Elémens des sciences naturelles, Volume 1 |
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Common terms and phrases
abdomen acides ailes alimens alongé animaux annelides antennes aplati appelle arbres arrondi articulés bles bouche branchies calice capsule cavité chenille classe coléoptères composé connoit coquilles corne corolle corps corselet cotylédons couleur courtes crustacés d'autres d'insectes dents distincts divisions doigts drupe écailles Égypte élytres épillets espèces étamines famille femelle feuilles fleurs fluide forme fruits garnie gastropodes genres graines hermaphrodites humeur ibid incisives insectes jaune l'aide l'air l'animal l'eau l'espèce lames laniaires larves liliacées liquide mâchoires mâles mammifères matière membrane ment métaux mollusques mouvemens museau n'ont nageoires nombre nomme nourrissent œufs oiseaux ongles opercules ordinairement organes osseux ovaire paroissent paroit passereaux pattes peau pèces périgone pétales petits pistil plantes plupart poils poissons pondent presque principalement quatre quelquefois queue racines reptiles réunis semences serpens sert servent seule solides sorte souvent substance surface tantôt tarses terre tête tige tion très-grand tronc trouve tube végétaux ventre vertèbres vivans vivent
Popular passages
Page 270 - Deux kilogrammes et demi de ce duvet, bien serré et ramassé en une boule qui n'est guère plus grosse que les deux poings, peuvent, lorsqu'on les laisse libres dans un four ou dans une étuve bien échauffée, occuper un espace deux mille...
Page 200 - ... traire, et pour en obtenir un aliment assuré dans les temps de disette, comme nous tenons en domesticité nos vaches, nos chèvres, nos brebis. Ces mulets nourrissent eux-mêmes toutes les larves, celles des mâles, des femelles et des neutres; ils les protègent aussi sous la forme de nymphes, et pendant tout le temps que ces individus peuvent être utiles et nécessaires à la société. Enfin ils constituent, comme nous l'avons dit, de véritables républiques, où tout est mis en commun,...
Page 197 - ... qués sur le premier article de ses tarses postérieurs. » Ainsi chargée de butin , elle s'envole vers la ruche. » A peine arrivée vers la demeure commune , ses » camarades la déchargent , et mangent même sur » ses pattes la matière recueillie avec tant de peine; » mais ce n'esl qu'une sorte d'emprunt qui tourne
Page 178 - ... ou pédicule, comme dans les guêpes, les sphéges. L'extrémité libre de l'abdomen est le plus souvent percée par l'anus. Le dernier anneau varie beaucoup pour la forme : car souvent il est disposé de manière à favoriser le rapprochement des sexes , ou à faciliter la ponte ou l'introduction des œufs dans les matières qui doivent les recevoir ; souvent encore il est organisé de manière à devenir une arme d'offense ou de défense.
Page 198 - Toutes sont destinées à recevoir d'abord les œufs » que doit pondre la femelle , qui ne travaille » point , et pai' suite les provisions d'hiver ou le
Page 197 - ... l'appliquer sur toutes les « fentes et les issues , de manière à n'en laisser « qu'une seule par laquelle toute communication « au dehors doit se faire. « Pendant qu'une partie des neutres est em...
Page 198 - ... plus succulente et en plus grande quantité. Aussitôt qu'une femelle est née, elle se hâte d'aller détruire les nymphes de son sexe. Si deux femelles éclosent en même temps, elles se livrent un combat opiniâtre, qui ne finit que par la mort ou l'expulsion de l'une d'elles.
Page 43 - La magnésie semble lier, par ses propriétés , les terres avec les alcalis. On ne la trouve pas pure naturellement; le plus souvent on l'extrait des sels dans lesquels elle est combinée, et qui, pour la plupart, sont solubles dans l'eau. On la précipite de ces dissolutions , en offrant à l'acide une...
Page 94 - ... l'ovaire est unique , libre , souvent entouré à sa base de deux petites écailles analogues a une corolle, et surmonté d'un ïtyle simple presque toujours fendu en deux stigmates plumeux. Le fruit est un cariopse nu ou recouvert par la balle : l'embryon est petit, attaché à la base d'un périsperme farineux , plus gros que lui, etc.
Page 198 - La femelle dépose dans chaque cellule un œuf qui produit, deux ou trois jours après , une petite larve blanche et sans pattes, à laquelle des neutres s'empressent de présenter une liqueur qu'ils dégorgent près de sa bouche. Cette larve a acquis tout son développement au bout de cinq à six jours. Alors elle se file une coque pour se métamorphoser, et ses nourrices closent sa cellule avec un petit couvercle de cire très-mince.