L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure,... La Semaine des enfants - Page 2911863Full view - About this book
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes,...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...A En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| French periodicals - 1828 - 686 pages
...corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je mt' trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...vous n'eussiez su si j'élnis mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sons armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je mu trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore !.... Nous deux presque sans armes,...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je rne trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. \u bout d'un... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes,...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 454 pages
...corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes,...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 428 pages
...m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par les fentes... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel! quand j'y pense encore!. . . Nous deux presque sans armes,...n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore !... Nous deux presque sans armes,...du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore! ... Nous deux, presque sans armes, contre eux dou/.e ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort...n'était guère haute , mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais; imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un... | |
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