce dernier me paroît content du nécessaire, et les autres sont inquiets et pauvres avec le superflu. Un homme du...