... ce pauvre jeune homme étendu offrant sa gorge découverte , d'une main il prend son couteau, et de l'autre Ah! cousine Il saisit un jambon qui pendait au plancher, en coupe une tranche, et se retire comme il était venu. La porte se referme , la... La Semaine des enfants - Page 2911863Full view - About this book
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...et se retire comme il était venu. La porte se referme , la lampe s'en va , et je reste seul ù mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille,...emporter l'un et manger l'autre. En les voyant je compris enfin le sens de ces terribles mots: faut-il les tuer tous deux ? Et je vous crois , cousine , assez... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...tranche, et se retire comme il était venu. La porte se referme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille,...l'avions recommandé. On apporte à manger, on sert un déjeûner fort propre, fort bon , je vous assure. Deux chapons en faisaient partie, dont il fallait,... | |
| French periodicals - 1828 - 686 pages
...et se retire comme il était venu. La porte se referme , la lampe s'en va , et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut , toute la famille...nous éveiller , comme nous l'avions recommandé. Oi> apporte à manger, on sert un déjeuner fort propre, fort bon t je vous assure. Deux chapons en... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...et se retire comme il était venu. La porte se referme, la lampe s'en va,, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut , toute la famille...l'avions recommandé. On apporte à manger , on sert un déjeûner fort propre, fort bon, je vous assure. Deux chapons en faisaient partie, dont il fallait,... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...et se retire comme il était venu. La porte se referme , la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions.. Dès que le jour parut , toute la famille,...l'un et manger l'autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : faut-il les tuer tous deux ? Et je vous crois, cousine ; assez... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 454 pages
...et se retire comme il était venu. La porte se referme, la lampe s'en va, et je resté seul à mes réflexions. Dès que le jour parut , toute la famille,...l'un et manger l'autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : faut-il les tuer tous deux ? Et je vous crois , cousine , assez... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...tranche, et se retire comme il était venu. La porte se referme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille,...l'un et manger l'autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : " Faut-il les tuer tous deux ? " Et je vous crois, cousine, assez... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...tranche, et se retire comme il était venu. La porte se ferme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille,...emporter l'un et manger l'autre. En les voyant je compris enfin le sens de ces terribles mots : Faut-il les tuer tous deux? et je vous crois, cousine, assez... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...et se retire comme il était verni. La porte se referme, la lampe s'en va, et je reste seul à mes réflexions. Dès que le jour parut, toute la famille...l'un et manger l'autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots: faut-il les tuer tous deux? Et je vous crois, cousine, assez de... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...se retire comme il » était venu. La porte se referme, la lampe s'en » va, et je reste seul à mes réflexions. » Dès que le jour parut, toute la famille,...l'un et manger l'autre. En les voyant, je » compris enfin le sens de ces terribles mots : » faut-il les tuer tous deux? Et je vous crois, » cousine ,... | |
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