Œuvres complètes de Voltaire, Volume 12la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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... fans maître & fans valets . C'eft affurément la vraie destinée de l'homme ; il n'a des maîtres que depuis qu'il eft perverti . Nul homme n'était fait pour fervir conti- nuellement un autre homme . Chacun aurait chari- tablement aidé fon ...
... fans maître & fans valets . C'eft affurément la vraie destinée de l'homme ; il n'a des maîtres que depuis qu'il eft perverti . Nul homme n'était fait pour fervir conti- nuellement un autre homme . Chacun aurait chari- tablement aidé fon ...
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... fans difficulté , & que personne ne pouvait coucher avec elle que quand il n'en voudrait plus . Le géant étant mort , fon fils , qui n'était pas à beaucoup près fi fort ni fi grand que lui , crut cependant être géant comme fon père de ...
... fans difficulté , & que personne ne pouvait coucher avec elle que quand il n'en voudrait plus . Le géant étant mort , fon fils , qui n'était pas à beaucoup près fi fort ni fi grand que lui , crut cependant être géant comme fon père de ...
Page 11
... fans cela ferait d'un jaune grifâtre , fèche & ridée comme un vieux parchemin . LA PRINCESS E. Hé bien , Monfieur , le roi vous paye pour me faire tout cela ; ne manquez pas de mettre toute chose à leur place , & de me faire circuler ...
... fans cela ferait d'un jaune grifâtre , fèche & ridée comme un vieux parchemin . LA PRINCESS E. Hé bien , Monfieur , le roi vous paye pour me faire tout cela ; ne manquez pas de mettre toute chose à leur place , & de me faire circuler ...
Page 12
... fans pouvoir vous en substituer une qui tienne , quelques charlatans qu'ils puiffent être . LA PRINCESS E. Vous me faites trembler . Je croyais que les méde- cins guériffaient tous les maux . LE MÉDECIN . Nous guériffons infailliblement ...
... fans pouvoir vous en substituer une qui tienne , quelques charlatans qu'ils puiffent être . LA PRINCESS E. Vous me faites trembler . Je croyais que les méde- cins guériffaient tous les maux . LE MÉDECIN . Nous guériffons infailliblement ...
Page 33
... fans le toucher ; que fon corps avait l'odeur d'un pain cuit ; mais qu'ayant résisté au feu , il ne put fe défendre d'un coup de fabre ; que fon fang éteignit le bûcher , & qu'il en fortit une colombe qui s'envola droit au ciel . On ne ...
... fans le toucher ; que fon corps avait l'odeur d'un pain cuit ; mais qu'ayant résisté au feu , il ne put fe défendre d'un coup de fabre ; que fon fang éteignit le bûcher , & qu'il en fortit une colombe qui s'envola droit au ciel . On ne ...
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abfurde affez affure ainfi auffi avaient c'eft c'eſt caufe célefte cents ans chap chofes choſe chrétiens Cicéron ciel compofé déferts diable DIEU difait difent difpute divin efprit enfans enfuite eſpèce eſt évêque exifte fage faint fang fans favans favant favoir fe trouve fecond fecret fefait felon femble fens fentiment fept ferait fervir feul fiècle foient foit foixante foleil fommes font fous fouvent fuis fuivant fujets fuppofe furtout genre-humain hiftoire hommes impoffible jamais jéfuite JESUS JESUS-CHRIST jufqu'à Juifs l'efprit l'Eglife l'hiftoire laiffe livre long-temps Louis XIV médecin Meffie mille millions miracles Moïfe monde monftres n'eft n'eſt n'était naiffance nation nature néceffaire Newton oracles Ovide paffage paffé parlement péché originel penfer Pentateuque père perfonne peuple philofophes Pierre Jurieu plaifir Platon plufieurs poffède poffible prefque prêtres prophète puiffance puiffe qu'un raifon refpectable refte religion rien rois Romains Rome s'eft SECTION ſes terre voifins Zoroastre