| René Descartes - 1824 - 524 pages
...étoient : comme je voyois que le doute, l'inconstance, la tristesse , et choses semblables, n'y pouvoient être , vu que j'eusse été moi-même bien aise d'en être exempt. Puis, outre cela, j'avois des idées de plusieurs choses sensibles et corporelles ; car , quoique je supposasse que je... | |
| René Descartes - 1824 - 518 pages
...étoient : comme je voyois que le doute, l'inconstance, la tristesse, et choses semblables, n'y pouvoient être , vu que j'eusse été moi-même bien aise d'en être exempt. Puis, outre cela, j'avois des idées de plusieurs choses sensibles et corporelles ; car , quoique je supposasse que je... | |
| Louis Auguste Jean Francois Philippe Gruyer - Philosophy - 1832 - 424 pages
...étoient : comme je voyoisque le doute, l'inconstance, la tristesse, et choses semblables, n'y pouvoient être, vu que j'eusse été moi-même bien aise d'en être exempt. Puis, outre cela, j'avois des idées de plusieurs choses sensibles et corporelles; car, quoique je supposasse que je... | |
| René Descartes - Philosophy - 1835 - 656 pages
...habet tantum esse quoddam objectivum in intellectu. * l'inconstance, la tristesse et choses semblables, n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même...rêvais et que tout ce que je voyais ou imaginais élait faux, je ne pouvais nier toutefois que les idées n'en fussent véritablement en ma pensée.... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...objectivum in intellectu. > » Voyez ibid., a"' 15-19. l'inconstance, la tristesse et choses semblables, n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même...rêvais et que tout ce que je voyais ou imaginais élait faux, je ne pouvais nier toutefois que les idées n'en fussent véritablement en ma pensée.... | |
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...autres y étaient : comme je voyais que le doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moi-même...quoique je supposasse que je rêvais et que tout ce que voyais ou imaginais était faux , je ne pouvais nier toutefois que les idées n'en fussent véritablement... | |
| Charles François Chevé - 1853 - 732 pages
...tristesse et choses semblables, n'y pouvaient ôtre, vu que j'eusse été moi-môme bien aise d'en ôtre exempt. Puis outre cela j'avais des idées de plusieurs...et corporelles; car, quoique je supposasse que je rôvais et que tout ce queje voyais ou imaginais était faux, je ne pouvais nier toutefois que les... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1863 - 108 pages
...les autres y étaient; comme je voyais que le doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvaient être, vu que j'eusse été moimême...que tout ce que je voyais ou imaginais était faux, JH ne pouvais nier toutefois que les idées n'en fussent véritablement en ma pensée. Mais pour ce... | |
| René Descartes - Philosophy - 1865 - 466 pages
...étoient : comme je voyois que le doute, l'inconstance, la tristesse et choses semblables n'y pouvoient être, vu que j'eusse été moi-même bien aise d'en être exempt. Puis, outre cela, j'avois des idées de plusieurs choses sensibles et corporelles ; car, quoique je supposasse que je... | |
| René Descartes - Philosophy - 1876 - 466 pages
...étoient : cqmineje_voyois que le doute, l'inconstartce, la tristesse etjshoses semblables n'y pouvoient être, vu que j'eusse été moi-même bien aise d'en être exempt. Puis> V outre cela, j'avois des idées de plusieurs choses sensibles et corporelles ; car, quoique je supposasse... | |
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