Eléments de littérature, Volume 2Librairie de Firmin-Didot frères, fils et Cie, imprimeurs de l'Institut, 1879 - Literature |
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Page 18
... mort entre presque par tous les sens . >> Dans ce tableau , chaque trait présente une image affligeante , un sentiment pénible ; et rien n'y est rebutant ; et tout y est en- nobli par le choix de l'expression . On demande pourquoi il ...
... mort entre presque par tous les sens . >> Dans ce tableau , chaque trait présente une image affligeante , un sentiment pénible ; et rien n'y est rebutant ; et tout y est en- nobli par le choix de l'expression . On demande pourquoi il ...
Page 21
... mort de son frère ; la chevelure de Bérénice , élégie faible , imitée de Callimaque ; une épître à Mallius , où sa dou- leur , sa reconnaissance et ses amours sont comme entrelacés de l'histoire de Laodamie , avec assez peu d'art et de ...
... mort de son frère ; la chevelure de Bérénice , élégie faible , imitée de Callimaque ; une épître à Mallius , où sa dou- leur , sa reconnaissance et ses amours sont comme entrelacés de l'histoire de Laodamie , avec assez peu d'art et de ...
Page 30
... mort de mademoiselle Lecouvreur sont un modèle encore plus parfait de l'élégie passionnée , et auquel Ti- bulle et Properce même n'ont peut - être rien à opposer . On retrouve quelque faible trace de l'élégie ancienne dans la quatrième ...
... mort de mademoiselle Lecouvreur sont un modèle encore plus parfait de l'élégie passionnée , et auquel Ti- bulle et Properce même n'ont peut - être rien à opposer . On retrouve quelque faible trace de l'élégie ancienne dans la quatrième ...
Page 37
... morts et les vivants se succèdent et se remplacent con- tinuellement : rien ne demeure , tout change , tout s'use , tout s'éteint . Dieu seul est toujours le même , et ses années ne finis- sent point ; le torrent des âges et des siecles ...
... morts et les vivants se succèdent et se remplacent con- tinuellement : rien ne demeure , tout change , tout s'use , tout s'éteint . Dieu seul est toujours le même , et ses années ne finis- sent point ; le torrent des âges et des siecles ...
Page 47
... mort ! s'écriaient les Arabes , éperdus de frayeur d'a- voir vu tomber leur général . Qu'importe que Dérar soit mort ? leur dit Rafi , l'un de leurs capitaines , Dieu est vivant et vous regarde et il les ramène au combat . Mes enfants ...
... mort ! s'écriaient les Arabes , éperdus de frayeur d'a- voir vu tomber leur général . Qu'importe que Dérar soit mort ? leur dit Rafi , l'un de leurs capitaines , Dieu est vivant et vous regarde et il les ramène au combat . Mes enfants ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 87 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide. L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 92 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle ; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants. Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Page 53 - Hélas! ils se voyaient avec pleine licence. Le ciel de leurs soupirs approuvait l'innocence; Ils suivaient sans remords leur penchant amoureux; Tous les jours se levaient clairs et sereins pour eux.
Page 363 - Elle aperçoit Henri, se détourne, et soupire. Auprès d'elle est l'orgueil, qui se plaît et s'admire; La faiblesse au teint pâle, aux regards abattus, Tyran qui cède au crime, et détruit les vertus ; L'ambition sanglante, inquiète, égarée, De trônes, de tombeaux, d'esclaves entourée ; La tendre hypocrisie aux yeux pleins de douceur, (Le ciel est dans ses yeux, l'enfer est dans son cœur;) Le faux zèle étalant ses barbares maximes ; Et l'intérêt enfin, père de tous les crimes.
Page 52 - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.
Page 52 - II me semble déjà que ces murs, que ces voûtes Vont prendre la parole, et, prêts à m'accuser, Attendent mon époux pour le désabuser.
Page 91 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Page 153 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 319 - Couronner tour à tour l'esclave et la princesse ; Immoler Troie aux Grecs , au fils d'Hector la Grèce ! Tout cela part d'un cœur toujours maître de soi D'un héros qui n'est point esclave de sa foi.
Page 217 - Comment est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d'Israël! » A ces cris Jérusalem redoubla ses pleurs ; les voûtes du temple s'ébranlèrent ; le Jourdain se troubla , et tous ses rivages retentirent du son de ces lugubres paroles : « Comment est mort cet homme puissant qui sauvait le peuple d'Israël...