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Académie anciens Anne de Beaujeu anode artiste arts avaient belle belles-lettres Burnouf c'était Caen Calvados caudex chant chanteur Charles VII Choron chose Cicéron cœur collège composition Corneille cyanure devait Dieu école écrit écrivain édit élèves Eloge époque esprit études eût Fontenelle général génie gloire goût grammaire Guillaume de Lamoignon heureux homme idées j'ai jamais jeune jour judiciaire juge justice l'abbé Trublet l'acier l'art l'auteur l'esprit latin lettres littérature livre lois long-temps Louis Servin Louis XI lui-même lumière magistrat maître mémoire ment mérite méthode morale mort musicale musique n'avait n'était noble Normandie OEuvres œuvres musicales ouvrages Palestrina parlement parole pensée père peuple philosophie poésie poëte politique pouvait premier président presque principe professeur public publique qu'un quelquefois racines raison reste Rouen royale Salomon de Caus savant sciences semble sentiment serait Servin seul siècle Société sorte souvent succès sujet talent théorie Thomas Corneille tion traité travail trouver TRUBLET Vacquerie voix Voltaire
Popular passages
Page 318 - Elle a été un grand élan de liberté de l'esprit humain, un besoin nouveau de penser, de juger librement, pour son compte, avec ses seules forces, des faits et des idées que jusque-là l'Europe recevait ou était tenue de recevoir des mains de l'autorité. C'est une grande tentative d'affranchissement de la pensée humaine ; et, pour appeler les choses par leur nom, une insurrection de l'esprit humain contre le pouvoir absolu dans l'ordre spirituel.
Page 286 - Nous nous rassemblions avec un extrême plaisir , jeunes, pleins de la première ardeur de savoir, fort unis , et ce que nous ne comptions peut-être pas alors pour un assez grand bien , peu connus.
Page 224 - ... du christianisme. Ce n'est pas qu'on ne puisse assez raisonnablement les tenir toutes deux séparées , et pour prévenir tous les troubles , régler les limites des deux empires : mais il vaut encore mieux réconcilier les puissances , et les amener à une paix sincère.
Page 113 - Quand les rois ou les " princes n'ont regard à la loi, en ce faisant, ils " font leur peuple serf, et perdent le nom de " roi; car nul ne doit être appelé roi fors celui " qui règne et seigneurie sur les Francs. Les " Francs de nature aiment leur seigneur ; mais " les serfs naturellement haïssent comme les es
Page 229 - Quelquefois les caractères de Corneille ont quelque chose de {/ faux à force d'être nobles et singuliers. Souvent ceux de Racine ont quelque chose de bas, à force d'être naturels.
Page 275 - J'ai eu souvent occasion de remarquer que, dans tout ce qu'on lui contait ou disait, il attendait toujours l'épigramme. Insensible à tout autre genre de beauté, tout ce qui ne finissait pas par un tour d'esprit était nul pour lui.
Page 534 - Académie des sciences , agriculture, commerce, belles-lettres et arts du département de la Somme : Mémoires de 1' — — Société des antiquaires de la Picardie : Mémoires de la — — Société impériale d'émulation d'Abbeville : Mémoires de la — Tarn-et-Garonne.
Page 241 - Celui qui veut être heureux se réduit et se resserre autant qu'il est possible. Il a ces deux caractères, il change peu de place, et en tient peu.
Page 143 - Ces maximes que nous rencontrons sans cesse dans les histoires modernes, et qui, de violation en violation, ont cependant passé jusqu'à nous : « Nulle taxe n'est » légitime, si elle n'est consentie par celui qui doit » la payer; — nul n'est tenu d'obéir aux lois qu'il » n'a pas consenties; » ces maximes, dis-je, appartiennent à l'époque féodale; non que la féodalité les ait inventées et introduites dans le monde ( elles y étaient bien avant elle, elles font partie de ce trésor...
Page 269 - J'ai pris cette idée d'autant plus aisément, qu'il fallait en quelque sorte disputer contre lui, et les matières que j'avais en main, étant le plus souvent assez susceptibles de ridicule, m'ont invité à une manière d'écrire fort éloignée du sublime. Il me semble qu'il ne faudrait donner dans le sublime qu'à son corps défendant; il est si peu naturel ! J'avoue que le style bas est encore quelque chose de pis ; mais il ya un milieu et même plusieurs : c'est ce qui fait l'embarras : on...