Third Year in French, Book 3

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American book Company, 1897 - French language - 314 pages

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Page 269 - At church, with meek and unaffected grace, His looks adorn'd the venerable place; Truth from his lips prevail'd with double sway: And fools who came to scoff, remain'd to pray.
Page 269 - La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci. Les vents me sont moins qu'à vous redoutables. Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin.
Page 240 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 269 - The very village was altered ; it was larger and more populous. There were rows of houses which he had never seen before, and those which had been his familiar haunts had disappeared. Strange names were over the doors — strange faces at the windows — everything was strange.
Page 269 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 269 - ... promit à ces gens, pour la dépense et pour nos guides le lendemain, ce qu'ils voulurent. Enfin il parla de sa valise, priant fort qu'on en eût grand soin, qu'on la mît au chevet de son lit; il ne voulait point, disait-il, d'autre traversin. Ah! jeunesse! jeunesse! que votre âge est à plaindre; cousine!
Page 269 - Il s'est assis là! — J'ai faim, dit-il, et BIEN VITE Je sers piquette et pain bis. Puis il sèche ses habits ; Même à dormir le feu l'invite. Au réveil, voyant mes pleurs, Il me dit : Bonne espérance ! Je cours, de tous ses malheurs. Sous Paris, venger la France.
Page 179 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long...
Page 178 - ... élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher qui nous attendait, espèce de nid, dans lequel on s'introduisait 'en rampant sous des solives chargées de provisions pour toute l'année. Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tête sur la précieuse valise; moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand,...
Page 269 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé ! Entendez-vous, dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans nos bras Égorger vos fils, vos compagnes.

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