L'Echo de la France, Volumes 1-2L. Ricard., 1866 |
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... saint , de vénéré dans le monde . La justice , le dévouement , la pudeur , furent proclamés des mots sans au- cune signification , qu'il était temps d'apprécier à leur véritable valeur . Le croyant , honni de tous , passait pour un ...
... saint , de vénéré dans le monde . La justice , le dévouement , la pudeur , furent proclamés des mots sans au- cune signification , qu'il était temps d'apprécier à leur véritable valeur . Le croyant , honni de tous , passait pour un ...
Page 24
... saint mendiant , baiser avec amour ses pauvres haillons ? Non , il n'est pas vrai que la femme soit presque toujours amenée à la déchéance par la faim . L'oisiveté , un goû excessif pour le luxe , le frénétique amour du plaisir , l ...
... saint mendiant , baiser avec amour ses pauvres haillons ? Non , il n'est pas vrai que la femme soit presque toujours amenée à la déchéance par la faim . L'oisiveté , un goû excessif pour le luxe , le frénétique amour du plaisir , l ...
Page 36
... saint - simonisme qui commença par être une religion , et finit par se constituer en système philosophique . La doctrine des disciples de Saint - Simon ne doit pas être envisagée isolément ; elle est une de phases du panthéisme , dont ...
... saint - simonisme qui commença par être une religion , et finit par se constituer en système philosophique . La doctrine des disciples de Saint - Simon ne doit pas être envisagée isolément ; elle est une de phases du panthéisme , dont ...
Page 40
... saint ; plus de paradoxes , plus d'hypothèses . C'est la bonne foi , la franchise l'impartialité qui président aux consciencieux travaux de la science moderne . Sans doute nous ne disons pas que notre siècle soit pleinement catholique ...
... saint ; plus de paradoxes , plus d'hypothèses . C'est la bonne foi , la franchise l'impartialité qui président aux consciencieux travaux de la science moderne . Sans doute nous ne disons pas que notre siècle soit pleinement catholique ...
Page 48
... Saint - Pol , Deux joyeux campagnards chemi- naient côte à côte ; Ce qu'ils disaient des blés , à pieds joints je le saute , Pour crayonner la fin que j'ai sur- prise au vol . Avez - vous , père Labrosse , Tâté des chemins de fer ? Dame ...
... Saint - Pol , Deux joyeux campagnards chemi- naient côte à côte ; Ce qu'ils disaient des blés , à pieds joints je le saute , Pour crayonner la fin que j'ai sur- prise au vol . Avez - vous , père Labrosse , Tâté des chemins de fer ? Dame ...
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Common terms and phrases
Alice âme Avocat Aylimer barreau BASAN beau Beauvoisin Belgique belle bonheur Breuil c'était catholique cause chante Charles Bell CHARVET chat Chatenet cher chose chrétienne cœur dant devant Dieu dire dit-il divine donner douleur doute écr enfants esprit eût femme Fénians force Frédéric gens GOUJUT Henri heures homme humaine idées intel Irlande j'ai jamais Jeanne jeune fille jour justice l'âme l'Autriche l'esprit l'homme l'in Laeken laisser Lamennais liberté lord lord Palmerston LOUIS RICARD lumière madame main mari ment mère Michel Scot mière monde mont Nebo Montréal morale mort n'avait panthéisme parler parole passer Paul pays pensée père personne peuple philosophie poëte politique pré premier principes Prusse qu'un question raison rait regard reste reux rien Rome Rose s'écria saint science semble sentiment serait seul siècle sion sorte teur tion trichine trouve Valen Valentine Vercingétorix vérité Victor Hugo voilà voix vrai whist yeux
Popular passages
Page 24 - Tant qu'il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d'une fatalité humaine la destinée qui...
Page 88 - Mais, sur toute chose, ce qui me plaît en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveuglément aux opinions de nos anciens, et que jamais il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle, touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine.
Page 73 - C'est contre cette autorité que les libertins se révoltent avec un air de mépris. Mais qu'ont-ils vu ces rares génies? qu'ont-ils vu plus que les autres? Quelle ignorance est la leur ! et qu'il serait aisé de les confondre, si, faibles et présomptueux, ils ne craignaient d'être instruits? Car pensent-ils avoir mieux vu les difficultés à cause qu'ils y succombent, et que les autres, qui les ont vues, les ont méprisées? Ils n'ont rien vu ; ils n'entendent rien, ils n'ont pas même de quoi...
Page 371 - C'est à vous que je parle , ma sœur. Le moindre solécisme en parla'nt vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile , Et laisser la science aux docteurs de la ville...
Page 73 - Leur raison qu'ils prennent pour guide ne présente à leur esprit que des conjectures et des embarras. Les absurdités où ils tombent en niant la religion deviennent plus insoutenables que les vérités dont la hauteur les étonne ; et pour ne vouloir pas croire des mystères incompréhensibles, ils suivent, l'une après l'autre, d'incompréhensibles erreurs.
Page 53 - Dieu se trouve contenue) par la même faculté par laquelle je me conçois moi-même; c'est-à-dire que lorsque je fais réflexion sur moi, non seulement je connais que je suis une chose imparfaite, incomplète, et dépendante d'autrui, qui tend et qui aspire sans cesse à quelque chose de meilleur et de plus grand que je ne suis...
Page 57 - Il ya un soleil des esprits , qui les éclaire tous beaucoup mieux que le soleil visible n'éclaire les corps : ce soleil des esprits nous donne tout ensemble et sa lumière et l'amour de sa lumière pour la chercher. Ce soleil de vérité ne laisse aucune ombre, et il luit en même temps dans les deux hémisphères : il brille autant sur nous la nuit que le jour : ce n'est point au dehors qu'il répand ses rayons : il habite en chacun de nous.
Page 242 - Ces vérités éternelles que nos idées représentent sont le vrai objet des sciences; et c'est pourquoi , pour nous rendre véritablement savants, Platon nous rappelle sans cesse à ces idées où se voit, non ce qui se forme, mais ce qui est, non ce qui s'engendre et se corrompt, ce qui se montre et passe aussitôt, ce qui se fait et se défait, mais ce qui subsiste éternellement. C'est là ce monde intellectuel que ce divin philosophe a mis dans l'esprit de Dieu avant que le monde fût construit,...
Page 56 - C'est un maître intérieur, qui me fait taire, qui me fait parler, qui me fait croire, qui me fait douter, qui me fait avouer mes erreurs, ou confirmer mes jugements. En l'écoutant, je m'instruis : en m'écoutant moi-même, je m'égare.
Page 285 - Dieu , n'ont manqué à aucun homme, à aucune société , puisque sans elles l'homme n'est pas un homme et la société n'est qu'un chaos : la spiritualité de l'âme , la liberté de l'homme , la loi du devoir, la distinction de la vertu et du vice , du mérite et du démérite, la divine providence, et ses promesses immortelles inscrites dans nos besoins les plus intimes, dans sa justice et dans sa bonté. Ces grandes vérités , plus nombreuses et plus lumineuses qu'on ne le croit , trouvent...