Dictionnaire historique, littéraire et bibliographique des Françaises et des étrangères naturalisées en Francede l'imprimerie de Gillé, 1804 - 346 pages |
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... naquit , le 22 juillet 1645 , à Lauthecourt ou Leuthecourt , paroisse , de Véroure en Bourgogne . Elle dut le jour à Claude Ala- coque et à Philiberte Lamyn . S'il faut en croire les histo- , riens , sa vie fut un tissu de bizarreries ...
... naquit , le 22 juillet 1645 , à Lauthecourt ou Leuthecourt , paroisse , de Véroure en Bourgogne . Elle dut le jour à Claude Ala- coque et à Philiberte Lamyn . S'il faut en croire les histo- , riens , sa vie fut un tissu de bizarreries ...
Page 7
... naquit à Padoue en 1562 . Elle dut la vie à des parens honnêtes . L'amour lui fit épouser Pierre - François Andreini , poëte et comédien . Depuis quelques années elle brillait sur les théâtres ita- liens , lorsque la cour de France la ...
... naquit à Padoue en 1562 . Elle dut la vie à des parens honnêtes . L'amour lui fit épouser Pierre - François Andreini , poëte et comédien . Depuis quelques années elle brillait sur les théâtres ita- liens , lorsque la cour de France la ...
Page 10
... naquit à Nantes , le 26 janvier 1476. Elle n'avait que cinq ans lorsqu'elle fut promise à Édouard , prince de Galles , fils aîné d'Edouard IV , roi d'Angleterre ; máis , deux ans après cette promesse de mariage , la mort mois- sonna les ...
... naquit à Nantes , le 26 janvier 1476. Elle n'avait que cinq ans lorsqu'elle fut promise à Édouard , prince de Galles , fils aîné d'Edouard IV , roi d'Angleterre ; máis , deux ans après cette promesse de mariage , la mort mois- sonna les ...
Page 18
... naquit en 1624. Elle entra , dès l'âge de six ans , au monastère de Port - Royal . Ses tantes prirent soin de son éducation , et lui inspirèrent les heureuses qualités dont elles étaient douées . Elle s'énonçait et écrivait avec ...
... naquit en 1624. Elle entra , dès l'âge de six ans , au monastère de Port - Royal . Ses tantes prirent soin de son éducation , et lui inspirèrent les heureuses qualités dont elles étaient douées . Elle s'énonçait et écrivait avec ...
Page 19
... naquit à Montauban en 1755. Son éducation fut extrêmement né- gligée ; mais la nature la doua d'un esprit facile et d'une imagination ardente . Sa beauté et ses succès dans la car- rière des lettres , la placèrent parmi les femmes les ...
... naquit à Montauban en 1755. Son éducation fut extrêmement né- gligée ; mais la nature la doua d'un esprit facile et d'une imagination ardente . Sa beauté et ses succès dans la car- rière des lettres , la placèrent parmi les femmes les ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 74 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Page 189 - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Page 164 - Les dames illustres, où, par bonnes et fortes raisons , il se prouve que le sexe féminin surpasse , en toutes sortes de genres , le sexe masculin, in- 12, Paris, 1673, dédié à mademoiselle d'Alençon.
Page 300 - Nanteuil , en faisant mon image , A de son art divin signalé le pouvoir ; Je hais mes traits dans mon miroir , Je les aime dans son ouvrage.
Page 307 - Le faux est toujours fade, ennuyeux, languissant; Mais la nature est vraie , et d'abord on la sent : C'est elle seule en tout qu'on admire et qu'on aime.
Page 215 - J'en sais une chérie et du monde et de Dieu, Humble dans les grandeurs, sage dans la fortune, Qui gémit, comme Esther, de sa gloire importune, Que le vice lui-même est contraint d'estimer.
Page x - Qui me charme toujours et jamais ne me lasse. De l'aimable vertu doux et puissants attraits! Tout respire en Esther l'innocence et la paix : Du chagrin le plus noir elle écarte les ombres, Et fait des jours sereins de mes jours les plus sombres.
Page 45 - Frères de lait, comédie en un acte et en prose, représentée pour la première fois, par les Comédiens Italiens Ordinaires du Roi le mardi 7 septembre 1784.
Page 287 - Nous étions tous attentifs autour d'elle dans une espèce d'admiration et de stupeur. Sa conversation était sérieuse sans être froide; elle s'exprimait. avec une pureté , un nombre et une prosodie , qui faisaient de son langage une espèce de musique dont l'oreille n'était jamais rassasiée. Elle ne parlait jamais des députés qui venaient de périr, qu'avec respect , mais sans pitié efféminée , et leur reprochant même de n'avoir pas pris des mesures assez fortes.
Page 213 - Son esprit n'emploie ni tours ni figures, ni rien de tout ce qui s'appelle invention. Frappé vivement des objets , il les rend comme la glace d'un miroir les réfléchit , sans ajouter, sans omettre, sans rien changer.