A New Method of Learning the French Language: Embracing Both the Analytic and Synthetic Modes of Instruction

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American Books Company, 1860 - French language - 508 pages
 

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Popular passages

Page 490 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc. Quoi ! ces cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers...
Page 68 - Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze, Treize, quatorze, quinze, seize, dix-sept, dix-huit, dix-neuf, vingt.
Page 484 - On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance ; Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil. On dit que c'est toi qui fais naître Les petits oiseaux dans les champs, Et qui donnes aux petits enfants, Une âme aussi pour te connaître.
Page 490 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre...
Page 479 - ... toute leur science sur vos plafonds et sur vos lambris ; tracez-y de vastes et de délicieux jardins, dont l'enchantement soit tel qu'ils ne paraissent pas faits de la main des hommes ; épuisez vos trésors et votre industrie sur cet ouvrage incomparable ; et après que vous y aurez mis, Zénobie, la dernière main, quelqu'un de ces pâtres qui habitent les sables voisins de Palmyre, devenu riche par les péages de vos rivières, achètera...
Page 490 - Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Page 486 - L'orage a brisé le chêne Qui seul était mon soutien ; De son inconstante haleine Le zéphyr ou l'aquilon Depuis ce jour me promène De la forêt à la plaine, De la montagne au vallon . Je vais où le vent me mène; Sans me plaindre ou m'effrayer ; Je vais où va toute chose, Où va la feuille de rose, Et la feuille de laurier.
Page 485 - Donne au malade la santé, Au mendiant le pain qu'il pleure, A l'orphelin une demeure , Au prisonnier la liberté. Donne une famille nombreuse Au père qui craint le Seigneur, Donne à moi sagesse et bonheur, Pour que ma mère soit heureuse!
Page 487 - Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau, Si beau? Oh ! qui me rendra mon Hélène, Et ma montagne, et le grand chêne? Leur souvenir fait tous les jours Ma peine: Mon pays sera mes amours Toujours!
Page 267 - Quel carnage de toutes parts ! On égorge à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur, et le frère, Et la fille, et la mère, Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés, que de membres épars, Privés de sépulture ! Grand Dieu ! tes saints sont la pâture Des tigres et des léopards.

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